Oooooooh, tout un monde à troller !

[Styx Léthé]

Le fou

Pseudonyme : Feldres

Âge : 22 ans, célibataire et libre comme l’air.

Loisirs : Ce qui peut se faire depuis l’écran d’un PC Et la lecture, aussi. Ce qui n’est pas nécessairement incompatible. Fanfiction is such a beautiful thing…

Autres remarques : Je suis plus un scientifique qu’un littéraire, donc ne vous attendez pas à des fleuves de texte de ma part. Ni à des réponses ultra-rapides. J’arrive p’tet à avoir des idées pas trop stupides par moments, mais l’inspiration et la motivation vont et viennent aussi souvent que les promesses d’un politicien.

Comment avez-vous connu le forum : Ai rencontré Yûn et Papy Sylver en prépa. Si elle a rapidement converti le vieux, il a fallu attendre que celui-ci me présente d’autres membres pour me faire passer du côté obscur. Bwahahahaha.

Quelle est la couleur du chat : J’en sais rien moi, il a un body, comment voulez-vous que je voie la couleur de son poil ! Tu m'as tuée xDDD Alors là si quelqu'un comprend la private joke c'est un paquet entier de cookies ! Validé

La folle

C’est qui ?

Prénom : Styx

Nom : Léthé

Sexe : Féminin

Âge : 18 ans

Pays : Mizuhan. Plus précisément, un village le long la rivière au nord de Comodo.

Classe de base : Elémental d’Eau

Classe envisagées : Berserker, Archéologue, Fusionneur

Son histoire, ses motivations

Lorsque le jeune Achéron Léthé rencontra la toute aussi jeune Tsukime Yamamoto, la première chose qu’il remarqua chez cette mercenaire supposée assurer sa protection alors qu’il accompagnait ses parents pour affaires, ce fut ses yeux. Des yeux qui, indépendamment de leur apparence presque féline qui avait à elle seule de quoi déstabiliser, semblaient vides de toute émotion alors qu’elle le jaugeait du regard.

Ces mêmes yeux qui, quelques mois plus tard, étaient emplis d’une rage à peine contenue alors qu’elle et ses collègues repoussaient un assaut de brigands sur leurs employeurs ; assaut qui avait, lors de sa phase initiale, entraîné de légères blessures sur le fils Léthé, laquelle avait déclenché cette ire. Si nul ne sembla remarquer ce changement presque bestial, les murmures qui s’ensuivirent une fois qu’ils furent en sécurité étaient une toute autre histoire. Des rumeurs sur une lignée impie, tirant une force et une agilité supérieures à la normale d’une ascendance lointaine Gijinka, forcée à l’isolation par la superstition humaine. Il n’y accorda sur le coup que peu d’attention, préférant se résoudre à mieux connaître celle qui avait contribué à lui sauver la vie. Ceci en commençant par l’embaucher à temps complet comme garde du corps.

Et au fil des ans, il put voir de nombreuses nouvelles émotions traverser ce regard améthyste. L’amusement, lorsque enhardi par le jeune Gobou que ses parents lui avaient offert pour ses douze printemps, il échoua lamentablement à capturer un Chrysacier. La tristesse, lorsqu’un de ses compagnons d’armes décéda d’une maladie fulgurante. La surprise, lorsqu’il manifesta pour la première fois des capacités de maîtrise élémentaire. La compassion, alors qu’il apprenait la mort de son père lors d’une attaque de Pokémon sauvages au retour d’un voyage d’affaires auquel il avait été trop alité pour se joindre. L’irritation, alors que dans un rare moment d’ouverture, elle se plaignait que l’œuvre de la nature sur son corps allait rendre son travail plus difficile, ce qu’il s’abstint de commenter vu l’appréciation que lui ne pouvait s’empêcher d’avoir pour ledit travail. La suspicion, alors qu’il lui offrait quelques jours de vacances à Comodo pour ses 16 ans, et qu’il découvrait que l’intégrité professionnelle de la jeune femme lui interdisait d’autant s’éloigner de lui. La satisfaction, quand leur compromis sur cette situation résulta en des vacances à deux. L’affection, pendant que sous les feux d’artifice d’un festival local, elle colla ses lèvres aux siennes. Le voile du désir, alors que leurs corps dénudés s’unissaient dans une étreinte…

