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A la recherche du Prince (pas très) Charmant

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Message par Prayasi Gunaguna Dim 12 Jan 2014 - 13:49

VOUS
- Pseudo : Chim, Yûn
- Âge : 20 ans
- Loisirs : Voir fiches précédentes %)
- Autres : Patate !
- Comment avez-vous connu le forum ? Quatrième compte, sans compter les deux que j’ai supprimés %D
- Quelle est la couleur du chat ? Mangée par Nina ! J’avoue, c’est moi qui ai renversé le pot dessus… Mais, il m’a fait trébucher, aussi !


VOTRE PERSONNAGE
- Prénom : Prayasi
- Nom : Gunaguna
- Sexe : Féminin
- Âge : 21 ans
- Pays : Flamen
- Job de base: Guerrier
- Biographie, histoire du personnage (500 mots minimum) :
L’histoire de Prayasi débute à Tarouga, où sa mère l’abandonna dans un orphelinat dès sa naissance. C’est là qu’elle vécut jusqu’à ses huit ans, au rythme des bagarres entre camarades, des blagues qu’ils se faisaient entre eux, … L’établissement n’avait certes pas bonne mine mais, recevant des dons régulièrement de la part des familles d’accueil qui adoptaient des enfants, il y avait toujours de quoi manger à sa faim et avoir des vêtements presque neufs.
De ce fait, durant ces quelques années, Prayasi vécut dans l’insouciance de ses jeux d’enfant, ses journées s’attristant cependant lorsque l’un de ses amis quittait l’orphelinat pour un nouveau foyer.

Néanmoins, l’année de ses huit ans, la directrice de l’établissement la convoqua dans son bureau. Un homme relativement bien habillé était également présent, et il posa un regard faussement attendrissant sur l’enfant. Mais, la gamine n’avait pas suffisamment de présence d’esprit pour remarquer ce masque.

« J’ai une bonne nouvelle pour toi, Prayasi, prononça la directrice d’un ton léger. Ce monsieur a décidé de t’adopter. Dès ce soir, tu auras une nouvelle maison.
- Ce soir ?
Répéta l’enfant en écarquillant les yeux. Maiiis, c’est pas juste ! On voulait regarder les étoiles-euh ! »

Et elle détourna la tête en gonflant la joue, l’air boudeur. La directrice leva les yeux au ciel avant d’adresser un geste d’excuse à l’attention de l’homme adulte. Ce dernier haussa les épaules, puis s’accroupit pour être à la hauteur de la gamine. Il posa sa main sur les cheveux de l’enfant, avant de prononcer d’une voix doucereuse :

« Les étoiles, tu les verras très bien, ne t’en fais pas. Mais, c’est ce soir que tu vas venir avec moi. Il n’y a pas d’autre solution. »

Prayasi le considéra de son regard d’enfant.

« Tu me promets que je verrai les étoiles ?
- C’est ce que j’ai dit.
- Bon bah d’accord ! Je viens! »


C’est ainsi que la petite fille quitta l’orphelinat où elle avait grandi. Elle fut triste de quitter ses amis, mais sa nouvelle maison n’était pas si éloignée que ça, située à quelques rues de là.
Cependant, malgré cette faible distance, Prayasi n’eut que peu d’occasions de les revoir. En effet, son adoption ne s’était pas faite sans but intéressé. Son nouveau père, si on pouvait l’appeler ainsi, l’entraîna en effet à devenir une petite chapardeuse. Il lui fallut un peu de temps pour faire obéir la gamine, jusqu’à ce qu’il trouve comment s’y prendre. Il lui présenta son travail sous la forme d’un jeu aux règles alléchantes pour n’importe quel enfant.


