[ Clos ] [EVENT] Quand le retour se voit mouvementé... [PV Ishi]

[Givralion]

Le temps avait passer. Givralion accompagnait Molly sur les terres de Flamen , le pays du feu.La jeune femme aux cheveux rouges était partie , tout comme Givra. Il ne savait plus où aller , quoi faire. Autant rentrer chez sois , il ne sert à rien de traîner dans les territoires ennemis. Il quitait désormais Flamen et se dirigeait maintenant vers Mizuhan , son pays d'origine , celui où il auraitl'impression d'être chez lui. Le chemin était long et périlleux ,  la route était sèche , rocailleuse , il était difficile de passer dessus , et le seul moyen qu'avait Givralion de rentrer jusque dans les terres enneigées était la marche. Pendant plusieurs jours il a marchait , encore et encore , sur les routes et les chemins , il ne voyait que du rouge autour de lui , les arbres de Flamen étaient hauts et chaud , le soleil frappait , il était fort. Puis peu à peu , petit à petit la végétation changea , le rouge alentours laissa place au blanc pure , les arbres grands et chauds se transformères en en longs bouts de bois enneigés. Tout se qui avait manquer à Givra pendant ces longues semaines revenait enfin à lui. Il y était enfin , il était revenu , à Mizuhan. Seulement il ne savait pas encore se qui l'attendait. En route vers Fla'Or , il rencontra un vieil ami , un homme d'une trentraine d'années qu'il connaissait depuis qu'il était jeune , il s'appelait Heinrich. Tout en passant devant lui , l'homme lui dit :

Et bien mon garçon , voilà bien longtemps que nous ne t'avions pas vue par ici ! Où étais tu donc passer ? Nous nous sommes fait du soucis en pensant que tu étais mort pendant la guerre !

Givralion regardait l'homme avec un sourire aux lèvres , il ne s'attendait pas à le voir mais fut heureux de retrouver cet vieille connaissance :

Ho Heinrich , ça fait plaisir de te voir , mais pourquoi parle tu de la guerre , elle est fini depuis plusieurs mois et tu m'as vue après , je suis rentrer au pays pour prendre des nouvelles et me reposer un peu.

Heinrich le regardait étrangmenet comme s'il ne comprenait pas se que lui racontait le jeune homme :

Mais , Givra , une deuxième guerre est encours , tous les soldats capables de se battre on étaient enrôlés , tu n'es pas au courant ?

Désormais , Givralion regardait l'homme d'un air effaré , et le sourire lui tomba des lèvres

Où cette guerre se passe t-elle ?!

Sur les plaines de Mizuhan à quelques kilomètres d'ici.

Alors immédiatement , Givralion fit demi-tour et sauta dans la première charette venue qui partait en direction des plaines. Le voyage n'allait pas être très long mais Givra espèrait arriver à temps pour pouvoir combattre aux côtés de ses frères et soeurs. Il était en route ,  les plaines n'étaient plus très loin.  En route , Givra sauta de la charette et continua à pied , il marhciat puis courait et marchait puis encore une fois courait , ainsi de suite jusqu'à se que la nuit tombe et que les lueurs rouges des torches du camp de Mizuhan soient en vue. Le ciel était noir , la nuit était mouvementait , Givra se dirigeait en direction du camp Mizuhannien. Sac sur le dos , cheveux dans le vent , la confiance et la fierté se lisait dans ses yeux. Il était rentrer dans le camp , les soldats le regardaient , un léger sourire se fit sentir sur leur visage. Une recrue de plus ne serait pas de trop devaitn ils penser. Seulement , autour d'uex se trouvaient les bléssés , des hommes de Nalcia et de Mizuhan , les soldats Nalciens , cela apportait à Givra un coup de confiance de voir que Mizuhan n'était pas seul dans la bataille.

Je vois que vos exploits ne sont pas très glorieux , il est temps de remédier à cela.
General , où en sommes nous dans la bataille ?
A partir de maintenant je prend part dans cette guerre.

