I'm sexy and I know it ~ [ Terminé ~]

[Sebastian Michaelis]

VOUS
- Pseudo : Tsuki
- Âge : 19 ans
- Loisirs : ecouter de la musique, les potes, dessiner, manger , dormir x)
- Autres (si vous voulez donner d'autres indications...) : XXX
- Comment avez-vous connu le forum ? DC
- Quelle est la couleur du chat ? Bleu


VOTRE PERSONNAGE
- Prénom : Sebastian
- Nom (optionnel) : Michaelis
- Sexe : Masculin
- Âge : 25 ans
- Pays : Flamen
- Job de base (maître élémental, guerrier ou dresseur/coordinateur) : Elemental

Biographie, histoire du personnage :

Sebastian Michaelis, un nom tantôt emplit de mystère tantôt emplit de noblesse. La famille Michaelis était le sujet de beaucoup de ragot dans la ville. Elle était asociale, réservée et se mêlait rarement à ce qu'ils appelaient la populace. Cette famille que personne ne connaissait réellement avait un influence sur le petit village, elle avait quelques boutiques à leur nom dont les objets étaient de la plus grande qualité, allant du simple magasin de tissus jusqu'à la boutique proposant des produits d'ailleurs. Leurs affaires, néanmoins, restaient totalement inconnues et étranges. Les Michaelis, du moins le couple, se baladait parfois dans la petite ville. Les villageois diffusaient des rumeurs comme quoi, la famille Michaelis était une famille diabolique, ou bien qu'elle avait fait un pacte avec une créature des enfers, car ce couple était étrange. Cependant, la famille n'y prêtait pas attention.

La dame était toujours vêtu de noir comme si elle portait le deuil d'une personne en permanence. Un simple chignon tenait sa chevelure noire , un chapeau à voile noire était posé sur sa tête la rendant plus belle encore. Ses yeux étaient bleus et son visage pâle, les traits de son visage reflétait ceux d'une femme stricte et même sévère. Son rouge à lèvre était d'un rouge profond mais aussi vif montrant nettement une bouche fine et relevant un peu son teint, une longue robe noire simple mais élégante lui faisait une ligne parfaite qui en ferait rêvait plus d'un, des gants noirs masqués ses mains fines et ses doigts délicats, des chaussures avec un talon suffisamment haut pour lui allonger ses jambes et pour terminer, une démarche sûre et distinguée. A son bras, son époux, un homme lui même élégant. Ses cheveux en arrière, laissant voir des yeux rouges étonnants, un visage sans aucune imperfection. Un costume noir et élégant le taillant parfaitement ajouté à cela sa démarche parfaite et presque royale. Du moins, c'est l'impression qu'il donnait. Aucun plis ne venait gâcher sa tenue, une rose rouge était placée dans la poche de son manteau pour lui donner un air distingué.
Tous les villageois s'écartèrent du chemin afin de les laisser aller à leur aise. Ils les regardaient avec admiration comme si leur Dieux étaient descendus sur Terre. En réalité, ils ressemblaient plus à la Famille Adams qu'autre chose mais bon...

La famille Michaelis vivait dans un immense manoir élevé par rapport à la ville comme s'il la dominait. Leur manoir de l'extérieur était assez froid et impressionné les personnes aux alentours. De couleur noir de jais, il était si grand et si vaste que les villageois se demandaient comment le couple pouvait vivre seul dans ce manoir. Le jardin qui entourait le manoir ne contenait aucune plante, aucun jardin, juste des arbres immenses et sans feuilles qui, lorsque le printemps pointera le bout de son nez, masqueront le domaine. Il y avait une autre personne avec le couple, un domestique assez âgé qui lentement ramassait les feuilles jonchant le sol. Le pauvre était épuisé et cela se voyait sur son visage, il soufflait tout le temps et se baissait difficilement. Tout devait être parfait à l'extérieur, pas une feuille au sol.

Durant quelques mois, personne n'avait plus entendu parler des Michaelis, jusqu'à ce que, un jour où la brume était épaisse, le couple si mystérieux déambulait dans la rue. La dame poussait un landau noir, un petit être était dans le landau endormit. Tout le monde furent surpris de voir que cette famille si étrange et si asociale pouvait procréer et avoir un enfant. Était ce le fruit d'un amour sincère ? Ils ne le pensaient pas...sans doute était-ce un accident...en tout cas, ils plaignaient le pauvre petit d'être né dans une famille comme celle-ci. Le nom de ce petit bébé été Sebastian.