« Tu connais le jeu du Miaouss et du Rattata ? Eh bien, là, c’est un peu pareil. Quand tu vois quelqu’un qui a un objet qui a l’air important, comme sa bourse, des bijoux, etc, tu es le Miaouss. Ton objectif, c’est de réussir à t’emparer de l’objet en question. En général, la personne cherche à le cacher dans ses poches, donc tu dois les fouiller.
Mais, c’est là que ça devient intéressant ! Car, à partir du moment où tu commences à chercher l’objet, c’est toi qui deviens le Rattata ! Du coup, dès que tu le trouves, tu dois courir pour te cacher. On ne doit surtout pas t’attraper, sinon c’est perdu.
- Et si y’en a qui veulent pas jouer ?
- Mais tout le monde joue à ce jeu, ma petite Prayasi. Dès que tu deviens le Rattata, ils deviennent automatiquement le Miaouss. »


Ainsi débuta la carrière de voleuse de la gamine, persuadée qu’il s’agissait là d’un jeu innocent. Au fur et à mesure de ses essais, elle devenait plus astucieuse, plus agile, et le fruit de son travail qu’elle ramenait le soir s’améliorait. Oui, son père adoptif pouvait être content d’elle, puisqu’elle parvenait même à voler des bijoux chez les revendeurs des pirates et que, le plus gros caprice qu’elle avait eu jusqu’à présent était une sucrerie. Elle ne se rendait absolument pas compte qu’elle se faisait exploiter, mais peu lui importait, puisqu’elle pouvait s’amuser tous les jours, sans même se faire gronder au contraire !

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et cela valait aussi pour cette période bénie où le jeu était encouragé. Cela se déroula l’année de ses douze ans.

En se promenant dans les rues de la ville des truands, Prayasi repéra un groupe de quatre personnes, qui transportaient quelque chose dans un sac. Et ça semblait être important, puisqu’ils le portaient et le posaient avec précaution. De quoi attirer l’attention de la petite chapardeuse.
Cependant, ces Rattata-là étaient plus coriaces que les autres qu’elle avait dépouillés. Ils gardaient toujours un œil attentif sur le sac de toile, lui empêchant toute tentative de vol. Enfin, au bout de plusieurs jours d’attente, elle eut une ouverture.

L’un des membres du groupe, celui qui gardait le sac, avait laissé la fenêtre de sa chambre ouverte pour la nuit. Aussi, la gamine avait escaladé les toits, et était entrée par cette voie royale. Elle s’empara sans bruit de la besace… Mais, alors qu’elle repartait, fière de son larcin du jour, elle buta contre le pot de chambre, provoquant un vacarme monstre. L’hôte de la chambre se réveilla à ce bruit. Il eut un instant d’absence, en voyant l’enfant avec son bagage et, le temps qu’il réagisse, Prayasi avait déjà sauté de la fenêtre sur le toit voisin.
La petite fille fila à travers les rues de la ville, afin de semer ses poursuivants. Quand enfin elle estima qu’il n’y avait plus de danger, elle rentra chez elle.


« Regarde, regarde ! J’ai réussi ! »

Son père adoptif la gratifia d’une caresse sur la tête, puis ouvrit la besace. D’abord étonné, il en sortit un gros œuf aux teintes chaleureuses.

« Ca alors ! s’exclama l’adulte, en soulevant l’objet à hauteur de ses yeux. On dirait un œuf de Magby ! Ils ont dû le trouver au Temple du Volcan. Mais, tu m’étonnes qu’ils y faisaient gaffe, ça peut valoir une petite fortune ces trucs-là… Bien joué Prayasi ! »

Mais alors qu’il achevait sa phrase, on frappa lourdement à la porte. Des coups précipités, qui n’auguraient rien de bon. L’homme fronça les sourcils et, après avoir mis l’œuf dans les bras de sa fille adoptive, il se leva pour ouvrir. Mais, alors que la porte s’entrebâillait, un éclat métallique surgit de l’ouverture.

