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Banek.

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Message par Invité Mer 23 Sep 2015 - 6:50

Vous
Pseudonyme : Banek.
Âge : 22 ans.
Loisirs : Très classiques… RPG, lecture, sport, etc..
Autres remarques : Rien qui me vienne.
Comment avez-vous connu le forum ? Recherche google.
Quelle est la couleur du chat ?
Spoiler:

Votre Personnage
Prénom : Banek.
Nom : /
Sexe : Masculin.
Âge : La vingtaine.
Pays : Nalcia.
Classe de base : Dresseur et coordinateur.
Classe envisagée : A déterminer.

Biographie :

22 septembre 215, Forêt du Chat.

Sans le malingre filet de fumée qui s’échappait de la cheminée, il aurait été difficile de déterminer si la petite maison était habitée ou non. Perdue pour ainsi dire au milieu de nulle part, elle semblait mener une guerre contre la luxuriante végétation de la forêt, et être en train de la perdre.

Il s’agissait d’une modeste bâtisse en pierres grisâtres coiffée d’un toit de vieilles tuiles dépareillées et effritées. Elle avait été construite dans une cuvette dont les parois recouvertes d’arbres faisaient l’effet de deux mâchoires se refermant sur elle. Ce qui ressemblait vaguement à un sentier de terre caillouteux reliait la maisonnette à une route de forêt, à plusieurs lieues de là.

Peu de soleil arrivait jusqu’à l’habitation, puisqu’elle était cernée par une demi-douzaine de hauts arbres qui, étendant leurs branches comme autant de tentacules, jetaient une ombre constante sur la cuvette. Le bâtiment lui-même était la proie du lierre qui tissait inexorablement sa toile jusqu’au sommet des murs, n’y laissant que quelques ouvertures pour une rustique porte en bois flanquée par deux fenêtres.

C’est d’un cabanon en bois sentant le moisi et l’humidité, appuyé sur un flanc de la maison, que sortit Banek, salopette en laine et bottes en cuir grossier chaussées. Il se frotta vigoureusement les mains pour en chasser la crasse, et rentra dans la maisonnette tout en dégageant ses cheveux moites de sueur de son front.

« J’ai coupé les branches de l’orme qui menaçaient le toit, annonça-t-il.

- Parfait, viens là que j’te cause. »

Le père de Banek avait franchi la cinquantaine d’années. Plus petit que son fils, il avait les membres plus vigoureux. A quelques détails près, son visage semblait avoir été sculpté dans le même moule que celui de Banek, à ceci près que ses cheveux et sa barbe avaient drapé un triste poivre et sel. Habillé du même type de salopette de travail que son fils, il était avachi sur une chaise en bois grossier, le coude posé sur la table qui lui était assortie.

La maison n’était constituée que d’une seule pièce. A droite, l’espace était dévoré par un imposant feu de bois ronflant au cœur de son épais manteau de granit. Au centre trônait l’antique table en bois abîmé, tandis que le côté gauche de la pièce était occupé par la cuisine, une paire de poêles en cuivre pendant au mur. Derrière la cuisine s’élevait un escalier de bois branlant, conduisant au grenier où se trouvaient les chambres. Coincé entre la cheminée et le mur du fond se trouvait pour finir un tas de couvertures occupé par un vieux démolosse.

Sinistre était son nom. Il était difficile de déterminer qui, du père de Banek, de la maison, ou du pokémon était le plus vieux. D’après ce qu’en savait le jeune homme, la bête avait appartenu à sa grand-mère – ou était-ce une grand-tante ? – qui avait caressé le rêve de devenir une grande dresseuse. Le vieux molosse était tout ce qui restait de cette ambition morte. S’il n’avait plus l’allure du redoutable pokémon qu’il avait pu être – avec ses muscles desséchés et sa peau pendante -, il restait que son odeur – subtil mais curieux mélange de musc sauvage et de charbon de bois – suffisait à elle seule à éloigner les pokémons félidés qui infestaient le bois.

Banek rejoint son père à table. Posés sur celle-ci, deux gobelets et une cruche en terre cuite. Il se servit un verre d’eau.

« Ah, t’es rentré. Ouaip’, je t’écoute. »

L’aîné enfouit sa main dans une des poches amples grossièrement cousues dans sa salopette, et en extrait une ball scellée.

« Regarde moi ça. Je viens de le trouver du côté des tourbières. »

Banek haussa en réponse un sourcil dans une interrogation silencieuse que son père saisit.