[Désolé ,léger m'enfin ... ]

[Ishizu Yggdrasil]

Qu'elle étrange rêve. Le jour de la guerre, quand elle était arrivé à son terme, quelqu'un l'avait enlevé, puis plus rien. Au réveil, il avait cru rêver, retombait en enfance. Il s'était retrouver dans sa chambre, dans son lit, dans cette pièce spacieuse ou il avait vécu avant de partir, dans cette villa luxueuse. Car oui, Ishizu n'avait pas des parents pour ainsi dire pauvres, mais non pas des nobles non plus, pas plus que de bons bourgeois. A vrai dire, ils avait que son père avait eu un haut grade militaire, il avait fait partie des meilleurs, de ces grands duquel on loue le nom et la légende. Il savait que sa mère était une femme gracieuse et dont le pouvoir était étrange et exceptionnel, ce qui en faisait une femme de garde de renom parmi les plus riches, mêmes parmi la famille royale.
A vrai dire, l'adolescent n'avais jamais vraiment su comment ils possédaient autant de richesse, tout ce qu'il savait, c'était que ses parents avais beaucoup d'affaire importante dont-il n'était jamais le premier à être averti. D'ailleurs, même sa sœur qui fuguait et revenait tout le temps, grande fille qu'elle était, en savait plus que lui. Il était l'ignorant, celui qui ne savait rien, était toujours le dernier à savoir, il ne s'en formalisait pas, même si cela finissait par lui taper sur les nerfs.

"Il y à quelqu'un ?"

Aucune réponse, rien. Ainsi il put découvrir que les draps blanc de son lit sentait bon et qu'ils semblaient neuf, ou plutôt changés il y à peu. Mais il ne se trouvait pas en train de batailler ? Ne possédait-il pas des blessures et des cicatrices ? Il passa sa main sur les partis de son corps encore meurtri, il pouvait ressentir la douleur de son corps, les entailles refermés sur son corps. Oui, il ne rêvait pas, il était bien chez lui, en vie.
Il sortit de sa chambre comportant un lit grand et large, une large commode, une ouverture non fermé sur un balcon dont les rideaux de soie flottait à cause d'une légère brise, les hivers de Flamen étant rarement frais, pas besoins d'avoir des fenêtres.
Il sortit de sa chambre, il remarqua qu'il était pied nu et ne portait qu'un simple pantalon. Quand il était partit il avait 16 ans, un gamin légèrement musclé, maintenant il en avait 17, il avait muri, bien grandi et avait une musculature d'un bel homme de son age. Ses cheveux courts en pétard lui donnait un charme voluptueux. Ce n'était pas son propre regard, lui trouvait que les quelques cicatrices et sa coupe arbitraire ne le mettait pas en voleur même s'il se fichait bien de sa posture et de sa tenue si ce n'était pas quelque chose de formel.

Il descendit ainsi les escaliers qui menait à l'étage des chambres, soit celui ou il se trouvait jusqu'à ce qu'il descende d'un niveau. Depuis le début il marchait sur les pavés de pierre, le sol n'étant pas du parquet ou tout autre chose, juste de la pierre froide sans tapis quelconque, mais les pierres était chaudes contrairement à ce que l'on pouvait penser.
Ainsi il finit par se retrouver au rez-de-chaussé, rien n'avait changé, absolument rien, tout était exactement à la même place. Il vit roupiller l'Arcanin de la famille, autrefois Caninos. Il se dirigea vers la salle principale en simple pantalon, son buste dévoilant ses abdos qu'il ne montraient pas pour faire le coq fier, mais par inadvertance. Ainsi déboula t-il dans la salle ou l'on recevait les inviter, et la, que ne fut pas sa surprise, il n'y découvrit personne, absolument personne, alors qu'un serviteur, majordome etc. se trouvait toujours la pour subvenir au besoin de la famille. Même s'il devait avouer qu'ils ne l'engager vraiment que pour lui offrir un travail, car à ce qu'il s'en souvienne, sa famille était trop gentille pour laisser un autre faire leur chose à leur place. Alors au lieu de sa, la personne assigné servait seulement d'aide, par exemple s'il fallait déplacé un meuble et qu'il manquait quelqu'un, ou qu'il fallait découper un fruit alors que sa mère s'occupait d'une autre sauce. En gros, ils n'engageait personne pour que ce soit un larbin.

