(Présentation) Suiko Utekiya, ou l'âme flottant entre enfer et paradis.

[Suiko Utekiya]

Vous

Pseudonyme : Je n'est pas de pseudonyme attribué en particulier, mais on me retrouvera souvent sur d'autres forums ou sites internet avec des surnoms japonais, comme Kotobuki et Fumiko.

Âge : J'ai dix-sept ans et presque toutes mes dents.

Loisirs : J'apprécie vraiment écrire des histoires dans le genre fantastique, science-fiction, médiéval-fantasy, avec de la magie et des créatures fantastiques, mais sans romance car je trouve cela ennuyeux. Mais j'aime aussi les séries d'animations japonaises, les ballades en montagne, les jeux vidéos comme les Sims 4 par exemple, mais également le jeu Pokémon où je suis toujours une adepte des anciennes versions.

Autres remarques : Je rêve de devenir écrivain dans l'avenir. Même si je sais que cela n'est pas facilement envisageable, je compte faire de mon mieux pour parvenir au bout de ce que je pense être une activité qui me convient.

Comment avez-vous connu le forum ? Ho ! Ce n'est pas très épique et intéressant. Je voulais me remettre au role-play depuis que j'avais essayer cela avec une amie, donc j'ai prise la décision de rechercher un site sur cette thématique au moment où j'appris qu'on pouvait faire cela en ligne. Je me suis donc retrouvée à faire des recherches sur le role-play, et j'ai atterris dans une classement des sites de role-play, où je me suis retrouvée dans un large choix de sites proposant des aventures trépidantes en ligne. Mais étant une nostalgique de pokémon, j'ai choisie ce site, et hop ! Me voilà au cœur d'Erasia, prête pour explorer les contrées mystérieuses et capturer des pokémon de toutes sortes.

Quelle est la couleur du chat ? Il est validé par Nina

Votre Personnage

Prénom : Suiko.

Nom : Utekiya.

Sexe : Féminin.

Âge : 13 ans.

Date de naissance : Samedi 2 décembre.

Pays : Mizuhan.

Classe de base : Elémental.

Si Élémental, quelle maîtrise : Maîtrise de l'eau.

Classe envisagée : Envisage de devenir un fusionneur.

Biographie : Suiko Utekiya est née le samedi du deuxième jour de décembre, dans un sanctuaire mizuhanien de l'Île du Poisson rendant hommage au culte de Suicune. Son histoire en devient quelque peu incertaine avant sa naissance, en particulier sur les origines de sa conception et les véritables raisons plutôt obscures qui menèrent sa mère à avoir un enfant. La jeune femme qui accoucha de Suiko s'appelait Namijinko Utekiya, et s'avérais être une prêtresse aussi profonde qu'une fosse océanique, étant donné qu'elle était très mystérieuse et secrète par rapport à ses congénères. Vénérant Suicune avec une certaine dévotion presque maladive, fanatique, et malsaine au point qu'elle se battais souvent avec les autres membres du personnel encadrant le temple pour rétablir les sacrifices humains à Mizuhan (sans succès, bien entendu... et heureusement), elle ne jurait que par lui, instaurait en tant que maîtresse-prêtresse du temple une discipline draconienne et impardonnable autant sur le point de vue moral que religieux, n'acceptais aucun visiteur dans l'enceinte de la demeure sacrée du pokémon légendaire, et, point sacrilège, elle le considérais encore plus puissant qu'Arceus lui-même, alors qu'elle savait pertinemment que ce dernier étais au dessus de toutes races vivante dans l'univers, mais s'acharnais à revendiquer la suprématie de Suicune. Mais le pire était les rumeurs perturbantes et à faire frissonner un habitant de Mizuhan pourtant adapté aux conditions climatiques hivernales : effectivement, les bouches à oreilles rapportaient des paroles portant sur une certaine immortalité et jeunesse éternelle que la jeune femme aurait obtenue grâce à un pacte avec Giratina en personne, en vue du fait que les anciens de l'Île au Poisson se souvenaient d'une de ses ascendantes, supposée être sa mère, apellée Namikamiko Utekiya, qui serait probablement, non pas la mère de la prêtresse, mais bel et bien la même personne ! De plus, on raconterai des séances de plaisir érotique solitaires qu'elle ferait sur l'autel de Suicune, des sacrifices en l'honneur de Suicune d'innocents pokémon (ou pour Giratina, alors, les rumeurs divergeaient sur ce point), tandis qu'elle étais d'une autre part connue pour sa vie de luxure, de débaucherie, dans le luxe et l'argent, qu'elle récoltais des taxes sur les habitants et des offrandes sur ceux-ci.