Hé, comment ça, censure pour contenu inapproprié ?! On a un droit de regard les flashbacks maintenant ? C’est un SCANDAAAAALE ! Rembourseeeeeeez ! Vous aurez des nouvelles de mon avocat ! Hein ? J’étais pas encore née donc ça compte pas comme un flashback mais comme une fiction ? Heuuuuuuuu…

Ahem. Bref. Tout cela pour dire que quand, quelques années et un mariage plus tard, Pôpa a vu les mêmes yeux (mais pas la même teinture) sur ma frimousse alors que je venais de naître, la première chose à laquelle il a pensé, c’est que si j’avais hérité du caractère de M’man… Bah il était pas dans la merde. Non, non, le coup de fouet que vous avez entendu n’est que le fruit de votre imagination.

C’est sur cette réflexion profonde et fulgurante qu’il s’est mis en tête de m’éduquer de façon autrement plus cool que lui ne l’avait été : adieu précepteurs, bienvenue liberté ! Lui n’avait, contrairement à ma chère carne de grand-mère (pas paix à son âme), aucune intention de me faire hériter de la compagnie familiale ; et pour le coup, il a eu du nez, parce que je me dis que ça aurait été chiant à mourir. Passer la majorité de sa vie derrière un bureau, à gérer de la paperasse… Eugh. Je me demande franchement comment il fait pour garder un physique bien sculpté malgré ça. Doit avoir un rapport avec sa maîtrise, vu qu’il a jamais vraiment su se battre ; ça, c’est clairement pas de lui que je tiens… Eeeeeeet je digresse encore.

Donc. Education assez commune au final : j’allais à l’école avec le reste des jeunes, j’avais le droit de les fréquenter en-dehors des cours, un couvre-feu plutôt avantageux… Nan, je dirais que la seule différence, c’est la part que ma mère a pris dans mon éducation. Eh oui, même mariée à un homme qu’elle aime et qui l’aime en retour, elle a pas laissé ses compétences martiales tomber en désuétude, et que ça plaise à P’pa ou non, je recevrais une formation similaire, ne serait-ce que pour pouvoir facilement castrer les hommes un peu trop insistants.

Cela dit, elle a eu quelques difficultés lorsque j’ai manifesté mes dons sur l’eau à l’âge vénérable de 6 ans. Il a fallu adapter le programme pour tenir compte de cette nouvelle variable (car posséder un atout et ne pas s’en servir, ça ne se fait pas, non môsieur !), chose rendue difficile par le fait que… Bah… Elle n’en avait pas elle-même. Au final, elle a conclu qu’il valait mieux laisser cette partie de l’entraînement à un pro, et a donc pris les mesures qui s’imposaient ; un petit voyage à l’ouest, un petit achat, et hop, un Roigada rien que pour faire la traduction des cours de Crachouille. Oui, c’est comme ça qu’on surnomme tous le Laggron de P’pa : il aime bien lui cracher au visage pour exprimer son affection. C’est d’ailleurs un excellent prof, mais là n’est pas le sujet.

C’est sur ce rythme que j’ai passé les quatre années suivantes : formation intellectuelle (chiante, sauf l’histoire, ça c’est intéressant), physique (COOOOL) et métaphysique (marrante). Pourquoi seulement quatre ans ? Parce que c’est le moment où on a ajouté une autre dimension à l’entraînement : le combat par intérim. Eh ouais, pour mes 10 ans, on m’a offert un Pokémon : un Ptitard. Eau/Combat une fois totalement entraîné, les parents trouvaient que ça me collait bien, et avec du recul je suis plutôt d’accord avec eux : Bouboule et moi, on est vite devenus inséparables.