Il soupira et se dit que la maison devait être vide, mais il ne sortit pas à l'extérieur, quelque chose lui disait qu'il n'avait rien à faire dans le jardin extérieur. Aussi apparut-il dans la cuisine et y découvrit-il enfin une forme de vie, connue, et aimée, dans le sens familiale du terme.
Sa grande sœur. Sa taille était tel un grand arc japonais, comme celui qu'il avait utilisé un moment, et elle semblait aussi fine. Elle cachait sa poitrine par un haut bouffant, mais si elle faisait cela ce n'était pas pour cacher une taille minuscule ou compenser, non, elle cherchait plutôt à cacher ses attributs proéminents. Une raison pourquoi le petit Ishizu n'aimais pas les femmes à lourdes poitrines, car il ne voulait pas avoir l'image de sa sœur pour l'avoir déjà vu en robe de soubrette en sortant de sa chambre.
Elle avait les mêmes cheveux que lui, d'un blanc éclatant, lumineux, lisse et et long lui tombant aux niveaux du postérieure. Ses yeux était bleu contrairement au garçons, d'un saphir mer envoutant, et son teint était mat, comparé au clair de son petit frère, elle tenait sa de leur père et lui tenait plutôt de leur mère, c'était la même chose pour les yeux, seul leur cheveux venait de leur père, leur mère les ayant d'un noir de jais profond.

Elle avait les coudes posé sur le buffet qui faisait face à l'entrée de la cuisine, un style assez connu chez les personnes ayant payés un bon prix à un architecte reconnu. Tout était en bois brut d'acajou, rejetant cette impression de rouge profond, légèrement bordeaux.
Elle lui sourit et le regarda d'un œil complétement sarcastique comme elle aimait le faire, en fait, elle adorait enquiquiner son petit bout de frère. Sa voix aurait put paraitre voluptueuse, mais elle était grave, mais restait féminine, une voix pour une personne qui savait donné des ordres et envoyés des réponses bien clinquantes.

"Hoy ! Ishi ! Tu était pas encore levé ? Putain ! C'est dingue le temps que tu met pour te remettre de blessures bénignes ! Je me demande pourquoi père est venu de te chercher, à savoir qu'il n'a même pas mit un dizaine de minute pour faire l'aller retour jusqu'ici.
Qu'elle minable tu fait franchement ! Quand la guerre sera fini, j'espère que tu auras grandi !"

Elle semblait lui dire qu'il n'avait pas changé et qu'il était resté un gamin, un simple enfant geignard et incapable de se défendre. Il ne vit aucune larme tomber, car il n'en avait pas, et il ne pleurerait pas, il n'était plus comme avant, et elle ne s'en était pas aperçu.
L'adolescent frappa le sol de son pied, provoquant un barouf incroyable, le sol dallé de carreaux rouges se brisa et sur un petit rayon autour du lieu de frappe, le carrelage laissait échapper des volutes de fumée et une lumière dessinait chacun des fissures, comme le magma encore en fusion.
Elle ne dit plus mot, elle s'était soudainement tut et avait ravalé la remarque qui allai sortir, elle ne se rappelait pas le jour ou son petit frére avait changé, ce qui l'avait étonné.