En résumé, avait-elle très mauvaise réputation, au point qu'elle étais considérée comme une sbire de Giratina créer par les propres soins de ce pokémon renégat, et non pas comme une humaine d'Arceus, surtout que la théorie du pacte étais renforcée par le fait que Namijnko et Namikamiko avaient la même personnalité et la même apparence, selon les dires. Mais un jour, comme en guise de punition divine, Suiko fit son apparition en tant que graine dans le ventre de sa mère, qui au commencement, ne se rendit pas compte qu'elle se nourissait à l'excès non pas pour elle-même, mais pour deux personnes. D'abord aux premiers mois de la grossesse, Namijinko fut prise de vomissements et de quelques autres symptômes dû à sa condition de future mère, mais elle attribua cela sur le compte d'une maladie quelconque, et continua malgré tous de servir Suicune de toute sa dévotion de plus en plus grandissante lorsqu'elle se trouvais mal en point. Mais le ventre gonfla, et gonfla, au fil des mois, faisant que les apôtres commencèrent à se douter de quelques choses, tandis que la population civile murmurait déjà des rumeurs à propos du fait que la pureté et la virginité de Namijinko étaient réellement une couverture angélique pour la vicieuse prêtresse qui, au lieu de recevoir certes une crainte et un respect considérable en dépit des calomnies, commençait à susciter ouvertement des paroles de rebellions ainsi que des insultes qui n'étaient jamais châtiées par les religieux du sanctuaire, étant donner qu'ils y croyaient à présent dur comme fer. Folle furieuse à l'idée de voir son ventre grossir à l'approche de cette nouvelle vie, et trouvant la perte de son autorité inacceptable, Namijinko devint encore plus tyrannique et incontrôlable, faisant qu'elle perdit cette fois toute sa crédibilité aux yeux de tous, et en prime, elle échoua à conserver son statut de maîtresse-prêtresse. Elle fut jugée ensuite sur multiples plaintes et excommuniée pour perte de sa virginité, déchue de son titre par les plus hauts-placés religieux du culte de Suicune réclamés sur place après que quelqu'un ai constater qu'elle étais réellement enceinte. Tout le monde fit l'équivalent d'une fête et se réjouit lorsque Namijinko fut enfermée dans un cellule pour manquement aux principes des dévouées de Suicune, et elle accoucha de Suiko avec douleur, sans que personne ne l'aide, sans soutien, et elle pris le nourisson qu'elle venait d'obtenir non sans condescendance et rancoeur, dans sa prison. Personne ne sait si elle à eu cette enfant d'un de ses multiples concubins, ou qu'elle l'ai eue d'une méthode inhumaine très peu recommandable, mais une chose est sûre, elle tenta tant bien que mal de tuer cette jeune vie, ce frêle enfant, la source de ses problèmes qu'elle ne pouvait supporter longtemps, par strangulation et en l'éliminant définitivement de la surface de cette terre. Mais un garde, en surveillance devant la cellule, et ayant assisté à la démence de cette femme, fut pris de pitié pour le nouveau-né, ouvrit la cellule, et se rua à l'intérieur sous les protestations de son compagnon d'armes, pour arracher le bébé des mains de la mère et le prendre dans ses bras chauds, malgré l'humidité et le froid qui parsemait son armure de fer. Malheureusement, il fut dénoncé pour cela, et ayant eu vent du sauvetage, les dirigeants religieux, qui espéraient que la mère succombe à sa sentence de mourir de faim et de déshydratation dans sa cellule dans l'espoir qu'elle fasse une fausse couche et subisse un sort digne de sa cruauté, condamnèrent le garde à mort par lynchage, pour ainsi donner la peine capitale à l'enfant en prévoyant de le faire succomber par noyade, car sa naissance étais prohibée, et qu'ils craignaient que l'enfant n'offense Suicune et ne déchaîne les pires atrocités sur le sanctuaire et l'ïle au Poisson pour le crime d'une prêtresse.