« Prayasi, cours ! Ne te laisse pas attraper ! »

Ce furent ses derniers mots. L’instant d’après, la dague s’enfonçait dans son torse et les membres du groupe pénétrèrent dans le foyer, écartant sans ménagement le blessé qui s’écroula au sol.
Un frisson d’effroi et d’excitation parcourut la gamine. Le jeu se poursuivait, mais là, les Miaouss avaient vraiment pas l’air commode. Et puis, s’ils avaient été capables de la retrouver, ça voulait dire qu’ils étaient forts. Ils avaient même triché, en s’en prenant à son père adoptif, qui pourtant n’était pas censé être un Rattata. Mieux valaient ne pas se faire attraper par ces pas beaux-là !

Prayasi courut jusqu’à la porte de derrière, retournant sur son terrain de prédilection. Elle connaissait les ruelles par cœur. Malheureusement, elle n’arrivait pas à semer les vilains, notamment parce que l’œuf qu’elle tenait dans ses bras était volumineux, à son échelle, et la ralentissait. Mais hors de question pour elle de lâcher le butin qu’elle avait mis tant de temps à récupérer !
Néanmoins, les adultes à ses trousses se montrèrent plus malins qu’elle. En se séparant, ils réussirent à la piéger dans un cul-de-sac, non loin de l’auberge où elle avait perpétré son forfait. Et impossible de grimper sur les toits, chargée comme elle l’était. De toute façon, il n’y avait aucune caisse qui lui aurait permis d’escalader.
L’enfant se retourna face à ses agresseurs, reculant jusqu’à ce que son dos bute contre le mur.


« Allez petite, sois une petite fille bien élevée. Rends-nous cet œuf, et tu auras la vie sauve.
- Nan ! C’est à moi !
Répliqua-t-elle en serrant un peu plus les bras sur son trésor.
- J’crois que t’as pas bien saisi ta position, morveuse. J’vais te foutre une bonne raclée, tu vas voir… »

L’homme s’avança vers elle, tenant dans la main un bâton. Il saisit le bras de la gamine, leva son arme pour la frapper… Quand il poussa un cri de douleur en lâchant le gourdin pour se tenir le bras. Au bout de son membre, sa main déchiquetée ruisselait de sang, qui retomba en partie sur l’enfant.
Les membres du groupe se tournèrent vers l’origine de l’attaque. Dans la rue derrière eux se tenait un homme immense, dont la silhouette était dissimulée par un ample manteau. L’être se baissa pour permettre à un petit rat à la gueule sanglante de remonter dans sa manche.


« Hey ! J’te reconnais ! S’écria celui qui semblait être le chef du groupe. T’es ce type bizarre qui était à l’auberge. Illumino machin, si j’me souviens bien. On peut savoir ce que tu viens foutre la merde dans nos aff… »

Le reste de la phrase se perdit dans un gargouillis, le hachoir du nouveau venu s’étant enfoncé avec une facilité déconcertante dans la gorge de l’homme. Celui-ci s’effondra, alors que les autres, d’abord effrayés, se jetèrent sur leur assaillant dans un désordre complet.
Le hachoir virevoltait avec précision dans les airs, tranchant les bras d’un nouvel assaillant. Le hurlement d’horreur et de douleur du mutilé fut rapidement désamorcé par le Rattata de l’homme au manteau, qui planta ses crocs aiguisés dans sa carotide à de multiples reprises, le décapitant presque. Le troisième membre du groupe n’eut pas plus de chance que les précédents : l’arme s’enfonça dans son ventre et remonta jusqu’à la clavicule, le séparant presque en deux. Son agonie durerait jusqu’à ce qu’il se vide complètement de son sang.
Trois à terre. Il ne restait plus que celui à la main déchiquetée par le rat mauve. Désespéré, il saisit la dague à sa ceinture de sa main valide, et entoura le cou de la gamine de son bras blessé, pointant en tremblant la lame sur elle.