Les parents décidèrent que tant que celui ne savait pas se tenir sur ses jambes, ils ne s'en occuperaient pas. Les villageois avaient raison, cet enfant n'étaient pas voulu. Le vieux était trop âgé pour s'en occuper alors, ils engagèrent une nourrisse. Lorsque l'enfant réclamait à manger, la mère faisait mine de ne rien entendre, la nourrisse se précipitait vers lui et le nourrissait du mieux qu'elle pouvait. Lorsque le petit réclamait de l'amour, le père retournait à son travail comme si de rien n'était, la nourrisse alors s'empressait de lui donner l'amour et la tendresse nécessaire pour le calmer. En gros...leur gosse , ils s'en foutaient pas mal, t'es bon qu'a bavé et à remplir tes couches à la pellée t'es pas intéressant.

Les parents n'étaient pas affectifs, leurs affaires étaient plus importantes pour eux qu'un vulgaire môme. La demeure était toujours impeccable, la nourrisse avait des instructions très strictes, s'occuper du gosse mais aussi entretenir la maison et faire la cuisine. Il n'y avait pas la moindre poussière qui virevoltait dans la pièce, un simple petit bouquet de fleur choisit par les soins de la mère était fraîchement acheté chez le fleuriste attitré par la dame de maison, était posé dans une pièce afin d'apporter une touche de couleur dans ce décors sobre et rustique.

Lorsque Sebastian eut atteint l'âge de marcher et de parler par lui même, son éducation fut donné par ses parents. Il ne parlait jamais ou très peu et avait l'habitude de ne jamais parler avec ses parents. Sa chambre n'était pas comme celle des enfants de son âge, elle n'avait aucun jouet, aucune peluche. Juste un lit, un dressing, une bibliothèque assez complète, un bureau et une chaise ainsi qu'un miroir. Ce n'était pas un enfant dissipé, il était calme et posé, il se tenait toujours droit, la tête haute, une allure fière comme son père.

~ La période des 10 ans ~

Sa mère et son père s'occupèrent de son éducation.
Chaque matin, sa mère le levait à l'aube et lui ordonnait de faire son lit convenablement sans qu'il n'y ai aucun plis sur le coussin, ni sur le drap, ni sur le couvre lit, les coussins devait être retapés et le couvre lit devait être placé bien au milieu du lit. Si la mère jugeait que son travail n'était pas convenable ou incorrect elle le giflait, et s'il lâchait une larme elle continuerait jusqu'à ce qu'il reste indifférent. Sa mère était sans pitié, il devait obéir sans rechigner.
Une fois cela fait, son père lui enseignait comment s'habiller avec classe et élégance sans qu'il n'y ait de plis ou de froissement sur la veste ou la chemise. Si le père jugeait son travail de bâclé, il devait passait une nuit dans la cave du domaine dans son plus simple appareil.

Lorsque l'heure du repas de midi approchait, sa mère lui apprenait à utiliser et à reconnaitre les divers couverts avec lesquels on mange les divers plats. S'il se trompait ou utilisait mal les couverts disposés autour de son assiette, la mère le forçait à manger comme un animal.

« Chaque fautes méritent correction » voilà ce que lui répétaient ses parents à longueur de journée. Sebastian était résistant et subissait chaque punitions sans se plaindre et sans ouvrir la bouche.

* Je dois apprendre...Je ne dois pas me plaindre, ils sont extrêmement aimables de m'apprendre tout ce que je ne sais pas. Je ne suis qu'un inculte, je dois retenir tout ce qu'on m'enseigne afin de le satisfaire et pour qu'ils soient fiers de moi. Même si ça en dura pas...lorsque le moment sera venu...je vous tuerais...et là..on verra qui est l'imbécile !*

Voilà ce qu'il se disait à longueur de temps afin de se donner du courage.