Mais lorsque Suiko s'apprêtais à terminer ses premières heures d'existence dans l'eau étouffante et mortelle, un miracle enchanteur se produisit. On ignore si ce fut ses pouvoirs d'Elémental naissants qui la sauva, ou si ce fut un miracle causé par l'intervention de Suicune en personne, mais autant dire que Suiko fut retrouvée flottant naturellement sur l'eau, comme par magie, après qu'on l'y ai jetée alors qu'elle pleurait d'une manière tonitruante lorsqu'on l'emmenait à son trépas. A présent, on retrouvait une petite fillette soudainement apaisée et sereine, dormant sur l'eau, soutenue par une force invisible. Comme les religieux sont bien stupides, ils auraient pu croire à une manifestation diabolique de Giratina, et auraient fait en sorte qu'elle soit brûlée vivante, et immolée à Suicune pour appaiser le pokémon légendaire. Mais craignant que cela soit en réalité un signe divin de Suicune intimant directement sa volonté qu'il voudrait voir l'enfant survivre, les prêtres obéirent à cette interprétation qu'ils avaient trouvés sur le champ pour justifier ce phénomène étrange devant la population qui était venue assistée à l'exécution, et qui se questionnaient sur la tournure des évènements. Après avoir accorder une brève bénédiction craintive au bébé et de lui avoir fait suivre le rite de baptème, ils confièrent cependant l'enfant au sanctuaire de Suicune en honneur à celui dont ils pensaient être à l'origine de l'intervention sur la petite. Ils la livrèrent donc à ceux qui avaient subis la dictature de sa mère, tout en baptisant l'enfant Suiko (prénom signifiant en japonais Enfant de l'eau) et en lui donnant comme nom de religieuse, et titre par ailleurs, "L'âme flottante". Néanmoins, bien qu'elle fut considérée comme telle, Suiko remarquera bien en grandissant qu'elle n'est pas capable de marcher sur l'eau dorénavant, et qu'elle n'à même jamais été capable d'être portée par les étendues d'eau hormis lors de son exécution. Elle-même ignore encore si ce sont ses pouvoirs d'élémental qui sont à l'origine de cela, ou si un dieu lui à véritablement sauver la vie. Considérée désormais, après ce phénomène, comme une miraculée, elle fut élevée ironiquement éduquée et entretenue avec le même respect et la même crainte que l'on donnait à sa mère. En résumé, mères et filles bénéficiaient du même traitement, bien que la première fut décédée en prison. La petite Suiko à toujours ignorée ce qu'il lui étais arrivée, autant qu'elle n'à jamais su qui étaient ses parents, et elle à passée la majorité de son temps à être gâtée et exaucée au moindre de ses caprices, de peur que la colère de Suicune ne s'abatte sur de potentiels réticents. Suiko Utekiya, croyant que tous lui est du lorsqu'elle étais enfant, et étant certaine qu'elle était l'équivalent d'une déesse aux yeux des habitants, se mit à croire dur comme fer que tous le monde étaient à ses ordres et qu'elle était supérieure à la population. Et plus elle grandissait, plus cette partie orgueilleuse et infâme chez elle s'élevait comme le faisait sa taille durant sa croissance, et au fil des années, elle devint odieuse et hautaine, pire que sa mère, on saurait dire. Elle réclamait tous ce qu'elle pouvait trouvée dans sa tête lorsqu'elle n'avais besoin de rien, elle commandait toujours les jeux avec les autres enfants et hurlait à la moindre protestation. De plus, elle n'hésitait pas à abuser volontairement de sa souveraineté sur les religieux pour parvenir à ses fins, au point de menacer de mort et de bannissement, ou même pire, de prétendre pouvoir déclancher les forces de Suicune sur eux tous. Elle ne se rendait jamais compte de la chance qu'elle avait, et se prenait réellement pour une enfant divine, se glorifiait lorsqu'elle recevait des visites de vénération, et se moquait des pauvres comme si ils étaient de vulgaires cloportes. Jusqu'au jour où, à bout, un prêtre, qui était, contrairement aux autres, persuadé qu'elle n'étais qu'un imposteur qui ne pouvait être qu'une envoyée de Giratina, ainsi que la réincarnation même de l'abominable Namijinko qui avait certainement trouvée refuge dans l'enveloppe charnelle de sa fille, décida d'agir pour éviter qu'elle ne réduise tous les fidèles, ainsi que la population de la ville, au désespoir. Il engagea des bandits nomades et leurs pokémon de combat pour qu'ils se débarrassent secrètement de la fillette âgée de dix ans, et les incitèrent à assassiner de la plus violente des façons Suiko durant sa promenade quotidienne au bord des rivages, qu'elle appréciait tant, en guise de vengeance collective. Les bandits, cependant, conscients qu'ils s'apprêtaient à s'en prendre à quelqu'un d'important dans l'Ïle du Poisson, préfèrent acceptés la requête, mais de la menée à leurs propre avantage.

Effectivement, ceux-ci considérèrent qu'en vue de la réputation de la jeune enfant sur l'île, ils pourraient soit la laissée en vie et la séquestrée dans l'espoir d'obtenir une rançon d'elle de la part des ses protecteurs, même si certains pensaient, comme leurs chef, qu'il serait plus judicieux de faire semblant qu'elle soit morte tuée de leurs mains, pour s'enrichir de la récompense déjà bien prometteuse du prêtre, mais en plus pour capturer Suiko et la revendre au marché aux esclaves, la jugeant assez mignonne et jeune pour plaire à un pédophile du commerce. Mais encore une fois, rien ne se passa comme prévu. Car une fois Suiko sortie avec une escorte de pokémon et de gardiens, les bandits décidèrent de créer une armée d'interception bien supérieure aux nombres des gardiens, avec des pokémon à la puissance supérieur à celle des protecteurs, pour espérer repartir avec leurs cible. Cependant, lorsque le cortège passa près de la cachette des bandits, et que ces derniers passèrent à l'attaque, Suiko, qui voyait ses gardes du corps se faire assassiner considérablement et ayant compris très vite qu'elle étais celle qu'ils recherchaient, décida, en déséspoir de cause, de ne pas finir sa vie dans les mains de "manants" et pris comme décision de se suicider en se précipitant dans la mer par fierté et honneur, de sorte à ce qu'elle ne puisse subir d'un côté un châtiment aussi atroce que celui que le chef des bandits et ses larbins comptaient lui faire subir. Son sens de l'orgueil était tel qu'elle n'avait pas hésitée une seule seconde à mettre fin à ses jours. Mais voilà, alors qu'elle étouffait sous l"eau, et qu'elle perdait peu à peu de l'oxygène, elle se cogna la tête contre un énorme rocher de récif, qui manqua de peu de lui fracasser le crâne.

