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[ Clos ] La pierre au grand potentiel. Sombrer dans les ténèbres.

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Message par Theo di Neralitha Ven 14 Déc 2012 - 0:06

Personnalité intemporelle, mes ancêtres étaient ils comme moi, des personnes à la recherche de la vérité ? Etaient-ils dans un état constant de recherche et de désir de puissance ? Le désir de pouvoir était il la brulure de l’âme qui consume l’être jusqu’au plus profond de sa chair pour l’envahir totalement jusqu’à contrôler tout ses fais et geste. Est-ce que cette pierre que j’avais trouvée dans les affaires de mon père, avait un rapport avec cette malédiction. Etrangement je ne me sentais plus comme le pantin des dieux depuis que j’avais cette pierre.
Marcher dans la rue en gardant cette objet dans ma main me donnait plus d’idée je connaissais parfaitement l’histoire qui était lié à mes ancêtres et à la malédiction qu’on avait tous à subir à cause de la profanation qu’ils avaient causés. Les larmes qui coulaient de mes yeux étaient généralement que des larmes de sang. Le caillou dans ma main commençait à me faire saigner, mais la douleur n’était rien et puis mon sang était déjà mélangé à cette connerie. Mes yeux eux même étaient affectés, au blanc de la pierre. D’après les récits anciens rédigés par mes ancêtres, ils avaient voulu pénétrer dans la tanière d’un dieu, le dieu blanc Reshiram… Reshiram c’était le nom qu’ils lui donnaient, tout comme Zorua était le nom du Pokémon qui me suivait. Mon ancêtre qui se trouvait en ces lieux avait prit un petit caillou dans la salle pas loin de l’hôtel. Déjà à ce moment ils décrivaient l’objet comme quelque chose de puissant envahi de l’énergie du dieu. Lorsqu’ils avaient du fuir dans les autres dimensions.
Ce caillou, me fallait il le faire disparaitre ? Devais-je le détruire ou le jeter dans le vide ? Je sentais déjà la douleur qu’il allait me procuré, le fait d’avoir les yeux des ténèbres de ne voir que partiellement la journée en devant garder la tête baissée pour ne blesser personne et ne pas me faire remarquer. Les maudits étaient tellement mal vus ici à Aliphyr, en fait les étrangers étaient mal vus ici. Mon seul bon point c’est qu’ayant toujours vécu ici il n’y avait aucun problème tant qu’ils ne découvraient pas qui était ma mère.
Le caillou commençait à entrer profondément dans ma main, je forçais tellement déçu que je saignais abondamment. Je n’avais plus mal, je ne sentais pas la douleur, je ne la sentais plus je la faisais ressentir aux autres à la place. Ce caillou était donc la clef, la clef de tous mes soucis, il m’était donc impossible d’échapper à cette malédiction et mon âme finirait damnée ou totalement brulée par le besoin de pouvoir. Ce caillou blanc avait un pouvoir caché au plus profond de son cœur. Si je le ramenais au lieu ou il avait été trouvé il se passerait peut être quelque chose de grandiose. En l'honneur de ce petit cailloux je me mis à réciter un petit poême.


« Brule petit caillou, que mon sang t’inonde et que mon pouvoir t’appartienne.
Il est libre de s’ouvrir au cœur des autres, au chevalier au cœur d’or.
Qu’à jamais s’efface de ce monde toute ma peine.
Puisqu’à présent ton pouvoir dort.

Au temps suspend ton vol ! Et vous heures propice,
Suspendez votre cours
Laissez nous savourer les rapides délices,
Des plus beaux de nos jours. »



C'est alors que sans le vouloir le cailloux glissa de ma main et roula cotinuellement jusqu'à ce u'il disparaisse, comment retrouver un cailloux blanc dans une immensitée de gravat, comment retrouver petit cailloux blanc souillé par le sang. Sans ce cailloux je commençais à être anxieu, comme si quelque chose me manquait comme si j'étais à découvert. puis après l'anxiété vint la frayeur, la colère et la haine. J'en voulait à se père trop absent qui ne m'avais lèguer qu'un cailloux et un oeil provoquant la souffrance. Je haïssait une humanité trop parfaite, une belle mère trop "parfaite". Ce caillou qui était la seule chose de ma mère, ma vrai mère.. C'est alors que je me mis à genoux, en larme pleurant de haine, de peine et de sang.
Deuxieme poeme par Lamarine. Le lac

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Theo di Neralitha
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