Il était aujourd'hui revenu sur le champ de bataille, et pour cela il avait épuisé son Scorvol qui ne pourrait pas agir avant bien longtemps. La légende de ses scorpion n'ayant besoin que d'une brise pour faire un tour du monde était réel, de plus ils avaient eu de bonne bourrasques, et était donc passé à vitesse rapide jusqu'au lieu d'arrivé. Mais plus question de compter sur un pokémon ou autre chose, il ne pariait que sur lui même, et aucun des trois autres n'avait le droit de se montrer sans son autorisation.
Après son accrochage avec sa sœur il était parti de chez comme il était venu. Ramenant seulement les affaires dont-il avait besoin, soit une nouvelle armure d'un rouge profond et noir, armure aussi unique, et cette fois elle ne serait pas détruite par son père ou un autre. Il avait aussi prit l'arc assortit, grand et magnifique, il allait tuer, non pas pour se venger ou se défouler, mais pour son pays, et il ne ferait pas de quartier, enfin c'est bien ce qu'il aurait cru. Allait-il se rendre compte qu'il allait rencontrer un ancien rival ? Une vieille connaissance ? Un ennemi qui n'en n'était pas un ? Allait-il le reconnaitre et inversement ? A vrai dire, seul l'avenir pourrait nous le dire, mais déjà les armées se faisaient face et les premiers partait dans la mêlée. Le voila de retour dans l'arène de combat, de sang, de meurtre et d'injustice.

[Invité]

La guerre…. Le ciel a laissé place à la terre solitaire, devant les maisons les larmes de la pluie, laissent sur les visages la terreur de la guerre. L'obscur voile des flèches semble accueillir la nuit, et le fracas, les flammes, les voix des jeunes morts, sonnent comme un drame, comme une âme sans vie. La guerre… Ikuto regardait le terrain du haut de son arbre, Absol a son pied, il reniflé les différentes odeurs de mort qui planés autour d’eux. Le jeune soldat était bien installé sur sa branche de chêne, il regardé les soldat ennemie se confondrent avec les siens. Confortablement installé et a l’abris d’une attaque, Ikuto pouvait sans aucun probleme tirer sur l’ennemie sans forcement être vue. . Il arme son arc d’une de ses flèches, le bande, vise le point faible d’un guerrier, le cou, et tire ! Le projectile s’envole et tombe droit sur sa cible, l’homme meurt sur le coup et tombe au milieu de la bataille. Ikuto sourit sous son casque. Sans prêté garde une flèche se planta juste au dessus de sa tête, , Absol grogna, des hommes l’avait repéraient. Ikuto s’accrocha avec l’une de ses dague t glissa le long du tronc . Retira d’un coup sec son arme de l'arbre, fessant couler le sang jaunâtre du chêne. Il rangea aussi tôt sa dague, pris son arc et tira quelques flèches pour faire tomber un petit nombre d’ennemis. Comme des mouche 3 d’entre eux tomba a terre se fessant piétinés par leurs camarades. Une fois assez prés Absol fonça sur l’un d’eu pour le prendre a la gorge, le sang de sa jugulaire gicla. Le pokemon le laissa dans sa souffrance et sauta sur un autre, malheureusement il nu pas la même chance et fut violemment repousser par un bouclier. Absol se retourna tomba sur ses quatre pattes et fonçant de nouveau sur sa cible. De son coté Ikuto sortit son autre arme, une sorte d’épée en forme de clé nommé « Kurai Tsurugi », son métal est noir et extrêmement tranchant. Ikuto regarda les ennemis, il les positionna dans sa tête et fit signe a son pokemon de lancer une attaque. Absol ferma les yeux et ouvris grand sa mâchoire laissant échappée une lumière aveuglante. . Les soldats ennemis maintenant stoppé Ikuto se lança a leur rencontre avec son épée, il les tranchant de tous les cotés, chacun fut massacraient. La lumière se dissipa et le petit groupe de soldats de Mizuhanois furent tué. Le jeune novice, essoufflé par son grand effort essuya le sang qui se trouvé sur son casque. . Ikuto recula un peu, il trouva sur son chemin l’arbre et y tomba a son pied, il ôta son casque pour mieu respirait et regarda le carnage q’il avait crée, 6 hommes morts, aucune blessure… non, Ikuto était bel est bien blessé c’est pour cela qu’il respirait a s’arraché un poumon. Dans son épaule gauche une flèche ennemie c’était planté. Il ‘arracha d’un seul coup et la jeta dans l’herbe, il déposa sa main sur sa blessure et laissa son Absol s’approcher, celui-ci lécha lentement sa blessure… C’étaient leur première guerre et les voila déjà blessés… Espérons qu’aucun autre soldat ennemi ne viendrait les déranger pour le moment.

x. Bien joué Absol ....