Là, son corps fut aperçu par une Wailmer, qui, ayant eu pitié d'elle, se précipita vers Suiko pour sauver la petite fille, la mettre sur son dos, et avaler au maximum de l'eau pour remonter à la surface et lui permettre de respirer. Mais la petite ne réagissant pas à l'oxygène, le Wailmer se mit à paniquer et décida de se rendre aussi vite que possible à la première maisonnée humaine venue dans l'espoir qu'on puisse y aider la jeune fille. Il s'avérais justement que, quelque part sur un rocher escarpé de l'Ïle, une famille modeste et humble de pêcheurs vivant uniquement de leurs prises, résidait paisiblement sur une chaumière coupée du monde, dont ils ne sortaient uniquement que pour aller vendre leurs poisson dans les quelques villages de l'île, pour gagner un peu d'argent pour payer les rares choses dont ils avaient besoin. Le Wailmer, qui connaissait cette famille pour l'avoir secouru une fois alors qu'il s'était blessé à la nageoire, et il comptait sur leurs générosité pour qu'ils aident Suiko. Un enfant de la famille, la petite Aoi Inja, remarqua la présence du Wailmer et, avant qu'elle ne puisse le salué, elle remarqua Suiko sur le dos du pokémon. Ne connaissant pas la véritable nature ainsi que la réputation de l'enfant, elle se rua à l'intérieur de la maison pour prévenir ses parents, Umiko Inja et Kishitarô Inja, qu'un pokémon leurs amenaient une personne dans le besoin. Ceux-ci, avec l'aide de leurs autres enfants plus âgés, récupérèrent Suiko, et s'occupèrent d'elle comme si il s'agissait d'une reine, avec le peu de chose qu'ils avaient, en ignorant qui elle était réellement, mais en lui donnant tous ce dont elle pourrait avoir besoin pour guérir. Ils changèrent ses vêtements, l'approchèrent de la cheminée pour qu'elle puisse se réchauffer...En se réveillant, Suiko découvrit ses sauveurs, et, étant devenue amnésique dès qu'elle se cogna au rocher, lorsqu'on lui posa les premières questions au sujet de qui elle étais et pourquoi elle avait faillie se noyer, elle dis sincèrement qu'elle ne se souvenait de rien, hormis qu'elle s'appellais Suiko d'après un bref souvenir où l'on soufflait son prénom mais où elle ne voyait pas le visage de ceux qui l'accompagnait, et qu'elle ne savais pas comment cela avait pu se produire. Interloqués, et se doutant qu'elle ne serait dire qui est sa véritable famille, le couple, sur approbation des frères et des soeurs qui étaient leurs enfants, décidèrent d'adopter Suiko et de la prénommée Suiko Inja, le temps qu'elle retrouve sa véritable famille et qu'elle retrouve ses souvenirs, sans se douter qu'elle étais en réalité un monstre. Mais cependant, Suiko semblait avoir changée depuis qu'elle avait frôler la noyade, et, ne se rappelant pas de ce qu'il lui était arrivée, et ni de son ancienne éducation de petite princesse, elle libéra chez elle une nature plus douce, plus vertueuse, plus tendre : l'opposé de ce qu'elle étais avant.

Comment cela était-ce possible ? Comment une vouivre peut-elle devenir humaine en si peu de temps ? Qui sait... Peut-être qu'en réalité, toutes ces gâteries et ces cajoleries de son enfance l'avait métamorphosée en un monstre en manque d'autorité, qui, progressivement, s'est mis à devenir répudié de celle-ci. Peu importait, en tout cas, pour la famille Inja, qui dorénavant, la considérait comme l'une des leurs. Et elle fut ainsi un ange parmi les anges, au paradis que représentais ce cabanon pauvre mais ne manquant de rien d'essentiel à leurs vie, et qui n'étais surtout pas appauvris d'amour familial. Suiko fut heureuse chez les Inja, cohabitant avec allégresse et tolérance auprès de leurs enfants, qui, bien qu'ils étaient nombreux et un peu jaloux de sa présence et du fait qu'ils avaient à partagés l'amour parental avec une inconnue, au départ, devinrent vite ses meilleurs amis, non, voir même, ses frères et sœurs. Le démon repentis se faisait une place de choix dans le jardin d'Eden, et les Hommes ne se rendaient même pas compte qu'ils avaient cueillis une pomme maudite. Mais à quoi bon se poser des questions lorsque celle-ci se comportait comme une sainte d'Arceus, s'occupait des plus jeunes enfants et soutenait les plus âgés ? Témoignait une reconnaissance profonde envers ses sauveurs et sa famille d'accueil ? S'était liée d'amitié avec le pokémon qui l'avais récupérée en eaux nuisibles tout en lui donnant un joli petit surnom en signe d'affection ? Avait liée des liens forts avec tous les pokémon de type eau des environs ? Aidait à la cuisine, au commerce, aux tâches ménagères et aux entraides ? Veillait au chevet des malades du toit ? Sans oublier sa douceur, sa gentillesse, son état d'esprit toujours optimiste, chargée de bonnes intentions comme un vase de fleurs remplie d'eau ? La vie avait beau être difficile et peu confortable parfois, elle ne s'étais jamais plaint car ils ne manquaient jamais de rien. Tous semblait lui plaire et l'enchantée, elle croquait chaque morceaux de la vie à la manière d'une pomme... Puis ce fut la découverte, un beau jour de mai, où, profitant du climat exceptionnellement tiède et chaleureux de l'île du Poisson, elle fit une révélation à toute la famille qui les laissèrent ahuris, au point que certains hurlèrent de surprise : Suiko pouvait manipuler l'eau, du moins une infime partie. Effectivement, alors qu'elle s'était rapprochée d'un des rochers les plus bas de l'îlot, et qu'elle trempait ses pieds, elle se surpris à développer un pouvoir magique stupéfiant. Sa main, qui avait décidée de toucher un peu l'eau histoire de se rafraîchir, avait commencée à brusquement sentir l'eau s'aglutiner au dessus de sa paume, et intriguée, lorsqu'elle l'à sortie de l'eau, Suiko se rendit compte qu'une minuscule bulle d'eau en forme d'orbe sphérique venait de se former, et que celle-ci flottait sans but dans le périmètre de son membre. Elle cria d'étonnement et d'ahurissement, faisant accourir les siens, qui assistèrent au spectacle surnaturel. Ayant deviner que leurs fille adoptive était une Elémental, les parents sautèrent de joie et se mirent à lui dire que ce qu'elle avait fait était tout à fait exceptionnel, et que cela relevait d'une rareté impressionnante sur l'Île du Poisson. A la fois hébétée et curieuse, Suiko se mit à regarder la bulle d'eau jusqu'à qu'elle disparaisse en éclatant, et promis donc à sa famille qu'elle n'utiliserais jamais ce pouvoir à de mauvaises fin, craignant qu'elle ne devienne une sorte de sorcière malveillante, et voulant rassurer à la fois la famille Inja qui, tout de même, commencaient déjà à lui dire que des pouvoirs comprenaient également de très grandes responsabilités quelques heures après la découverte, et s'acharnaient sur le fait qu'elle ne devait pas prendre la grosse tête à cause de ça. Plus tard, elle fut très intéréssée par les autres élément que composait la nature, et se demanderait ce qu'il se passerait si ceux-ci étaient harmonisés en une seule et même magie parfaite, faisant qu'elle inspirera à une alliance des éléments de tous type, sans pour autant savoir que la spécialisation de fusionneur existait chez les Elémental.