C’est dommage que ça n’ait pas duré. Flash-forward de cinq autres années ; Bouboule avait évolué une première fois, j’avais commencé ma poussée de croissance (et croyez-moi, les boobs, c’est pas toujours aussi sympa que ça en a l’air), et on était partis faire un peu d’entraînement du côté de la côte de Gilnéas pendant que les parents étaient en affaires en ville. Entraînement qui consistait surtout à nager à contre-courant dans la rivière sans se faire emporter, ou à profiter de l’érosion de la falaise pour faire un peu d’escalade. On s’amusait bien, et après s’être dépensés, on s’était accordé une petite pause… Jusqu’à ce qu’on entende des jappements dans la rivière, et qu’on aperçoive un Zorua ballotté par les flots qui était en train de rapprocher dangereusement du précipice.

Là, c’est le moment où mon regard se perd dans le lointain quand je me dis que si j’avais un peu plus réfléchi, j’aurais fait une déviation sur le courant pour ramener le petit sur la rive. Mais dans les faits, j’ai juste agi en mode réflexe et j’ai plongé pour essayer de le récupérer à la main, suivi de près par Bouboule. Sauf qu’à devoir tenir le Zorua, vu qu’il aurait difficilement pu s’accrocher à mes fringues restées au sec, impossible de lutter face au débit. Le bord de la falaise se rapprochait lentement mais sûrement, et je savais parfaitement que la cascade se finissait sur des bons gros rochers, ce qui aurait provoqué des conséquences favorables à nos décès prématurés.

Et finalement, c’est mon partenaire qui a trouvé la solution. Il m’a regardé droit dans les yeux. A arrêté de lutter pour venir se caler derrière moi. A légèrement plongé. Et m’a tiré un Hydrocanon à bout portant qui m’a fait décoller des rapides pour me faire atterrir à la limite de la chute. Et moi, tenant toujours la petite bestiole qu’on venait de sauver, j’ai juste pu voir complètement mortifiée le recul le propulser dans le vide.

J’ai mis plusieurs heures à rentrer à Gilnéas, tenant machinalement le Pokémon Sombrenard endormi dans mes bras. Ce n’est qu’une fois arrivée à notre auberge, face à mes parents figurativement morts d’inquiétude, en leur racontant ce qui s’était passé, que j’ai craqué et pleuré toutes les larmes de mon corps. Il a fallu que l’aubergiste sorte le Papillusion qu’il gardait pour les clients un peu trop alcoolisés et m’envoie une bonne rafale de Poudre Dodo en pleine face pour que je sombre enfin dans l’inconscience.

J’ai mis plusieurs semaines à complètement encaisser le choc. Voyant que le petit pour lequel Bouboule s’était sacrifié ne voulait visiblement plus me lâcher, j’ai fini par le capturer, et je l’ai appelé Yoru. Mon nouveau partenaire ayant un panel de compétences autrement différent, l’entraînement a légèrement changé de ton ; pas question de le faire combattre directement, celui-là. Non, mieux valait capitaliser sur ses dons en illusions pour me fondre dans le décor… Insinuer le doute chez l’ennemi… Et le frapper là où il s’attend le moins.

Je me suis également plongée plus en profondeur dans ce hobby qu’était devenu l’Histoire de notre monde, surtout une fois que les nouvelles de la conclusion du massacre provoqué par Mewtwo sont arrivées par chez moi ; les deux créatures qui avaient mis fin au conflit ressemblaient étrangement, semble-t-il, à certains mythes anciens de Tenkei comme du reste d’Erasia, impliquant donc que notre monde et celui d’origine du continent flottant avaient pu être en contact par le passé.