« Un abo. Une sale bête, il a bien failli m’esquinter trois fois avant que j’puisse te le maîtriser. Enflure.

- Un abo ?! Ca change un peu des chats. Tu comptes en faire quoi ?

- Bah…, répondit le vieux dans un haussement d’épaule, ‘pourrais aller voir du côté de Payan. J’ai connu un type qui te mitonnait une soupe aux serpents… Un vrai régal ! Je sais pas combien il donnerait pour un abo. Si on la joue fine, on pourrait avoir de quoi refaire la corniche, t’en penses quoi ? »

Banek se contenta d’une moue en réponse, tout en remplissant à nouveau son gobelet vide.

« Ouais, souffla son père dans un soupir où pointait l’agacement, t’en penses rien. Il est temps que tu te bouges un peu, sinon tu vas oublier de respirer à force de pas y penser. Puis ça me f’ra de l’air. »

Le père fit rouler la ball sur la table, jusqu’à son fils.

« Tu t’occupes de c’t’affaire, on verra ce que tu vaux. », lâcha-t-il tout en prenant la direction de l’escalier, laissant Banek seul à table.

Le jeune homme saisit la sphère contenant le serpent, et la fit distraitement tournoyer sur elle-même, pensif. Ce serait une première. A l’accoutumée, c’était son père qui se chargeait de convoyer leurs trouvailles jusqu’au village où il tentait alors de les monnayer contre telle ou telle chose. Banek avait toujours trouvé son paternel trop frileux dans ces négociations. Son père était une bonne pâte, le genre à offrir l’hospitalité pour la nuit à un inconnu même lorsqu’il y avait à peine assez de quoi manger pour eux deux. Le contraire d’un âpre négociateur. Banek estimait être fait d’un tout autre bois, et voilà que l’occasion d’en faire la démonstration venait d’arriver. Il partirait le lendemain.

23 septembre 215, Forêt du Chat.

Banek avait toujours préféré les premières heures du jour aux autres dans la Forêt du Chat. La fraîcheur de l’air, l’odeur d’humidité de la rosée matinale, la légère brume que laissait parfois la nuit morte dans son sillage… Rien de plus revigorant ! Prendre la route à l’aube de la journée était dans ce cas-ci également nécessaire s’il ne voulait pas arriver trop tard à Payan. Son père lui avait toujours recommandé de ne pas s’aventurer dans les bois une fois le soir tombé. Si les espèces de miaouss, skitty ou lixy n’étaient pas très dangereuses, autant éviter de pénétrer inconsciemment sur le territoire d’un persian à l’heure où il préférait chasser.

Ce qui avait la prétention plus que l’allure d’être un sentier sinuait entre deux océans de végétations pour relier la maison de Banek a la grande route forestière qui, plus sûre et davantage fréquentée, conduisait directement au village. Banek n’avait pas une notion du temps très aiguisée, mais, voyant toujours davantage de rayons solaires transpercer le manteau feuillu de la forêt, il conclut que la mi-journée devait être proche lorsqu’il parvint sur la route.

Il avait emporté de quoi manger dans son sac qu’il portait sur l’épaule, mais il décida de poursuivre sa route sans s’arrêter jusqu’à ce que la faim le tenaille véritablement. « Ce qui est fait n’est plus à faire », comme disait son père.

C’est alors qu’il commençait justement à se demander s’il ne ferait pas halte que se produisit la rencontre. Banek repéra d’abord une très mince colonne de fumée. Puis, une forme indistincte plus loin sur la route, flanquée d’un point scintillant. En s’approchant, il reconnut une sorte de charrette au pied de laquelle un feu avait été allumé.

C’était en réalité plus une roulotte qu’une charrette. De la taille d’une petite chaumière, toute faite de bois dont le verni rougeâtre s’écaillait par endroit. Deux fenêtres y avaient été pratiquées, ainsi qu’une porte, surmontant un escalier à trois marches escamotables. Les bras d’attelage du véhicule n’étaient pas occupés.

Une marmite pendait au-dessus du feu de camp, et un homme y remuait une louche. Il devait avoir le double de l’âge de Banek, et avait une forte corpulence. Ses vêtements, faits de matières nobles, formaient un curieux camaïeu : bottes en cuir brunes, pantalon de lin beige, tunique de velours matelassé rouge et un gilet sans manches en cuir noir.