« T… T’approches pas ! Sinon, je la… »

Les mots se perdirent dans sa bouche alors que le géant dissimulé s’avançait vers lui, sans se soucier de l’enfant. Terrorisé, l’agresseur de Prayasi tremblait de plus en plus. Finalement, il poussa la Flamenoise sur le côté, trouvant qu’elle était plus une gêne qu’autre chose, et fonça en hurlant sur l’être mystérieux… Pour venir s’empaler sur le hachoir.

Tout ce joyeux massacre se déroula sous les yeux écarquillés de Prayasi. Elle suivait tous les gestes de ce type étrange, qui venait de lui faire gagner la partie, se fichant éperdument du sang qui la maculait progressivement.
Quand il ne resta plus que la gamine et le géant de debout, la capuche de ce dernier se tourna brièvement vers elle. Il ne la considéra que quelques secondes, avant de quitter les lieux de son crime. Il n’avait probablement pas remarqué le regard plein d’étoiles qu’avait affiché la fillette ensanglantée.

Son sauveur avait littéralement disparu. Même en se rendant à l’auberge le lendemain, en regardant chaque client qui en sortait, la Flamenoise ne parvint pas à le retrouver.
Elle retourna finalement à l’orphelinat, en expliquant qu’elle savait pas pourquoi, mais que le monsieur il voulait plus se lever, et qu’en plus il puait. L’œuf de Magby avait été son seul véritable bagage et, quelques jours après cette mésaventure, la coquille se craquela pour libérer son occupant, un petit canard ardent. Kôyalâ, comme elle l’avait appelé, devint rapidement son partenaire de jeu privilégié.

Les années passèrent, et toujours aucune trace de son sauveur. Pas le moindre indice, rien.
Aussi finit-elle par faire son baluchon et, accompagnée de la créature enflammée, elle fit ses adieux à la ville pirate, bien décidée à retrouver son sauveur, même si elle n’avait de lui qu’une description des plus vagues et son nom. Mais bon, si Prayasi avait un peu de jugeote, cela se saurait.


- Caractère (350 mots minimum) :
Une enfant de dix ans. C’est ce avec quoi vous aurez l’impression de parler si vous rencontrez Prayasi Gunaguna.
La jeune femme, pourtant forte de deux décennies, s’enthousiasme en effet pour un rien (« Waaaaaaah ! Trop bien ! »), mais se déconcentre aussi très facilement dès qu’une distraction se présente (« Oh, papilloooooon !! ») Sans compter qu’elle se met à bouder dès qu’elle n’obtient pas ce qu’elle veut, est impatiente (« Quand est-ce qu’on arriiiiiiive ? J’ai faim, j’veux mangeeeeer !! ») et plutôt possessive (« NAN, c’est à MOI ! ») Ne vous étonnez pas non plus de la voir commencer à pleurer comme une gamine si elle n’arrive pas à avoir ce qu’elle veut, ou qu’on fait preuve d’animosité envers elle (« Ouiiin, il est méchaaaant ! ») Qui plus est… Elle est assez naïve, notamment concernant la réaction des autres face à son corps… Et ses atouts.
Et encore, vous n’avez pas tout vu. Sa relation avec son Magby a tout d’une sorte de lien frère/sœur... Sauf que c’est bien le bébé pokémon le plus mature des deux (« Naaaan, laisse-moi dormir ! »)
Mais, en dépit de tous ses défauts, Prayasi a quand même des qualités. Elle comprend assez rapidement les choses, pour un peu que vous les présentiez comme un jeu, et est assez débrouillarde. Chose très étonnante par ailleurs, puisqu’en dépit de son caractère, elle est parvenue à survivre seule, avec les moyens du bord…
Si les combats ne la dérangent pas (« Chouette, une bagarre ! »), car habituée à avoir vu des disputes musclées dans sa ville natale de Tarouga, elle préfère les armes à distance que le corps à corps. D’ailleurs, si quelqu’un l’embête vraiment, elle n’hésitera pas à lui lancer tout objet tombant sous sa main (« Tiens, ça t’apprendra ! ») Même si elle donne l’impression de tirer au hasard, faites attention, elle sait très bien viser (« Ziou ! Touché ! ») Et elle fait mal, en plus, la petite saleté.
Malgré son impatience, il y a bien une chose dont la Flamenoise ne se détourne pas, peu importe le temps passé. Elle est effectivement déterminée à retrouver le bel inconnu qui l’a sauvée, plusieurs années auparavant. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle parcourt Erasia depuis un bout de temps, dans l’espoir de le revoir.