~La période des 15 ans~

L'éducation continuait toujours, il avait assimilé déjà pas mal de choses mais pour les parents se n'était pas suffisant.
Son père lui enseigna l'Art de reconnaître chaque vins, la couleur de la robe, leur millénisme, leur provenance, leur date de mise en bouteille et avec quel vin allait tel plat. Il y avait tant de vins que le pauvre enfant s'embrouillait parfois dans les années. Le père choisit comme sanction de le priver d'eau pendant toute une journée. Néanmoins, ses goûts concernant les boissons et la nourriture avaient grandement évolués. Et ce n'est pas tout ! Le patriarche lui apprit à dresser une table avec goût et à positionner chaque couverts et chaque verres comme il fallait. Il se trompait dans la position d'une cuillère ou d'une fourchette, une paire de gifle. Sebastian avait bien grandit à la grande surprise du vieil homme et de la nourrisse qui était resté sous ordre de ses patrons. Ils se demandaient même comment ce pauvre petit réussissait à rester de marbre fasse au traitement que ses parents lui infligeaient.
Sa mère prit ensuite le relais, notamment dans le domaine de l'art culinaire. Sebastian devait apprendre à cuisiner avec goût n'importe quel plat avec n'importe quel produit. Du repas familial simple et chaud au buffet d'une centaine de convives. L'échec lui valait 1 mois de corvées ménagères en plus de son éducation rude et stricte. Cela lui permit d'ailleurs d'entretenir une maison à la perfection. D'ailleurs le mot ''perfection » était maintenant son but et ses objectifs de vie, tout faire pour exceller la perfection et plus encore si possible. Une éducation dure qu'il subissait au quotidien mais il ne s'en plaignait jamais, au contraire, il remerciait ses parents de lui accorder autant de temps et s'excusait d'être un ignare.
Enfin vint le moment de la toilette, son père et sa mère lui apprirent à comment se coiffer rapidement tout en ayant une coiffure distinguée et classe. Comment en mettant quelques mèches en arrière, l'aspect du visage pouvait changer et donc l'opinion des gens sur autrui aussi. La correction était la même une paire de gifle et il réessayait jusqu'à ce qu'il arrive à la perfection. Plus les années passaient, plus apprenait de plus en plus vite. Pour la première fois, ses parents lui firent un compliment.

« Tu es un jeune homme du peuple...pas encore assez noble à notre goût mais tu es sur la bonne voie. »

Les diverses danses furent apprises par la mère et la démarche a adopter par le père. Il réussit à assimiler diverses danses de divers pays rapidement et à adopter sa propre démarche. Une démarche élégante et majestueuse. S'il marchait sur les pieds de sa mère ou qu'il se trompait dans les pas de danse, il devait marcher pieds nus sur des charbons ardents.

A 15 ans, il savait danser, cuisiner, repasser ses vêtements , faire le ménage dans la demeure, avoir de bon goût notamment dans la décoration d'une table ou même celle d'une maison, se coiffer convenablement, s'habiller afin d'avoir une certaine prestance et beaucoup d'autres choses encore qui le rapprochait un peu plus de la perfection. Ses parents ? En réalité, il ne les aimait pas, bien au contraire, il les haïssait du plus profond de son être. D'ailleurs, il avait appris lui même l'art de la flatterie mais surtout du mensonge et ses parents comme il a pu le constater, gobait comme des idiots tout ce qu'il disait, les remerciements à tout va, le fait qu'il se dénigre plaisait à ses parents mais lui...il rêvait de les éliminer. Cependant...il voulait encore une chose d'eux...qu'ils lui apprennent l'Art du Combat. Pour ça, il fallait qu'il soit encore un peu patient.

Après ces étapes plus fatigantes les unes que les autres. Sebastian fut enfermé dans une salle. Tous les matins de 7 heures à 12h30 il étudiait sans relâche, personne de devait le déranger. Il reprenait ensuite à 14 heures jusqu'au soir 20h30. Le soir venu, il devait parler et argumenter en détails chaque ouvrages qu'il aura lu en ayant une argumentation claire et structurés. Les salauds faisaient bien chier leur monde et Sebastian en était conscience. Tout ce travail lui prit 5 années de sa vie. 5 années de sa vie où il se fit chier comme un rat mort devant ce bureau à lire des ouvrages qui ne l'intéressait pas du tout. Aucun livres ne traitaient du combat et cela le désolait. Ces pauvres vieux devaient absolument partir à la retraite...

