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Serafeim

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Message par Serafeim Mer 9 Aoû 2017 - 20:44

Vous
Pseudonyme : Lukaline
Âge : //  
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Comment avez-vous connu le forum ? DC de White & co
Quelle est la couleur du chat ? Validé par Mizu !

Votre Personnage
Prénom : Serafeim  
Nom : //
Sexe : Mâle
Âge : 20 ans (âge approximatif)
Date de naissance : Probablement en été 197
Pays : Torcan
Classe de base : Guerrier
Si Élémental, quelle maîtrise : (+ élémental avec maîtrise du feu si j’ai assez de points dans la validation)
Classes envisagées : Lame-Caméléon / Méta-élémental / Maître de l’Esprit

Biographie :
Dans un jardin luxuriant Dyrinnois, un petit garçon aux cheveux blonds, sûrement âgé de cinq ans jouait avec ses jouets en bois. Même si ces derniers étaient abimés voire cassés à certains endroits, cela ne semblait guère le déranger puisqu’il avait ses jouets à lui. Même s’ils avaient appartenus à ses frères bien avant lui, recevoir ce genre de cadeaux lui faisait énormément plaisir. Mais au bout du jardin, une femme l’observait avec dégoût. Ce n’était ni sa mère ni sa nourrice, juste une femme qui s’occupait d’enfants abandonnés. Mais les voir pulluler dans ce qui était sa demeure la dégoutait. Son mari avait eu l’idée de créer un orphelinat pour aider ces enfants des rues… Tous des bâtards, des enfants non voulus… Se fondre parmi eux était une insulte…

Un soir, tandis que le garçon dormait tranquillement dans son lit d’infortune, une ombre s’engouffra dans la demeure. L’enlèvement fut tellement rapide et silencieux qu’il ne resta même pas un cheveu du garçonnet. Le lendemain, c’était comme si ce dernier n’avait jamais existé et personne n’allait s’en plaindre puisqu’il n’avait plus de famille... Le voyage fut des plus désagréables et terrifiants, ballotté de droite à gauche dans cette caisse où il pouvait à peine bouger un orteil et seulement quelques trous pour respirer, le blondinet ne parvenait à s’orienter ; où était-il ? Seule la chaleur imposante et étouffante lui fit comprendre qu’il n’était plus à Dyrinn mais dans une région des plus arides. Il était bien trop jeune pour savoir qu’il se trouvait à Torcan. Le voyage se termina dans une salle légèrement plus humide et sombre. On le jeta à même le sol avant de fermer la lourde porte. Complètement perdu, le gamin se recroquevilla sur lui-même, suffoquant de ses pleurs incessants. Il implorait sa mère, son père mais il n’avait pour seule réponse que ses mots qui résonnaient dans cette prison glaciale.

Depuis combien de temps était-il enfermé dans cet espace si confiné ? Des heures ? Ou bien des jours ? Etait-ce une mauvaise blague de ses frères pour se moquer de lui ? À force de pleurer et d’implorer son tortionnaire, il s’était enfermé sur lui-même jusqu’à ce que la porte s’ouvre de nouveau pour faire apparaître un homme très grand. Ce dernier n’eut aucune difficulté à prendre le garçon par le col de ses vêtements pour l’emmener dans une autre salle, les yeux bandés. Il fut balancé de droite à gauche pendant le trajet avant de finir sur une table de pierre très froide et humide, attaché de la tête aux pieds. Apeuré, l’enfant entendit vaguement ce qu’il se tramait autour de lui : ils étaient deux minimum, peut-être trois. Son tortionnaire et deux autres individus… La porte s’ouvrit à nouveau pour se refermer et là, le cauchemar commença. L’enfant terrorisé pouvait entendre des murmures et des mains froides se poser tout le long de son corps. Des murmures inaudibles comme si l’adulte chantait une étrange chanson dans un langage inconnu. Malgré les épais murs et le fait qu’il ait pleuré énormément, le garçon hurla à s’arracher les poumons dans l’espoir qu’on l’entende… en vain…