L’homme lui-même était grisonnant et souffrait d’un début de calvitie. La peau de son visage commençait à pendre et trahissait son âge. Mais les yeux que le vieillard darda sur Banek brillaient d’un éclat intact. Le jeune homme, qui s’approchait pour saluer son aîné, resta aimanté par ces yeux dont il ne parvenait définitivement pas à déterminer la couleur exacte. Les avait-il bleus, verts ou violet ? Sans doute un mélange des trois.

« Bonjour à toi, jeune homme, claironna le voyageur dont la voix, grave, portait loin. Je te proposerais bien de partager un repas et des histoires, mais ce que je prépare ici serait bien peu digeste si nous tentions de l’avaler. »

Banek haussa un sourcil en parvenant devant la marmite, dans laquelle il jeta un œil. Un bouillon brunâtre s’y agitait, saturé de ce qui ressemblait à des feuilles et des racines. La préparation exhalait une odeur âcre qui fit monter les larmes aux yeux du jeune homme.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ?!

- Hmph… Eh bien, je porte à ébullition puis fais mariner quelques plantes que j’égoutterai ensuite pour les hacher et les mêler à une pâte qui me servira à soigner Margot.

- Margot ?

- Oui, c’est ça. Hmph, évidemment, tu ne peux pas comprendre… Viens, suis moi… »

Banek emboita le pas du vieil homme qui lui fit faire le tour de la roulotte. Dans l’herbe paissait une bête que Banek jugea énorme. Elle avait un très gros ventre d’où pendaient de lourdes mamelles. Son poil avait une drôle de couleur rosâtre, à l’exception d’une bonne partie de sa tête, dotée de deux petites cornes, qui était noire. Une ligne du même noir partait de sa tête jusqu’à sa queue, s’élargissant également sur ses flancs en plusieurs grappes de telle manière que Banek trouva au motif une ressemblance avec une branche de fougères. Le museau de la bête était encroûté, et sa gueule saignait encore.

« C’est elle, Margot. Un linéon a traversé la route à toute allure et n’a pas su changer de direction à temps. Il a heurté la tête de ma brave Margot. Ils ont échangé quelques coups, Margot s’est emballée et le linéon s’est enfui. J’ai eu la chance que Margot n’abîme pas l’essieu en chargeant, sinon j’aurais été coincé ici un moment.

- C’est profond ?

- Ca va, répondit le vieux dans un haussement d’épaule, ça cicatrisera. Il faut surtout être vigilant à l’infection. Je ne sais pas où a traîné ce linéon.

- Oui, je comprends. C’est plus sûr.

- Allez, retournons surveiller la marmite. Nous aurions pu faire connaissance avec une histoire plus joyeuse, certes. Au fait, je m’appelle Mundh. Qu’est-ce que tu fais dans ces parages, toi ? »

Alors que les deux hommes s’installaient à même le sol près de la marmite et de la chaleur réconfortante des flammes qui léchaient son ventre, Banek lui expliqua être sur la route de Payan pour y vendre le serpent capturé par son père. Une fois le récit fait, Mundh se frotta le menton.

- De la soupe de serpents ? Je n’ai jamais goûté un tel met. C’est quelque chose de rare ?

- Pas tellement, répliqua Banek dans un haussement d’épaule. Pas mal de gens dans la forêt aiment bien les chats, et n’aiment pas trop en consommer. Alors on fait avec ce qu’on peut trouver à côté.

- Je vois… Cependant… Pardonne mon impertinence, mais ce me semble que tu pourrais faire meilleur usage d’une bête telle que cet abo. Vois Margot : c’est un robuste écremeuh dans la fleur de l’âge, à la fois bien musclé et bien gras. Je pourrais la vendre pour une belle somme, ou l’échanger contre des marchandises précieuses. Pourtant, je ne le fais pas. Bon, oublions qu’elle me sert à tracter ma carriole et faisons comme si je pouvais me passer d’elle. Je pourrais très bien la vendre contre, disons… Vingt sacs de farine. Ce serait beaucoup de farine… Assez pour faire du pain pendant plusieurs semaines. C’est alléchant. Mais si je la garde et que je la trais… Je peux échanger du lait contre un sac de farine toutes les semaines. Ce sera moins confortable pendant vingt semaines… Mais sur une année, j’y gagne ! »

- La métaphore n’était pas nécessaire. Je suis capable de comprendre ça normalement, vous savez. La comparaison est belle, mais je n’ai jamais vu de pi à traire sur un abo, moi.