[Ishizu Yggdrasil]

Une vague déferlante. Voila ce qu'était les Mizuhaniens et les Nalciens qui fondaient sur les Flamenois, les Terrosiens étant prit autre part. Voyait une colline recouverte d'herbe verte et d'eau, donnant l'aspect de boue à la terre et rendant le végétal des plus glissants. Imaginer les renforts adverse, sortir de nulle part, alors que vous croyez avoir supprimez les ennemies gênant et que tout le monde se préparait à aidé autre part. Imaginez la soudaine apparition de points noir sur la colline, de plus en plus, et plus il y en à qui apparait, plus il y en à qui descendent vers leurs mort certaines. Tout était comparable à une vague déferlante qui allait tout balayer en face d'elle sans ne faire ni prisonnier ni de quartier, tout le monde mourrait ou il faudrait les repousser.
Voila déjà que le soldat en charge des lanciers et des épéistes demander à ce les lignes soit former. De ce coté de la bataille, la cavalerie n'était pas vraiment au rendez-vous, une vingtaine, tout au plus, il fallait donc la préservé en seconde ligne, on ne pouvait se permettre de perdre bêtement des soldats. Ishizu devait ordonner à son escadron de se placer. La tactique adopter serait la formation en 3 ligne de nombre égale. La première ligne tiré et se reculer le temps de recharger, la seconde ligne avancé et effectuer le même processus, la troisième suivait et ainsi dessuite.

"NE TIREZ PAS TANT QUE VOUS NE VOYEZ PAS LE POINT FAIBLE DE LEUR ARMURE ! LA JUGULAIRE, LES YEUX, LES ARTICULATIONS SOUS LES BRAS ET LE BASSIN !"

Il fallait hurler pour se faire entendre, et la voie hurlante du garçon changé radicalement quand il donnait des ordres et qu'il hurlait à s'en décrocher la mâchoire. Mais dans la tumultueuse bataille, parler simplement aurait mener son équipe à la perte assuré. C'était la guerre, il avait sur lui la responsabilité d'un peu moins d'une centaine d'homme, il en avait la charge, il devait les ramener chez eux en vie. Il ne se le jurer pas à lui même mais il l'espérait tout du moins.

"CEUX QUI VIENNENT A CREVER JE LEUR PROMET QUE MÊME LA FAUCHEUSE FERA PÂLE FIGURE DEVANT MOI !"

Ce qui n'était pas faux ! Il ne voulait perdre personne, et ne les perdrait pas ou ils subirait ses foudres qui deviendrait légendaires. Des flèches venait dans leur direction, futiles projectiles, il n'y avait aucun précision dans le tir, c'était simplement un envoi de masse, ce qui pouvait faire peur par le nombre, mais ce n'était pas inévitable. La Gardevoir et le Staross se trouvant au coté de l'homme rayonnèrent d'une aura verte et rosé, leur corps se recouvrant d'une aura psychique. Bientôt, toute les flèches se stoppèrent à quelques mètres au dessus de leur tête, sans aucune exception, elles venaient de rencontrer un bouclier de défense psychique plutôt efficace.
Les projectiles descendirent lentement, s'entassant sur le sol sur toute leur longueur. Et voila quelque minutions de gagné. Les Flamenois allait être plus ingénieux que ces quelques archers adverse. Les flèches de chacun était normalement enduit d'huile inflammable ou d'un quelconque bout de tissu trempé dans un produit qui brûlerait vivement. Chacun savait plus ou moins produire une légère flamme, largement suffisant pour tirer, et il rester quelque pokémon feu par-ci par-la.
Ishizu amena une lame de son carquois, on ne pouvait décemment pas appeler cela une flèche. Ses armes n'était pas enduite de liquide car ce dernier n'aurait pas tenu, mais elles avait était recouverte d'une fine pellicule de soufre.