Cette manipulation se répéta plusieurs fois. Et lorsqu’elle se terminait, l’enfant retournait dans sa prison, docile mais complètement shooté. Il ne savait plus comment il s’appelait, où il habitait. Ses souvenirs s’effaçaient à chaque expérimentation. L’enfant n’était pas seul dans cet état puisque d’autres avaient été kidnappés dans les mêmes conditions. Filles comme garçons, ils subissaient tous cette machination contre leur plein grès. Il arrivait que pour certains, il faille être plus extrême quitte à leur interdire tout repas de la journée… Tout était bon pour trouver le bon cheminement pour y parvenir…

Et un jour, tandis que les enfants étaient réunis dans une même salle, ils entendirent des cris. Ce n’était pas l’un de leur frère ou petite sœur. Non, c’était le cri d’un adulte. Malgré leur état mental plus que défectueux, ils levèrent leur tête vers les cris. Certains essayèrent de se cacher, d’autres ne bougeaient simplement pas. Plongés dans le noir, ils attendirent leur sentence et lorsque la porte s’ouvrit, la lumière les éblouit. Un homme y entra, suivi d’un second et puis de plusieurs. Leurs voix résonnaient dans la pièce, ce qui irritait les oreilles des enfants. Lorsque les gardes tentèrent des approches vers les enfants, ces derniers ne bougeaient pas et leurs regards vides se posaient sur leurs sauveurs. En fait, il ne savait plus distinguer le bien du mal, ce qui était juste ou pas. C’était peut-être d’autres tortionnaires…

« On a trouvé les enfants, chef Nazaris ! »

Un homme beaucoup plus grand que ses semblables s’approcha du groupe d’enfants pour en constater les dégâts. Voir leur mine effacée lui inspirait la pitié. Il ordonna alors à ses acolytes de vérifier la liste des enfants disparus et cela coïncidaient pour la plupart. Sauf pour un. Le chef Nazaris posa un genou à terre et s’adressa à l’enfant :

« Comment t’appelles-tu ? »

Mais le blond ne répondit pas. Faible et mort de faim, le garçon peinait à tenir debout tandis qu’il voyait ses camarades quitter la salle avec les gardes. Il n’était pas sur la liste alors qu’allait-il devenir ? Pourquoi ne partait-il pas avec eux ? Le regard vague, le gamin observa l’homme immense qui se présentait à lui, plongeant son regard dans le sien. Pourquoi sa maman ne venait-elle pas le chercher ?

« Il n’est pas sur la liste mon chef.

- Parce qu’il n’a pas de famille. On va le prendre avec nous en attendant. »

De ses puissantes mains, il prit doucement le blond qui n’opposa aucune résistance. En même temps, il ne devait pas dépasser son tibia… Les jours s’enchaînèrent bien trop lentement pour le blond qui avait du mal à tout resitué. Il lui arrivait d’entendre des bribes de conversation des gardes concernant l’affaire des enfants volés mais son cerveau étant un peu en pause, il n’arrivait à retenir. Tout ce qu’il comprenait, c’est qu’on le nourrissait et qu’on veillait sur lui en attendant. Mais en attendant quoi ? Il n’avait plus de famille, plus de nom, plus d’identité… Jusqu’au jour où…

« Dis-moi mon garçon, as-tu un prénom ? » questionna Nazaris, s’asseyant sur une chaise.

Le garçon orphelin cessa de grignoter son pain afin de  poser ses yeux bleus sur cet immense inconnu. Il mit un certain temps avant de lui répondre. La réponse espérée n’était pas la bonne ; le lavage de cerveau qu’il avait subi l’avait légèrement déstabilisé et il faudrait énormément de temps pour que tout redevienne comme avant. Surtout que numéro cinq n’était pas un prénom… ne voulant l’offenser, Nazaris lui répondit en souriant :

« Que penses-tu de Serafeim ?