- Ha ! Il en est pourtant justement un ! Je suis herboriste, vois-tu. Et le venin d’abo rentre dans la composition de mille et une concoctions !

- Vraiment ?, questionna Banek avec un sourcil haussé, la curiosité piquée.

- Vraiment ! Cela fait presque trente ans que j’écume les routes de ce monde, vendant mes potions, pâtes, cataplasmes et autres créations pour gagner ma croûte. D’ailleurs voici mon associé… »

Mundh plongea la main dans son manteau, lequel devait avoir une poche intérieure puisqu’il en extirpa une ball qui, actionné, libéra son prisonnier. Une bête immonde se matérialisa à côté de l’herboriste. C’était une sorte de champignon doté d’un visage et de petits membres atrophiés. Son chapeau était d’un rouge maculé d’écailles blanchâtres ; son corps d’un bleu foncé. Il dégagea une odeur pestilentielle qui souleva le cœur de Banek.

« Voici Fétide ! Les feuilles sous son chapeau, ses spores et son acide sont autant d’ingrédients précieux pour moi.

- J’espère que votre roulotte est bien aérée…

- Ha ! C’est bien pour ça que je le laisse confiné dans sa ball. Sans cela, j’aurais perdu l’usage de mon nez voilà bien longtemps ! Mais c’est une source intarissable de spores en tous genres qui font mon bonheur et celui de mes patients. Je te propose quelque chose, Banek. Fais un peu de route avec moi. En échange de l’usage du venin de ton abo, je t’offre le toit de ma roulotte, le partage de la nourriture que j’achète, et les leçons que je pourrai t’enseigner. Qu’en dis-tu ?"

Banek prit quelques secondes de réflexion. Comme l’avait dit son père, il était temps qu’il bouge un peu. Si Mundh disait vrai, il aurait sa part sur ce que pourrait rapporter le serpent. Une belle manière de prouver à son père – et aussi à lui-même – qu’il était capable de mener sa propre affaire. Et puis, la vieille roulotte et le gras écremeuh qui la tractaient ne l’emmèneraient pas à l’autre bout du continent en quelques semaines…

Caractère : Banek est un jeune homme campagnard, peu instruit et ayant toujours vécu isolé. Son monde se résumé à la maison familiale, et au chemin qui la relie à Payan. Il n’a vu que peu de choses du monde, ce qui, conjugué à sa tendance à accorder du crédit à n’importe quelle rumeur, en fait un esprit plutôt impressionnable.

Comme souvent à vingt ans, l’ignorance n’empêche pas Banek d’être pourvu d’un égo facilement irritable. Il peut défendre assez agressivement sa fragile fierté. Autre trait classique de la jeunesse : l’enthousiasme. A l’heure de découvrir davantage du monde, le jeune homme a soif de connaissances.

Cette détermination insouciante lui confère une certaine solidité dans ses résignations. Une forme d’opiniâtreté brute et un brin inconsciente qui lui permet de mettre en branle une grande énergie.

Ces quelques défauts ne l’empêchent pas d’être un compagnon agréable au quotidien. Sa curiosité et son envie de découvrir de nouvelles choses se doublent d’une bavardise qui fait de lui une personne à la conversation plutôt agréable.

S’il ne sait de manière générale que peu de choses, il n’a cependant de cesse de se poser des questions sur tout et sur rien. Cette soif d’apprendre, conjuguée avec une affabilité certaine, fait de Banek un être plutôt sociable. Il n’hésite jamais à aborder un inconnu avec une honnête curiosité, à l’assaillir de questions en attente de réponses auxquelles il prêtera toujours une oreille attentive.

Pour finir, et de manière plus spécifique, Banek a été marqué par le milieu dans lequel il a vécu : la campagne, la solitude, la pauvreté, la rudesse de la vie en forêt. Il n’a jamais vécu que dans un confort minimaliste et chaque geste, chaque pièce de monnaie, chaque effort, chaque goutte de sueur versée sont calculés en fonction d’un résultat potentiel. C’est un grand pragmatique : pas de dépense ou de débauche d’énergie inutile !