Ainsi, cet évènement joyeux se solda par une situation dramatique qui fit basculer la psychologie de Suiko, alors âgée de 13 ans au moment des faits. Ce fut deux semaines après qu'elle ai découvert ses pouvoirs, et qu'elle pensais que nul cauchemars ne pourrait entailler son rêve paradisiaque. Elle avait tous faux, depuis le début. Car une nuit, alors qu'elle jouait avec Kujirahime, la Wailmer qui l'avait secourue, dont elle venait d'apprendre juste après son sauvetage que s'était une femelle, une barque de pêcheurs se mit à avancer dans la pénombre, pour des raisons qui semblait inconnue à Suiko, étant donner que nul n'osais s'aventurer sur cette partie des récifs depuis des lustres. Curieuse, elle décida de converser un moment avec les étrangers et de leurs proposer de l'aide pour savoir si ils étaient perdus, et ceux-ci se révélèrent être courtois et d'une sympathie tranchant avec leurs haillons et leurs chapeaux de pailles leurs couvrant la moitié du visage, et qui n'inspiraient guère confiance à Suiko. Mais apprenant qu'ils étaient amicaux, elle leurs proposa de venir passer du temps chez elle, avec sa famille, chose qu'ils acceptèrent, car elle appris bien vite qu'ils étaient épuisés de ramer, et qu'ils avaient bien besoin d'une pause. Mais ce fut une grave erreur de la part de Suiko, qui soudainement, lorsqu'elle mena les inconnus dans le foyer des Inja, et que l'obscurité de la nuit sans lune ne put dissimuler son apparence réelle, les hommes se rendirent compte à qui ils avaient affaire, alors que la famille les accueillaient à bras ouverts, leurs souhaitant déjà la bienvenue. Ils se rendirent compte de quelque chose, murmurèrent entre eux, se regardèrent, puis regardèrent de façon étrange Suiko, et leurs sourcils se fronçèrent lorsqu'ils entendirent la mère de famille ordonner aux enfants de mettre des couverts en plus pour les visiteurs nocturnes, surtout lorsque celle-ci appela la fille adoptive par son prénom. A ce moment-là, ils remercièrent froidement les Inja, mais annoncèrent qu'ils n'avaient pas faim, et qu'ils se sentaient tout compte fait de ramer jusqu'à leurs village natal. Après quelques brèves salutations, ils partirent dans les ombres, sans même se retourner, et en se parlant mutuellement sans que Suiko et les autres ne comprennent ce qu'ils voulaient dire.

Une nuit, le calvaire commença. La famille était couchée, et dormait sereinement, comme à son habitude, lorsque la petite Aoi se réveilla en sursaut de son lit, pour se mettre à trembler et se diriger vers Suiko, la soeur dont elle était le plus proche, pour lui dire qu'elle avait peur. Suiko, se réveillant, et sur un ton doux et anxieux, se mis à lui demander ce qui lui travaillait l'esprit pour qu'elle ne puisse pas faire de beau rêve. C'est qu'elle était toute jeune la petite Aoi : cheveux noirs attachés en chignon orné d'une fleur blanche, yeux d'un bleu azuré remplit d'une tendresse de chérubin, et ayant fêtée il n'y à pas longtemps ses 5 ans. Celle-ci se plaint qu'elle entendait des bruits curieux dehors, et qu'elle avait peur que ce soit un pokémon sauvage ayant mal tourné, ou un prédateur affamé. Suiko, riant calmement pour ne pas réveiller les autres, lui chuchota à voix basse qu'elle ne pouvait pas craindre cela, vu qu'ils étaient sur une îlot. Mais tous cela fut réduit en poussière par la porte, qui, secouée et frappée de coups violents, se fit enfoncée par un pieds chaussé de bottes métalliques. Les deux filles crièrent, réveillant toute la famille, qui se rua vers l'origine du bruit... Juste pour voir une lame de lance transpercer le père, qui poussa un cri d'agonie tandis que le précieux liquide vermeil commença à couler, et une flèche toucher en plein coeur la mère, qui crachota du sang avant de s'effrondrer par terre. Avant de mourir, elle eu le temps de tourner difficilement la tête, et d'articuler une injonction leurs demandant de s'enfuir sans prêter attention à elle et leurs père sanguinolant dans son bain de sang. Effrayés, apeurés, les enfants tentèrent de fuir par l'unique fenêtre de la maison, mais à leurs grand malheur, ILS étaient également de l'autre côté. Alors, tandis qu'ils tentèrent d'éviter les katanas qui brisaient la vitre et tentaient de les embrochés vifs, les assaillants de la porte en profitèrent pour s'en prendre à Suiko et aux innocents, aux innocents enfants qui n'avaient rien fait de mal. Ils furent chacun percés d'une flèche d'artillerie, mais Suiko eu le temps de voir, avant de sombrer dans l'inconscience, elle eu le temps de remarquer l'horreur, l'enfer, la torture. Des supplices, des voix implorantes sur le lit de mort, des yeux ensanglantés se fermant pour un ultime sommeil de belle-au-bois dormant. Elle hurla de douleur et de déséspoir lorsque Aoi, la petite Aoi, l'innocente Aoi, le petit ange d'Aoi, avait son torse constellé de quinze flèches (elle en étais toujours choquée d'avoir pu les comptées dans leurs entièreté) et réclamer à voix étouffée ses parents décédés, vers lesquels elle tenta de s'avancer lentement, avant qu'un des attaquants ne la décapite dans un geyser rouge qui sortit de sa gorge. Suiko ressentit ses forces la quittée, son sang couler, et les larmes aussi froides que la lame aiguisée couler sur ses joues, lorsqu'elle appris que, se trouvant derrière tous ses frères et soeurs, elle appris qu'ils avaient encaissés la majorité des flèches jetés contre eux, et qu'elle n'en avait reçue que trois à des points non-vitaux, que les aggresseurs, les meurtriers, avaient ratés de peu. Elle appela une dernière fois chaque prénoms de sa famille, avant de se faire assommer du plat d'un katana, sans connaître la véritable nature et les raisons de ses assaillants, et voir sa vie la quittée peu à peu.