- Sera… femme ? »

Ce petit échange fit rire Nazaris qui jusqu’à présent était très sérieux concernant le cas du gamin. Pour ne pas le brusquer, il lui tapota doucement la tête, ébouriffant ses cheveux de ses gros doigts. Un lien se tissa entre eux, comme si Nazaris considérait son nouveau protéger comme un fils qu’il n’aurait jamais…


Une bonne quinzaine d’années s’écoula. Serafeim devint un garde ayant suivi les traces de son père adoptif. Cependant, les missions qu’on lui donnait ne l’intéressaient guère puisque le jeune guerrier s’ennuyait de devoir surveiller les rues et ruelles de la cité du feu. Un jour, pour manifester son ennui profond, Serafeim s’adossa contre un mur tout en baillant à plusieurs reprises. Il ne manifesta aucun intérêt pour la mission en cours contrairement à son camarade, légèrement plus âgé que lui, qui fusait du regard tout les passants. Le seul intérêt qui faisait réagir le guerrier, c’était quand des jeunes femmes passaient devant eux, sourire aux lèvres pour leur échanger un salut avant de se faire réprimander par son acolyte. Depuis quelques jours, ils avaient eu vent d’une affaire particulière ; des personnes exerçaient du braconnage et la vente avait visiblement lieu dans la ville. Cette illégalité avait titillé l’oreille de Vaios, le grand patron de la garde et il avait aussitôt dépêché ses sentinelles. Evidemment, attendre tranquillement dans son coin ne faisait pas avancer les choses et ça, Serafeim le savait mais pouvait-on discuter les ordres de son supérieur ? Son boulot était de veiller à la bonne conduite des habitants de la ville, notamment de son secteur et signaler tout mouvement suspect. Un pur ennui…

Le soir arriva et Serafeim ainsi que son collègue saluèrent les remplaçants avant de prendre le chemin du retour vers leur caserne. Sur la traversée, le blond remarqua que deux personnes arrivant en face étaient vêtues de capes épaisses alors qu’il faisait encore très chaud en ce début de soirée. Aucun d’eux ne se regarda mais une fois qu’ils les aient dépassés, Serafeim s’arrêta net pour se retourner et voir que les deux personnes encapuchonnées avaient pris une ruelle peu fréquentable. Le guerrier entreprit de suivre les deux étrangers et se cacha derrière un muret en s’assurant que ces derniers ne s’attendaient pas à être suivis.

« Eh oh ?, interpella son collègue, Tu fais quoi là ?

- Tu as déjà vu ces personnes ? répondit le blond en les montrant du doigt, Elles sont étrangères à la ville et elles prennent une ruelle pas spécialement faite pour eux…

- Et alors ? Ce n’est sûrement pas la première fois qu’elles viennent à Torcan et bon, notre tour de garde est fini…

- Et dire que c’est toi qui regardais avec insistance tous les passants de la journée, quelque soit leur accoutrement et là, tu laisses couler sous prétexte qu’on a terminé la journée ? », rétorqua Serafeim.

Le blond marquait un point : qui irait se promener avec des capes pareilles par une telle chaleur étouffante ? Son camarade soupira et lui demanda alors de lui obéir pendant la suite des opérations, étant son supérieur hiérarchique. Ils s’engouffrèrent dans la ruelle à leur tour mais malheureusement, ils perdirent leur trace et se retrouvèrent alors dans un carrefour. Cela arracha un soupir du supérieur qui lâcha que tout ceci n’était qu’une perte de temps et qu’ils se trompaient sûrement. Cependant, Serafeim ne l’écouta pas et essaya de trouver leur cachette en tapotant les murets ; ils n’avaient pas pu s’évaporer comme ça aussi vite ? Le garde continua de se plaindre en ne faisant plus attention à son cadet qui soudain, tapota son épaule. Ce dernier se retourna et remarqua que le jeune homme avait découvert une trappe secrète, un large sourire se dessinant sur ses lèvres.