Les premières ligne de Flamen accueillirent leur adversaire en les transperçant de par en par, les lances s'enfonçant dans les corps et traversant les armures tel du beurre. Les guerriers à l'épée ou aux haches pouvait maintenant avancer tranquillement et frapper ce qui leur tombait sous la main, charcutant tout ce qu'ils pouvaient. La cavalerie aussi s'occupait des ennemies, et bientôt ce fut l'effet bouchon. En fait, seul les hommes devants se battaient, ce de derrière ne pouvait que pousser leur alliés pour contrer l'ennemi, bien sur, il y avait toujours un fou qui se frayait dans un faille, mais ce dernier se retrouver bien vite encerclé. Leur adversaires était assez proches pour tirer, et la direction de leur carreaux ne passeraient pas par les air pour tomber tel une pluie mortelle, mais leur flèches aurait une trajectoire plutôt rectiligne.

"FEU !"

Le terme était juste, la salve d'éclats enflammés fila tel la vitesse sidérante du son laissant derrière elle des trainés rouges disparaissant bien vite. Ishizu se trouvait entre les deux parties de son escadron qu'il avait séparé en deux groupes. Il avait donc un groupe à droite et un à gauche, personne derrière ni devant sauf les alliés et les adversaires. Combien avait-il de munitions dans son carquois ? A vrai dire il n'en savait rien, mais il le remplissait dès qu'il le pouvait et ne l'avait à ce jour jamais épuisé. Ainsi, peut lui importer combien il pouvait en tirer, il décoché flèche sur flèche. Et une transperçant le poitrail d'un homme. Oui ! Il pouvait se permettre de tirer n'importe ou sur le corps de son adversaire vu la taille du tranchant de ses carreaux. Et Voila qu'il transperçait un bras de part en part, quelqu'un le finit rapidement. Un projectile entre les deux yeux pour un autre. Bingo ! 100 points !
A vrai dire, il n'aimait pas tuer, mais il le faisait parce qu'il servait son pays et aurait donné sa vie pour ce dernier. Donc il faisait tout en s'amusant, en quelque sorte, la guerre n'était pas un jeu, la guerre était bien réelle, mais surtout cruelle.
Non ! Il ne comptait pas selon l'endroit ou il touché, mais selon le nombre de mort ou de blessés qu'il faisait. Et il récitait machinalement ces nombres. On aurait put le prendre pour un mauvais sadique, mais à vrai dire il ne savait pas faire quoi d'autre.

"24 ! 25 ! 26 ! Ah ! Non ! 25 ! 26 maintenant ! Toi je vais t'avoir ! 27 !""

Oui, cela pouvait paraitre étrange. Mais chose encore plus étrange, c'était que Yume Mugen en profitait parfois pour le corriger, elle pouvait sentir s'il restait des signes de vies ou non sur les cibles du garçon.
En parlant des pokémons du garçon, ils étaient méconnaissables. la Gardevoir ressemblait à une humaine tellement l'armure qu'elle portait lui sied. Tout son corps était caché par l'armure et un manteau, rien ne pouvait dire que c'était un pokémon. Le Staross avait reçu de multiples connes de fer qui avait était agencé sur ses bras. Il ressemblait plus à un oursin métallique, véritable boule de piquant, qu'à une étoile à présent. Pour le Typhlosion, il portait tout une armure d'argent, une armure d'ours, une armure épaisse et lourde mais qui lui laissait tout ses mouvements et qui ne le dérangeait pas vraiment pour ainsi dire. Scorvol restait en sécurité dans sa ball.

Tien ! Voila que les oiseaux se mettaient à se battre au dessus de leur tête. Tien ! Artikodin vient d'éviter le lance-flamme sulfureux de l'oiseau de feu, le tir vint ravager les camps adverses, quelle chance. Mais ils ne devaient pas se réjouir trop vite. Eux aussi pouvait subir un retour d'attaque des légendaires.

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