Mais elle survécu, encore une fois sauvée par Kujirahime, lancée dans l'océan, par des êtres infâmes croyant sa dépouille morte. Elle ne s'était vidée de son sang, mais celui-ci avait uniquement couler en faible quantité grâce au fait qu'elle avait eu des lésions à des points secondaires de son corps et que les flèches ne s'étaient pas trop profondément enfoncées dans sa chair, ce qui lui avait permis miraculeusement de survivre, encore une fois. Lorsqu'elle fut jetée avec toute sa famille dans l'océan, sa Wailmer ressentit la perdition et la perte prochaine de sa maîtresse si elle restait trop longtemps dans l'eau, qu'elle colorait de rouge avec son sang giclant. Alors, comme elle l'avais fait il y à pas longtemps de cela, considérant avec tristesse la perte des autres membres des Inja, mais la potentielle survie de l'une des leurs, elle se rua pour la porter sur son dos et coincé un de ses bras sous sa nageoire pour la prendre, et l'emmenée chez une guérisseuse très connue sur l'île au Poisson, pour sa neutralité et son impartialité lorsqu'elle guérissait autrui, espérant que Suiko ne serait plus en danger chez la vieille femme. Elle avait hésiter avant à l'y emmener, car elle ne guérissait que les blessures impliquant une ouverture de la peau, et cela était son seul domaine de prédilection. De plus, en tant que seule guérisseuse de l'île, elle était forcément digne de confiance.... Et la suite de l'histoire ? Elle n'est que le commencement d'une nouvelle.... Car une fois emmenée chez la guérisseuse, une fois guérie, son aventure ne fera que débuter véritablement... Que sera-t-elle ? Une quête de vengeance ? Ou alors une quête de pouvoir ? Peut-être même une quête initiatique ? Car après tous, dès qu'elle serait sortie de la guérisseuse, tous pourra arriver, le pire comme le meilleur....