Le passage était sombre et ils ne pouvaient pas se servir de leur maîtrise du feu sous peine de trahir leur présence. Ainsi, ils descendirent au pas tout en évitant de glisser ou de louper une marche malencontreusement. Plus ils descendaient, plus ils entendaient du bruit. Du bruit qui s’avérait être des voix. Le couloir où ils arrivèrent amenait directement sur une salle animée et très bien éclairée. Par chance, ils trouvèrent une salle où ils purent s’y engouffrer tout en écoutant à la porte légèrement fermée. La salle où ils se trouvaient contenait de nombreux articles illégaux, des cages cachées par des tissus pour éviter que les bêtes ne s’affolent. La vente aux enchères n’allait pas tarder visiblement. Malheureusement, il était impossible pour eux de faire quoique ce soit étant donné qu’ils n’étaient que deux et eux, sûrement plus d’une dizaine vu l’animation. De plus, ils ne connaissaient pas leur niveau de maîtrise élémentale ou bien leur niveau en escrime. L’aîné fit des signes à Serafeim qui comprit ; en silence et veillant à ne pas se faire repérer, ils quittèrent les lieux tendit que la vente battait son plein.

Une fois sortis de la salle secrète, ils prirent rapidement le chemin de la caserne afin d’avertir les supérieurs. Puisque cela n’était plus de son domaine, Serafeim prit la direction de sa chambre à contre cœur. Une fois seul, il retira son attirail et remarqua alors une boule de poils blanche qui n’était pas là d’habitude. Curieux, il la toucha du bout de son doigt et ressentit comme une brûlure, aussi il le retira rapidement et souffla dessus. La petite chose se mit à bouger pour s’étirer et Serafeim reconnut la créature qui se trouvait en face de lui : il s’agissait d’un Pyronille. Enfin, un très petit Pyronille au vue de sa taille. Sûrement un bébé. Mais il remarqua aussi que la bestiole n’avait pas cinq cornes comme généralement représentée mais quatre, enfin quatre et demi et cela semblait le déstabiliser pour se mouvoir correctement. Serafeim mit ses genoux à terre et posa ses bras sur le lit, le menton sur le dos de ses mains et regarda l’insecte. Le bébé observa les environs dans un premier temps l’air inquiet puis quand il vit le garçon, il se planqua aussitôt. Sa réaction arracha un rire au jeune homme qui comprit que ce bébé avait été un Pokémon enlevé pour être revendu. Le Pyrax était l’emblème de Torcan et étant un magnifique Pokémon, il était normal que certains collectionneurs le désirent absolument. Quoi de mieux que de voler des bébés inoffensifs à leur mère… Cette vision affecta étrangement Serafeim. Il sentit comme une boule au niveau de sa poitrine mais ne sut s’il avait de la pitié pour la bestiole ou pour lui… Lorsqu’il reposa son regard sur le petit, le guerrier comprit aussi qu’il n’aurait pas pu être acheté et aurait sûrement fini… Il ne voulait pas y penser. On lui avait donné une seconde chance, il pouvait bien faire de même avec ce bébé Pokémon.

Concernant la vente aux enchères, elle fut interrompue et les organisateurs tous arrêtés afin d’être jugés et mis en prison. Concernant les Pokémon capturés, ils ne pouvaient être libérés tout simplement parce qu’ils avaient été retirés de leurs parents très tôt et ils ne sauraient se débrouiller seuls dans la nature. Alors ils furent  confiés à des éleveurs honnêtes. Cependant, le Pyronille que Serafeim avait recueilli ne semblait guère quitter le jeune humain qui s’était lié d’amitié avec ce dernier. Et rien n’interdisait à un garde d’avoir un Pokémon avec soi, tant qu’il ne le gênait pas dans ses missions.

Caractère :
Serafeim est un jeune homme prétentieux qui n’hésite pas à se servir de ses charmes pour arriver à ses fins ; quand il s’agit de se faire inviter par des demoiselles se sentant un peu trop seules le temps d’une soirée par exemple (ou parce qu’il n’a plus un rond sur lui) ou pour obtenir des informations dans une affaire en cours. Il n’a jamais testé avec des hommes mais il ne s’étonnerait pas de tomber sur ce genre de personne un jour ! À méditer.