Banek n’est pas un ascète, puisque la rusticité de son quotidien n’est pas un choix, et que toute amélioration de celui-ci sera la bienvenue. Il n’en demeure cependant pas moins qu’il a une certaine conscience de la grande valeur que peuvent avoir des éléments de confort les plus élémentaires. La vieille maison familiale ne possède pas de commodités ou de salle d’eau ; la vétuste cheminée ne chauffe que moyennement l’habitation très perméable à l’humidité ; les repas complets sont rares et soumis au hasard des trouvailles du père et de son aptitude à les négocier. Bref, il suffit d’un repas chaud, d’un nouveau savon, de vêtements propres ou d’un peu d’alcool pour faire de Banek un homme heureux.

Description physique :
Banek est un jeune homme assez banal. De taille moyenne, il a le corps fin et musclé, endurci par le travail quotidien dans la maison familiale sans pour autant être entraîné à quoi que se soit. Son corps anguleux et ses membres minces, longs et noueux lui confèrent une allure un brin dégingandée.

Son visage est long et osseux. Il a les pommettes hautes et les joues creuses, la bouche fine et le menton fuyant. Ses yeux sont marrons et perçants, ce qui est davantage renforcé par les sourcils épais et les arcades sourcilières saillantes qui les surmontent. Ses cheveux sont bruns, mi-longs et mal coiffés. Des favoris et une barbe de plusieurs jours finissent de ceindre son visage.

Il n’a jamais eu le loisir de choisir ses vêtements autrement qu’en fonction de leur utilité et des matériaux qu’il avait à disposition. Sa « garde robe » toute relative ne contient en réalité que deux tenues. La première est une salopette de travail qui consiste en une grossière pièce de laine dans laquelle ont été taillés plusieurs trous pour ce qui doit en sortir, et pourvue de multiples poches assez amples pour contenir les outils que lui et son père possèdent. La seconde, plus détendue, est composée d’un pantalon en lin et d’une sobre tunique assortie. Son seul luxe : ses bottes en cuir, souples et résistantes. Un commerçant de passage sur la route de Payan les lui avait offertes en échange de l’hospitalité pour la nuit, deux ans auparavant.

Sa démarche rappelle celle d’un félin, ce qui est peut-être normal pour quelqu’un ayant vécu toute sa vie dans la forêt du chat. Souple, le pas léger et l’œil alerte, il se raidit et s’immobilise au moindre bruit suspect, héritier d’une sage prudence paternelle.

De manière générale, ce qui frappe qui le rencontre pour la première fois est sa rusticité. C’est un homme rude, capable, énergique et dégageant un enthousiaste dynamisme.


Particularités : Rien de particulier.

Premier Pokémon : Abo.
Sexe du Pokémon : Masculin.
Surnom du Pokémon : /
Image ou dessin : /
Autres remarques : N’est, à la création du personnage, pas encore apprivoisé.
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Message par Yugo Mer 23 Sep 2015 - 13:22

Bienvenue à toi. Je suis un modérateur à l'essai et c'est avec plaisir que je vais m'occuper de ta fiche pour ma première fois.

Abo est un choix original, pas souvent pris en premier. Ton personnage est plutôt sympa, ça donne envie d'aller l'embêter un peu ^_^

Je valide ta fiche, cependant je voudrai que tu te décide sur l'âge. Dans les informations personnelles, tu as mis 25 ans, dans la description de ton perso, la vingtaine, et dans le physique, il a 20 ans. Il a quel âge alors ?

Sinon pas grand chose à redire, quelques fautes mais rien de grave. Je te donne 12 points pour ta fiche, plus les 5 points de pays, ça te fait 17 points.

Je te souhaite de bons RP et de bons délires parmi nous.

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Message par Kaé Mer 23 Sep 2015 - 13:45

Coucou !

Je me permet de te laisser un petit mot suite à quelques oublis de Yugo Razz (Mais c'est rien du tout mec t'inquiète, t'as fait un très bon boulot o/) C'est juste pour te signaler, si tu ne l'as pas remarqué, qu'on est actuellement et jusqu'au premier novembre en plein événement, donc si tu veux te mêler un peu à la foule et gagner quelques points en plus tu peux encore t'inscrire en suivant le lien suivant. Sinon aussi une autre manière de se faire un peu connaître des gens est de passer remplir ce petit questionnaire rigolo, à nouveau c'est pas obligatoire c'est juste qu'on est des petits curieux sur le forum et quand on peut on aime savoir à qui on a affaire. Razz

Après si tu as déjà vu tout ça et que t'as décidé de pas y répondre y'a absolument pas de souci, et je m'excuse pour le flood sur ta fiche. :-o

J'te souhaite un bonne continuation sur le fo, en espérant te croiser en RP à l'occas ! o/

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