- Description physique (250 mots minimum) :
Si Prayasi ressemble à une vraie gamine niveau caractère, son corps est bien celui d’une jeune femme adulte.
Plutôt grande par rapport à la moyenne, atteignant facilement le mètre soixante-treize, la Flamenoise possède une taille fine. Sa peau, étrangement laiteuse pour une habitante du pays du feu, laisse voir une musculature légèrement dessinée. La jeune femme est loin d’avoir un physique d’athlète. Ses formes, en revanche, sont particulièrement généreuses. Notamment sa poitrine, dont le tour s’élève à un bon 110 E. A ce propos, elle n’a jamais compris pourquoi les membres de la gente masculine se retournaient sur son passage, ou qu’ils fixaient cette partie de son corps avec une drôle de lueur dans les yeux. C’est vrai, quoi, c’pas comme si c’était exceptionnel, hein, toutes les autres femmes, elles en ont aussi.
Le visage de Prayasi a gardé quelques traces de l’enfance, surtout au niveau de l’expression arborée par ses grands yeux rubis. Vous aurez toujours l’impression d’avoir face à vous une petite fille candide, ce qui, finalement, n’est que l’écho de son caractère.
Sa longue chevelure raide et bleu ciel est souvent dissimulée par une gavroche de coton blanc, elle-même entourée par un ruban vermeil arrangé en un gros nœud sur le côté.
Elle s’habille en règle générale avec une robe blanche agrémentée de rubans et bordures de feu. L’habit lui plait beaucoup, notamment parce qu’elle le trouve confortable et qu’elle adore le joyau rond qu’elle accroche autour de son cou. Par contre, elle le trouve un peu serré au niveau de la poitrine… Prayasi a aussi une robe de rechange dans les mêmes teintes dans son sac de voyage. Aucune ne lui appartient vraiment, elle les a juste empruntées pour une durée indéterminée sur un marché.

- Particularités : Mis à part le fait que c’est une petite gamine impossible à vivre dans un corps de femme adulte ? Je dirais aucune.

- Futur envisagé (job supérieur visé) : Eleveuse – Hunter - Invocatrice

- Premier Pokémon (optionnel) : Magby
- Sexe du Pokémon : Mâle
- Surnom du Pokémon (optionnel) : Kôyalâ
- Image ou dessin (optionnel) :
- Autres : Enfin fini cette fiche o/ *meurs*[/b][/b]
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Message par Nina Wang Dim 12 Jan 2014 - 14:27

Mdr le perso, c'est n'importe quoi xD

"Nan, c'est à moi" x)

Bref, j'ai hâte de la voir en action, cette petite. Je mets 10 points pour la fiche, et avec les 5 de bienvenue, ça fait 15 (je sais compter tavu).

Bon jeu avec ta folle (une de plus) ! ^^

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Inochi wa... Tatakai.

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« Approche, Princesse des Glaces, tranche l'Eau de tes lames, fends l'Air de ton corps et fais jaillir l'Or Blanc du plus profond de ton être pour voler vers la victoire et la demeure des Célestes. Entends l'appel de la voix qui gronde en toi, ne la refuse pas, mais fais-en ton Alliée pour l'ultime explosion dans une transfigurante Métamorphose. »
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