Il faut savoir que Serafeim prend énormément de libertés que ce soit dans ses actes ou sa tenue vestimentaire (plus décontractée et notamment avec ses mèches qui cache le bijou frontal de son ordre moralisateur) et il lui arrive de se faire réprimander par ses supérieurs pour ses comportements qui sortent un peu de l’ordre. Mais leurs discours moralisateurs ne l’intéressent pas. Il leur doit beaucoup parce qu’il ignore ce qu’il se trame derrière tout ça mais le blond s’estime mériter un peu plus de liberté pour le travail qu’il fournit. On peut noter aussi que le jeune homme ne sait pas se tenir correctement ou parler sans être familier : étant donné qu’il a été élevé par des hommes (des vrais !) et qu’il a été un enfant des rues une grande partie de sa jeunesse malgré le fait qu’il l’ignore, ce jeune homme a tendance à oublier les formules de politesse (qu’elle soit gestuelle ou verbale).  

En dehors de ses missions de routine, le guerrier s’adonne beaucoup aux entraînements avec ses camarades. Il n’est pas le meilleur de la promotion bien qu’il se prétend l’être mais il n’est pas non plus dans les mauvais. Il lui arrive de se moquer des autres ayant des difficultés en combats, ce qui a tendance à en irriter certains. En effet, malgré ses défauts irritables et détestables, Serafeim semble être le « préféré » de Nazaris, un puissant guerrier du clan, ce qui entraîne parfois quelques conflits internes au sein des jeunes recrues qui se terminent souvent par des bagarres. Quoi de plus normal étant donné que c’est ce dernier qui a pris soin de lui ?  

Malgré ses défauts, le guerrier éprouve de la compassion et de la pitié pour les enfants abandonnés dans la rue puisqu’il lui arrive même de partager quelques morceaux de pain avec eux en cachette sachant très bien que cela ne les aidera pas. Peut-être à moins voler pour la journée. Serafeim s’est longuement intéressé aux Orphelinats pour tenter de faire rentrer les petits gredins qu’il arrêtait mais en vain puisque la plupart des établissements étaient complets ou refusaient leurs présences.

Serafeim est un jeune homme torturé par un passé qu’il ne connait plus car depuis qu’il a été recueilli par Nazaris, c’est le flou total concernant son enfance. Il rêve d’un passé qui n’est pas le sien et pourtant, il a cette impression de l’avoir déjà vécu. Les seules choses dont il puisse se souvenir avec certitude, c’est d’avoir été accueilli dans cette nouvelle famille que sont ses camarades les gardes et qui l’ont élevé comme un frère, essayant de lui fournir l’éducation adéquate. En effet puisque Serafeim ignore totalement qu’il a été le fruit d’expérimentations ; il a été l’un des premiers enfants à avoir subi une sorte de lavage de cerveau par un Maître de l’Esprit et ses Pokémon aux pouvoirs psychiques afin de lui faire oublier son passé de bâtard pour tenter d’en fait une marionnette à des fins encore inconnues puisque le manipulateur a pu prendre la fuite, emmenant avec lui tous ses manuscrits et écrits…