Mais surtout… Ma vie ne me convenait plus. Si j’avais moi aussi été sauvée, c’était forcément pour une bonne raison, et probablement pas pour passer le reste de mes jours dans un bled qui n’apparaît que sur les cartes de la région tellement il est insignifiant. Je devais voir ce monde ; trouver un but qui justifierait ma survie. Profiter de cette chance qui m’avait été offerte et vivre pleinement, sans plus de regrets. C’est quelque chose que j’ai clairement signifié à mes parents, et on a conclu un deal ; j’allais arrêter les cours à la fin de ce cycle scolaire (j’en savais déjà plus qu’assez de toutes façons), et M’man allait corser l’entraînement. Si à mes 18 ans elle me jugeait apte, je serais libre de partir et de vagabonder à mon aise ; sinon, je restais ici et je me mettais à bosser avec P’pa pour continuer à voir du pays, mais de façon contrôlée.

Inutile de le dire, la motivation de la liberté a porté ses fruits. J’aurai au final jamais réussi à la vaincre en combat singulier… Mais en combo avec Yoru, je suis plus que capable de faire jeu égal avec elle. J’avais rempli ma part du contrat ; elle a tenu ses engagements. Erasia s’offre à moi… Et je compte bien profiter du cadeau.

Avis de recherche

Sa psyché

Première recommandation si vous avez un jour affaire à Styx : prenez votre amour-propre et cachez-le dans un coin. Peu importe l’importance que vous croyez avoir dans votre milieu, si vous n’avez à ses yeux pas fait vos preuves, elle vous traitera comme le dernier des quidams. C’est-à-dire avec exubérance, sarcasme, et une petite dose de folie. Mais ne vous inquiétez pas, elle ne mord pas… La plupart du temps.

A part ceci… Voyons voir… Une indépendance prononcée ; elle n’a besoin de personne pour survivre, et si elle doit y rester à cause de ça, soit. En découle une grande confiance en elle-même, qui déborderait presque sur de l’arrogance.

Sa curiosité, qui est une cause directe de son orientation de carrière, est presque insatiable ; ne vous avisez surtout pas de lui faire découvrir de nouvelles choses, au risque de perdre le reste de votre journée. Car oui, elle est aussi affublée de quelques problèmes d’attention.

Elle foncera toujours tête baissée quand elle aura défini un plan d’action, au diable les conséquences. Et enfin, vu que faire combattre un autre à sa place c’est un truc de faible, elle a une approche très physique de la capture de Pokémon, donc ne vous étonnez pas si vous la voyez forger une amitié quasi-virile avec une cible à grands coups de mandales dans la gueule.

Ah bah tiens, en parlant de baston, c’est une de ses grandes passions ! Ecraser ses ennemis, leur faire cracher leurs tripes, leur arracher le cœur par là où le soleil ne brille jamais ! Une forme de communication certes primitive, mais autrement plus efficace et honnête que des mots creux pour véhiculer ses émotions ! Ce qui ne veut pas dire qu’elle est incapable de tenir une discussion normale, bien au contraire.

Hein, ses qualités, demandez-vous ? Heuuuuuuuuu… Une grande loyauté, déjà. Vous gagnez sa confiance, à moins que vous fassiez de la grosse cagade, vous la gardez jusqu’à ce que des circonstances défavorables vous mènent à un décès prématuré. Bon, ceci dit, c’est arguablement le fait de la gagner qui peut poser problème.

A cela s’ajoute une conséquence de son approche rentre-dedans : une détermination d’acier. Si vous voulez l’arrêter, il faudra soit faire preuve d’une rhétorique sans faille, soit l’immobiliser par la force. Cela dit, cette volonté ne surpasse pas son instinct de survie ! Si le combat est clairement perdu d’avance, elle n’aura aucun scrupule à l’appliquer à une solution de repli stratégique (lire : tourner le dos au problème et se tirer en 4ème vitesse).