Caractère : Suiko est une jeune pré-adolescente rassemblant énormément de qualités morales qui pourraient paraître miraculeuses chez un humain, tellement elle apparaît comme une jeune fille comblée de dons : générosité, amour de l'autre, patience, bon jugement des choses, douceur, foi en ses camarades.... Cependant, ne vous laissez pas aveugler par cette partie d'elle un peu trop blanche immaculée, car derrière celle-là, se cache un égoïsme, un orgueil, ainsi qu'un sens de l'honneur extrêmement présent, hérités de sa "première vie", qu'elle n'à pas perdue pour autant et qui refont quelques fois surface dans des circonstances très particulières. A ces moments-là, mieux vaut ne pas essayer d'aller à l'encontre de ce qu'elle veut, ou même de la contestée, car elle pourrait très bien perdre le contrôle de sa personnalité angélique, et se transformer en une entité diabolique dont vous ne sous-estimez même pas la dangerosité.... Cela à notamment fait son apparition depuis qu'elle à perdue les siens, et une simple référence ou rappel de son ancienne vie risque fort de la rendre incontrôlable, impossible à calmer. Un retour à son ancienne personnalité ? Peut-être... En tous cas, cette personnalité s'affiche toujours en combat, lorsqu'elle perd souvent le contrôle d'elle-même, et qu'elle ne supporte pas la violence de l'adversaire. Elle partage des relations fusionnelles avec Kujirahime depuis ses double-sauvetages, et elle refuse catégoriquement d'être séparée d'elle une seule fois à cause de son traumatisme. Jamais elle n'exprime son autre personnalité devant elle, et les deux sont prêtes à se sacrifier mutuellement l'une pour l'autre, surtout Suiko, qui cherche à être redevable de la fidélité et de la bonté de son pokémon. Kujirahime étant la seule famille qu'il reste de Suiko, celle-ci serait détruite si elle venait à perdre la Wailmer. Elle lui fait confiance et l'écoute toujours, ne la trahis jamais, et la traite comme une sœur pour elle, littéralement comme un humain, au point que l'avis de son pokémon peut passer avant celle de son entourage. Avec un groupe d'aventuriers, elle sera sympathique et compréhensive, semblable à un ange pur de tous vices. Néanmoins, si des sujets qu'elle ne peut supporter sont abordés, comme sa famille dont la perte l'à profondément marquer, ou encore si elle est insultée, alors, à moins que l'interlocuteur s'excuse ou fasse preuve d'une clémence extrême, alors Suiko se transformera mentalement en une furie, et cela durera jusqu'à qu'elle se calme d'elle-même en se rendant compte de ce qu'elle devient, ou que Kujirahime la calme. Elle à néanmoins aucune conscience de sa méchanceté intérieure, et elle se sent toujours coupable ensuite d'avoir agis de telle sorte, surtout qu'elle ne supporte pas de manquer aux principes des Inja. Cependant, cette culpabilité n'apparaîtra chez elle que si son interlocuteur fait également preuve de conscience sur son comportement et souhaite remettre les choses en ordre. Sinon, elle ne se rendra compte de rien, car elle se base uniquement sur la comparaison morale entre elle et celui avec qui elle entre en contact. Suiko, par ailleurs, connaîtra son nom de famille véritable suite à sa visite chez la guérisseuse, mais jamais ne saura qui elle est réellement, car cette même soigneuse à refuser de le lui dire pour des raisons personnelles, de crainte qu'elle ne redevienne celle qu'elle était avant, ayant compris qu'elle pouvait rapidement prendre de l'orgueil. Ainsi, Suiko sera surprise si on parle de ses jeunes années de prêtresse privilégiée au temple, et niera ses anciennes fautes, ne sachant pas qu'elle les à faîtes elle-même. Le souvenir de la prétrêsse Suiko étant devenu un lointain mauvais souvenir sur l'île, jamais les habitants n'en reparleront, ceci appartenant au passé que nul ne veut se remémorer, selon la mentalité des habitants. De plus, même si l'apparence de Suiko rappelleront aux habitants cette même prétrêsse, pour les rares l'ayant vu, eux-même croirons à une simple coïncidence, même si Suiko recevra une certaine hostilité à cause de son physique. Aussi, la guérisseuse lui ayant bien garder de ne jamais dire son prénom aux habitants, et de mentir dessus si cela est nécessaire, probablement pour la sécurité de Suiko, celle-ci obéira aux instructions de sa sauveuse, étant très obéissante de nature. Aussi, en dehors de ses crises, elle peut s'avérer être l'alliée parfaite, à moins que son pokémon ne prenne le dessus sur ses vertues. Elle à confiance en tous ses camarades et elle se montrera emprunte d'un respect sans égal devant eux. Surtout, elle se montrera amicale et polie devant toutes les personnes avec qui elle discute.

Description physique : Suiko est une jeune fille aux longs cheveux gris anthracites, lui arrivant jusqu'aux pieds, dont la frange lisse et droite lui recouvre presque les yeux, et possédant deux mèches de devant aussi longues que sa chevelure arrière qui se terminent en deux boucles anglaises, comme tous ses cheveux, ce qui forme un ensemble très curieux de lisseur total et de boucles lourdes, ce qui n'est guère harmonieux. Elle à cependant de magnifiques yeux de biche gris couleur aigue-marine, ainsi qu'une silhouette peu corpulente d'une minceur ordinaire. Le plus souvent, elle est pieds nu, chose qui lui facilite grandement ses déplacements lorsqu'elle doit courir, car habituée à un climat tempéré sur l'île, et qu'elle à vécue durant une grande partie de sa vie chez une famille défavorisée. Mais cela ne semble pas la faire souffrir, car étant habituée à marcher sur des rochers, des rivages de sables, et sur l'herbe, elle se moque que ses pieds deviennent sale et des changements de températures du sol selon les saisons. Mais bien entendu, elle ressentira une douleur extrême si elle se trouve sur un sol parsemé d'éclats de verre, et ne pourra supporter de marcher sur la neige. Cette habitude à un double-tranchant, car même accoutumée à une marche sans chaussures, cela l'à à la fois renforcée et jetée dans une sensibilité déconcertante au niveau des pieds, ce qui fera qu'elle devra vite apprendre l'usage des chaussures. Depuis sa chute, elle à tous le temps été habillée d'un uniforme blanc de miko. Mais les ornements qui marquaient son importance dans le sanctuaire de son enfance ont disparus durant sa première noyade, et on lui à déchirer la ceinture en forme de noeud qui l'empêchait de respirer, car trop serrée, faisant qu'à présent, elle est vêtue d'un hakama rouge qu'on à ensuite ceinturer à sa taille avec une corde de lin blanche, ainsi que d'un chihaya blanc par dessous, ce qui lui donne un style dépaysant. Cependant, ce costume sera légèrement troué au niveau de la cheville, de l'épaule, et du bras gauche, endroits où les flèches ayant attaquées Suiko se sont fichées.  

Particularités : Hormis sa capacité à maîtriser l'élément de l'eau, sa bonne entente avec les pokémon de type eau qui entouraient jadis sa demeure, son habitude à marcher pieds nus, ainsi que sa personnalité cachée, elle n'à pas de particularités spécifiques.