La période des 20 ans

Les derniers rudiments de ses parents étaient l'art de se défendre. Enfin un cours qui intéressait Sebastian ! Mais avant, sa mère avait jugé bon de lui apprendre la musique...il fut totalement dépité, alors, il afficha un petit sourire hypocrite que ça mère ne connaissait pas encore et apprit à jouer du violon tout comme le piano. Il se rendit compte en fait, qu'il aimait bien cela, ça le détendait. Il apprit aussi à divertir les gens ce qui pouvait être utile. Oui...le verbe apprendre était omniprésent et l'est ! Ce qui donnait légèrement la migraine à notre jeune homme. Cela ne prit que quelques mois, heureusement pour lui d'ailleurs, car le piano et le violon c'était bien beau mais il s'en foutait légèrement...
L'heure tant attendue arriva. Ses vieux lui apprirent à devenir agile, rapide, fort et habile.
Pour ce qui est de la rapidité, il devait courir une distance que les parents avaient imposés et améliorer son temps jusqu'à ce que les parents trouvent cela convenable.
Pour l'agilité , les parents lancèrent 5 cibles à la fois et à l'aide de couteaux bien limés, il devait faire mouche sur chaque cibles. Sebastian éprouvé de la joie lorsqu'il faisait chacun de ses exercices. Il affichait un simple sourire discret qui en disait long sur son état. Du moins, lui seul le savait !
Pour la force, il devait mettre un plateau assez grand au dessus de sa tête et toutes les deux minutes ses parents ajoutaient une dizaine de briques. Lorsqu'il craquait, le nombre de briques qui étaient sur le plateau devait être jugé par les parents de convenables...Youpi....dictature me voilà...Tout devait tourner autour d'eux c'était franchement rageant !
Pour l'habilité, il devait tenir sur un plateau une pyramide de verre. Sebastian devait courir sans que les verres ne tombent ou alors préparer 3 repas à la fois en un temps records.
Il faisait ça tous les jours sans relâche appréciant chaque instants qu'il passait loin du regard de ses parents. Heureusement ! Que leurs affaires les tenaient un peu éloignés , il pouvait enfin souffler !

La période des 25 ans , la fin de l'éducation

Les parents de se nouveau « prodige » le félicita pour la première fois...enfin féliciter

« C'est bien tu as bien progressé tu es arrivé à un niveau plus que convenable... »
Avec une modestie à en vomir...On dirait qu'ils se forçaient à le dire, cela répugnait Sebastian. Comme s'il parlait à un vulgaire domestique pour lui montrer que ça pourrait être pire...

Sebastian s'inclina pour les remercier et les regardèrent en esquissant un sourire.

- Oh...quel étourdi...j'allais oublier une chose ~ 

Il sortit ses couteaux et déchiqueta ses parents avec rage et fureur. La vue de ces parents complètement retournés par ce changement brusque de comportement était si jouissif pour lui. Le couple ne put ouvrir la bouche pour exprimer leur mécontentement.

- Ne vous donnez pas cette peine~

Il mit quelques minutes avant que le couple soit totalement en charpie. La nourrisse et le vieux n'étaient plus dans la demeure à ce moment là...ils étaient sans doute en balade dans le village et tant mieux, la dépouille des parents en aurait fait vomir plus d'un.
Sebastian prit un air désolé en regardant l'état de ses vêtements et de ses couteaux.

- Bon...il va falloir que j'aille me changer et le plus tôt sera le mieux !

Avant de partir afin de se changer, il brûla la dépouille de ses parents avec les vieilles feuilles entassées par le vieille homme. Il s'étira longuement et alla se changer rapidement, cependant, une chose attira son regard. Une sorte de bestiole allongée sur le sol un peu plus loin. C'était un truc noir et blanc à quatre pattes. Sebastian s'accroupit devant lui et l'examina. L'animal semblait inconscient, il en profita pour le prendre dans ses bras et l'amena dans le manoir afin de s'en occuper convenablement. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant que cette bestiole était un Pokemon du nom de Absol. Le Pokemon, à son réveil, observa le bipède qui se tenait devant lui et semblait l'apprécier, il avait une bonne tête. Sebastian s'asseya près du Absol sans qu'il ne bronche.

- Maintenant que tu va mieux, tu veux partir ? Ou rester avec moi ?

Le Pokemon choisit la seconde proposition , comment ? En placant sa tête sur les genoux de Sebastian.

- Ooooh qu'il est mignon ~ Hm....il faut que je te trouve un nom maintenant....hm...Phantom ?

Le Pokemon hocha la tête et trouvait , d'après sa tête,ce nom étonnant et original. Il se secoua en s'étirant.

- Euh....ne me refile pas tes puces hein...les nuisibles comme ça j'en veux pas merci ~

Toujours avec élégance évidemment ! Le Pokemon baissa la tête dépité mais ce ne fut que de courte durée. Sebastian avait comme projet de s'en allait et de laisser la demeure Michaelis aux vieux et à la nourrisse.
Lui et son nouvel ami restèrent quelques mois dans le manoir, il voulait en apprendre plus sur le monde extérieur et sur les Pokemon qu'il pourrait rencontrer. Un lien très fort se tissa entre eux, ils étaient inséparable et communiquaient ensemble tout deux se comprenaient. Mais de quelle façon ? Ça personne ne le saura...Ils préparèrent le bagage nécessaire pour leur aventure. De l'eau, de l'argent, des armes bien aiguisées, de la nourriture et de quoi se soigner en cas de gros bobo.
Lorsqu'ils partirent du manoir, c'était le printemps, il demeurait alors invisible aux yeux de tous...Personne dans le petit village ne savait ce qu'était devenu l'enfant du couple, ils virent juste un homme étrange à la cape noir cachant son visage, un Absol à ses talons quitter le village.