Enfin, de façon un peu plus neutre, il y a sa grande franchise. A partir du moment où vous arrivez à la brancher sur un sujet sérieux plus de quelques secondes, elle ne se fera absolument pas prier pour vous donner son opinion sur la question… Que celle-ci vous plaise ou non. Ce sera d’ailleurs probablement le seul moment où vous serez assuré de son honnêteté ; après tout, tous les moyens sont bons pour atteindre un résultat… Niark niark niark.

Toutefois… La mort de son premier Pokémon a été un évènement très difficile pour elle, et continuera probablement à la hanter toute sa vie. Sa bravade et son franc-parler font partie de ses moyens pour essayer de ne pas y penser, et en règle générale elle y arrive plutôt bien… Mais elle perdra tous ses moyens si vous lui montrez un membre de la ligne évolutive Ptitard blessé. Sans exception.

Portrait-robot

On peut dire que la nature a été fort généreuse avec la mistinguette. Du haut de son mètre huitante, deux yeux cyans aux pupilles félines vous contemplent sous les quelques mèches argentées qui retombent de son front. Le reste de son imposante chevelure est attaché à la base de sa nuque, avant de cascader librement jusqu’au milieu de son dos.

Une chemise blanche légère laisse deviner une poitrine fort bien formée, bien que celle-ci soit protégée par un petit bustier en cuir. Un pantalon du même matériau, teint en noir, met en valeur ses jambes sans devenir indécent, ce qui n’est pas plus mal vu les grolles renforcées qu’elle aborde en complément. Des gantelets métalliques, mi-plaque mi-maille, recouvrent ses mains et une partie de ses avant-bras.

Sa marque de fabrique reste indéniablement son grand trenchcoat noir par-dessus tout ce barda ; vous ne la verrez probablement jamais sans lui. En plus de lui offrir une multitude de poches où ranger tout le fourbi qu’elle tend à accumuler en cours de route, il est bien pratique pour camoufler la sacoche de ceinture dans laquelle elle range ses biens les plus précieux. Sacoche au-dessus de laquelle se trouve le holster de son arme.

Pour ce qui est de sa condition physique, on part plutôt sur un build concentré sur la puissance et l’endurance. Des muscles peu volumineux, mais renforcés par quelques années d’entraînement au combat. Cela se ressent dans sa posture usuelle : détendue, mais le regard alerte, prête à bondir et aller botter des culs au moindre signe de troubles.

Image

Soon

Petits détails annexes

En plus de ses capacités de combat à mains nues, Styx se bat occasionnellement avec un bô métallique en kit quand elle a besoin d’allonge. Chacune des sections de l’arme, entièrement interchangeables à l’exception des extrémités, possède une petite quantité d’eau scellée au cœur du métal, afin de permettre une manipulation élémentale limitée ; très pratique pour l’assembler, entre autres. Inutile de le préciser, il s’agit d’une pièce unique, offerte par ses parents quand elle a décidé de parcourir le monde.

Le nouveau starter

Espèce : Zorua

Surnom : Yoru

Sexe : M

Âge : Indéterminé, mais au vu de sa mentalité, quelque part entre 13 et 16 ans. Humainement parlant. Ca vieillit comment par rapport à un humain, un Zorua ?

Image : Pas encore trouvée !

Autres remarques : RAS… Pour le moment.

[Nina Wang]

Hello camarade de la guilde !

Je m'occupe de ta fiche dans les 24h, promis, vu que je l'ai déjà lue et que j'ai suivi son élaboration

Et me revoilà !

Donc, comme je le disais, une fiche que j'ai suivie depuis à peu près le début, il y a plusieurs mois de ça Les miracles existent donc, Feldres a enfin sorti son perso

J'ai repéré quelques fautes (et j'ai ri sur la "teinture des yeux", je l'avoue xD), mais hormis cela, à part une bonne dose d'humour, je n'ai rien à redire sur cette fiche plutôt sympa

Je te mets 12 points, ce qui t'en fait 17 au total avec les 5 offerts.

Bienvenue chez les fous et bon jeu