Image ou dessin : Il n'y à pas d'images pour décrire Suiko, tous simplement parce que pour le moment, aucune ne correspond à l'apparence du personnage.

Premier Pokémon : Wailmer.
Sexe du Pokémon : Féminin.
Surnom du Pokémon : Kujirahime.
Âge du pokémon : 3 ans.
Image ou dessin :

Autres remarques : Il se peut que le personnage de Suiko soit en réalité assez difficile à supporter lorsqu'elle se mettra à arborer son ancienne personnalité, mais normalement, cela ne durera que jusqu'à une certaine période, et n'est jamais permanent. De plus, même si il est stipulé que Suiko peut marcher pieds nus, elle n'est tout de même pas une surhumaine qui peut marcher sur n'importe qu'elle surfaces sans avoir mal, c'est une jeune fille normale qui, comme tous les humains, ressent la douleur. Même si Suiko possède des pouvoirs élémentaires, ils sont faibles et ne pourrons devenir puissant qu'après entraînement. Il se peut que sa première aventure suive la chronologie de sa biographie, où elle sortira de chez la guérisseuse. Si cela n'est pas possible, alors je m'arrangerai pour qu'elle arrive à un lieu et qu'elle raconte sa sortie de chez la guérisseuse. Si jamais il faut une autre fin pour sa biographie, alors je la modifierai.

Merci beaucoup d'avoir lu cette présentation.

[Nina Wang]

Bonsoir et bienvenue sur le forum !

Je vais m'occuper de ta fiche, je reposterai quand j'aurai terminé de la lire

N'hésite pas si tu as des questions, en tout cas !

[Nina Wang]

Hop, me revoilà.

Tout d'abord, petit souci d'immersion, tu parles à un moment des bandits qui ont des Pokémon "au moins d'un niveau supérieur à ceux des protecteurs". Or, dans un contexte RP comme celui d'Érasia, parler de niveaux comme dans les jeux "casse" un peu l'immersion et ramène à des statistiques qui ne valent pas grand-chose ici Tu peux par exemple dire qu'ils se sont assurés d'avoir avec eux des Pokémon plus puissants que ceux des protecteurs de Suiko pour coller au contexte

Autre truc que j'ai repéré, tu parles d'Élémental comme d'un métier, mais ce n'est pas vraiment un choix de vie de manier un élément, on a un don ou on l'a pas, on peut s'entraîner pour le développer mais on peut difficilement parler de ça comme d'un boulot Cela s'apparente plutôt à des capacités.

Ensuite, quelques problèmes de compréhension ^^' Un peu plus loin, j'ai vu : "Elle s'était vidée de son sang, mais en faible quantité". Euh... Soit elle s'est vidée de son sang et il lui en reste pas des masses, soit elle en a pas perdu beaucoup, mais là y'a une légère contradiction

Enfin, j'ai relevé ceci : "De plus, même si il est stipulé que Suiko peut marcher pieds nus, elle n'en reste pas moins une surhumaine qui peut marcher sur n'importe qu'elle surfaces sans avoir mal, c'est une jeune fille normale qui, comme tous les humains, ressent la douleur". Je pense que tu voulais dire "elle n'en reste pas moins humaine", du coup

Sinon, la description du caractère ne fait que 209 mots, il en faut 350, je vais donc te demander de détailler un peu plus cette partie-là Tu peux, par exemple, parler de sa manière d'interagir avec autrui, avec les Pokémon, etc. Tu peux également parler de ce qu'elle ressent vis-à-vis de son don d'Élémentale, de la place de ses pouvoirs dans sa vie, bref, tu as de quoi étoffer la description je pense

*Met sa casquette de Responsable de Mizuhan*

Après, je trouve l'histoire originale, et je ne vois pas pourquoi je refuserais l'idée d'un culte de Suicune isolé sur l'Île du Poisson, pourquoi pas après tout, même si j'aurais plutôt vu ce culte du côté de la Muraille Éternelle ou de Fla'or (les pouvoirs de Suicune combinés à ceux d'Artikodin sont à l'origine de la quasi invisibilité de cette muraille dans la neige) Je ne sais pas si tu as eu le temps de parcourir un peu le Wikia d'Érasia (par ici, mais tu peux y trouver notamment l'histoire de l'Île du Poisson, si ça peut t'aider

Je te laisse donc corriger les quelques soucis que j'ai relevés, et je reviendrai vers toi pour la validation quand ce sera fait. Encore une fois, si tu as des questions, surtout n'hésite pas à les poser, je suis là pour y répondre

[Suiko Utekiya]

D'accord, merci. Je vais corriger cela ce soir et demain, quand j'aurais le temps. Je vais consulter l'histoire de l'île du poisson, et je vais agrandir le caractère de Suiko.

[Suiko Utekiya]

Bonjour ! Normalement, j'ai fais toutes les modifications nécessaires ! Est-ce que c'est bon, ou dois-je modifier autres choses ?

[Nina Wang]

Re-bonsoir

J'ai relu toute la fiche et les points que j'avais relevés ont été corrigés, aucun souci pour moi pour te valider, du coup !

Je te mets 9 points pour ta fiche, ce qui t'en fait 14 avec les 5 offerts pour démarrer ton aventure

Tu peux dès à présent demander un RP ici, si tu le souhaites, pour commencer à jouer ^^

Bon jeu à toi, et n'hésite pas si tu as des questions !

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