Caractère :

Sebastian est un homme posé et modeste, sachant user de la flatterie sans qu'autrui ne le sache et gobe ce qu'il dit, parfois c'est sincère, parfois c'est pour de stabiliser l'autre. Il est extrêmement cultivé et à réponse à tout ou presque. Il analyse rapidement la situation qui peut être délicate ou au contraire simpliste et arrive à élaboré un plan et trouver une solution. Il est très débrouillard et arrive à faire des choses extraordinaires avec peu de chose notamment au niveau de la nourriture ou pendant un combat.
Maniaque de la perfection, il n'hésite pas à utiliser tous ses talents afin de rendre son œuvre parfaitement parfaite, du moins, tant que ça ne lui convient pas il recommencera. Il aime aider son prochain seulement s'il sait que ce prochain pourra lui être utile ou simple pour faire plaisir. Il n'a aucune gêne à se mêler à la populace comparé à ses parents. Il a horreur de prendre du retard sur son planning, ce qui le met dans une humeur exécrable. Le voir en colère et très rare, du moins l'expression des sourcils fronçaient, des dents sorties et du blabla qui fait postillonner. Lui, sa colère est montrée par sa force ou par une simple phrase du genre : je ne suis pas une personne très patiente comme vous pouvez le constater ~
Il a une préfèrence pour les félins qu'ils trouvent parfaits , une vraie beauté de la nature. S'il avait un entretien ou un dialogue avec une personne importante et qu'un félin passerait par là, il résisterait un temps...court certes...mais irait à la rencontre de ce félin et serait complètement en transe face à lui. D'ailleurs, les félins semblent l'apprécier.


Description physique:

Parfois habillé comme un majordome, un simple voyageur ou encore en mode mystère cape noire et le visage pas voyant ou bien en éducateur, bref, il arrive à changer du tout au tout avec peu de choses. Des cheveux d'ébènes et des yeux rouges profonds et envoutants, une voix grave qui reste sensuelle, une taille élancée et fine, la démarche assurée et élégante, une tenue toujours impeccable, voici Sebastian Michaelis, il possède un visage fin et angélique, sa peau blanche comme neige, tout cela semble cacher quelque chose de diabolique. Il a des mains fines et des doigts fins qu'il utilisent habilement dans n'importe quelle situation, que ce soit lors de la préparation d'un diner à celle d'un combat qui pourrait finir en bain de sang.
Auncun défaut ne semble perceptible quand on le regarde que ce soit de loin ou de prêt. La seule chose que l'on pourrait lui reprocher, c'est qu'il est un peu trop parfait. Néanmoins, cela ne déplait pas à ceux à qui il rend service. Son sourire reste discret mais bien là, il use de tous ses atouts pour arriver à ses fins. Parfois longuement demander par la gente féminine, il reste tout de même un Michaelis, une personne mystérieuse qui reste discrète sur ses affaires en cours.
Ses armes, entre autres ses couteaux en argent son dissimulée dans sa veste ou sa cape, il les sort avec classe et possède une fluidité dans les mouvements déconcertante. Il n'est pas rare de le voir parfois s'entrainer longuement dans une forêt en prenant garde de ne pas entailler ou faire un trou dans sa cape ou ses vêtements.


- Particularités : Aucunes
- Futur envisagé (job supérieur visé) : Aucune idée pour l'instant
- Premier Pokémon (optionnel) : Absol
- Sexe du Pokémon : Masculin
- Surnom du Pokémon (optionnel) : Phantom
- Image ou dessin (optionnel) : https://i.servimg.com/u/f71/18/11/06/39/absol_10.jpg
- Autres (détails ne figurant pas au dessus/ce que vous aimeriez trouver sur le forum, ce qu'il faudrait améliorer, votre avis nous intéresse) :

[Nina Wang]

Muhahaha, Sébas-chan est dans la place ! :3

J'ai hâte qu'il rencontre Luciano... Je pense que ce sera assez marrant xD

Bref, 5 points de pays et 10 points de fiche (je peux pas mettre plus à cause des fautes ^^") font 15 points pour démarrer.

Bon jeu !