Description physique :
Un garnement dévala les ruelles de la cité de Feu tout en tenant fermement dans ses bras une besace qu’il venait de voler à un modeste étranger. Il sauta les marches deux à deux pour échapper à son poursuivant un garde de la ville qui peinait à suivre son rythme de petite Fouinette. Lorsqu’il jugea son opposant perdu, l’enfant calla son dos contre le mur d’une maison afin de reprendre son souffle et de quitter les lieux rapidement. Cependant, entre deux murets plus hauts que sa taille, une ombre passa juste au-dessus de sa tête le forçant à s’arrêter net. Il scruta les alentours s’assurant qu’il n’y ait aucun danger à déplorer et que cette ombre n’était que son imagination. Mais lorsque le petit se retourna, il tomba nez à nez face à un jeune homme beaucoup plus grand que lui (il devait faire dans les 1m70) avec une musculature moyenne. Ce dernier portait une tenue des plus étranges : il n’avait pas une armure complète mais juste le bras et la partie haute de sa poitrine gauche recouvert d’un tissu vert avec des morceaux d’armure de la même couleur au niveau de l’avant bras et de l’épaule. Le reste de sa poitrine était orné de lanières avec des bijoux. À sa taille démarrait une ceinture dont l’attache centrale était une pierre précieuse, un saphir qui lui permettait de mieux supporter la chaleur, d’un tissu blanc avec des morceaux d’armure dorée derrière pour terminer par un pantalon bouffant rouge avec des sandales dont les tibias étaient protégés par des jambières en métal doré. Inquiet, le petit voleur serra sa besace contre sa poitrine tout en reculant, tandis que son adversaire s’avançait, posant son regard turquoise sur lui, un brin taquin. Le jeune guerrier, puisqu’il portait deux belles lames avec des pierres précieuses à la taille au niveau du dos tendit son bras droit et réussit à chopper le garnement par le col. Il le souleva avec facilité  puisqu’il n’était pas bien épais afin de récupérer le bien volé de son autre main.

C’est alors que le garde chargé de sa poursuite arriva à les retrouver, complètement essoufflé. Le blond lui jeta la besace remplie de pièces à son acolyte en lui présentant le petit voleur, le sourire aux lèvres. Il n’eut aucun remerciement ; le garde se rapprocha d’eux, récupéra le petit voleur et ébouriffa les cheveux du blond. La suite des choses n’intéressait pas le chasseur qui préféra se recoiffer en remettant sa queue de cheval en place et les mèches de sa frange dont on pouvait voir un bijou formant un bandeau frontal. Quelques mèches s’étaient également emmêlées dans ses grandes boucles d’oreilles lors de sa course-poursuite.  
Particularités : Serafeim se bat avec deux couteaux (armes de prédilection) mais il a déjà testé les lances et les épées à deux mains.

Image ou dessin :
Serafeim :



Premier Pokémon : Pyronille
Sexe du Pokémon : Mâle
Surnom du Pokémon : Naboris
Image ou dessin : //

Autres remarques : Naboris est un bébé Pyronille qui a été enlevé à sa mère pour être vendu sur le marché noir. Malheureusement lors de la transaction, l’une de ses cornes a été brisée le rendant « invendable ».
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Message par Kaé Jeu 10 Aoû 2017 - 9:29

Allez, deux enfants torturés en moins d'un mois, le fun continue ! Very Happy xD

J'ai juste trouvé un petit plot-hole, le fait que Serafeim soit le seul kidnappé "sans famille" (tu penserais que sur une bande d'enfants abandonnés, le kidnappeur en prendrait plus d'un s'ils sont "facilement à disposition" x) ou que les méchants se seraient aussi servi d'orphelins dans la rue Razz ) À part ça, j'ai rien à redire, je trouve le RP / description physique rigolo, ça change de ce qu'on a d'habitude dans cette section ^-^

Je te donne 18 points pour ta fiche, moins 5 pour ta seconde classe d'Élémental, soit 13 au total Smile J'espère que j'aurais l'occasion de RP avec ton beau blond charmeur Very Happy

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Message par White Tama Jeu 10 Aoû 2017 - 14:25

Alors je t'avoue, j'avais ce début de fiche depuis belle lurette maintenant (sûrement aux alentours de avril/mai) et je l'ai re-modifiée il y'a peu XD donc désolée pour le manque d'originalité concernant l'enfant traumatisé x) (ma première idée était trop complexe et aurait amené énormément de questions, j'ai bien fait de la refaire).

Pas bête et désolée d'avoir zappé cette partie... après j'avais envie que ce soit la "mère adoptive" qui soit derrière tout ça (le pourquoi c'est "Serafeim" qui a été enlevé et pas d'autres) mais ça aurait fait gros et voilà... Après, peut-être que le kidnappeur a fait un peu de "lèche-vitrine" pour trouver l'enfant prodige XD

En tout cas, merci pour la validation ♥ et à bientôt en rp o/

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