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[ Clos ] Prélude et préparation pour l'île de la Tortue. [Contrainte/Solo]

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Message par Elvira Greyhunt Mer 25 Nov 2020 - 22:16

[ Clos ] Prélude et préparation pour l'île de la Tortue. [Contrainte/Solo] Y75w

Contrainte n’1 Insister sur la description des lieux et des personnages.

Après son épreuve à Terros, elle et Trellia s’étaient séparées pour continuer des chemins différents. Après l’abandon temporaire de leur mission actuel, des nouvelles informations étaient venu à jour et le brigadier avec qui ils avaient fait affaire, avait décidé de mettre en pause le temps de se remettre des toutes les informations reçues. Cette pause militaire avait largement soulagé la rouquine qui avait enfin décidé de retourner à Tarouga où l’attendaient Erwina et l’équipage de Walrus. Après le passage de la cartographe venue la chercher chez elle, Elvira avait accepté de leur prêter main-forte pour retrouver Flint, toutefois, elle devait gérer le nouveau capitaine qui avait pris la place. Comme à son habitude, elle avait débarqué à dos de Khaliset, la dragonne préhistorique avait lourdement atterri avant de pousser un rugissement qui avait fait reculer les rares personnes qui se trouvaient non loin de son atterrissage.

Tandis que le nuage de poussière retombe, elle tire de leur Noigrume ses Pokémon impatients. Axill s’étire de tout son large, essayant d’avaler le plus d’air possible avant de s’aplatir comme une ombre et disparaître dans celle d’Elvira. Pour sa part, l’Exagide vient calmement se placer dans son dos, reprenant son rôle de gardien. Elle penche ensuite la tête vers le Kaïminus qui bouge ces petites pattes dans tous les sens et elle vient retirer les petites lunettes de protection pour le voyage. Elle retire ensuite les siennes et les laisse tomber vers son ombre qui les avale. Elle se penche et sous les yeux incrédules des rares personnes présentent, elle tire de son ombre un petit sac de voyage qu’elle enfile. Elle lève ensuite la tête vers le soleil de plomb qui s’étire sur son zénith. La main comme protection, elle observe un vague moment le ciel qui est complètement dégagé de tous nuages, signe que la journée serait chaude et sèche. Toutefois, à cause de la présence du marais, le brouillard perpétuel de la ville offre tout de même une certaine protection.

Elle caresse une dernière fois la tête de la dragonne et le rappel dans sa Noigrume, permettant ainsi au curieux de mieux respirer. Après cette simple tâche effectuée, elle se met en route vers l’intérieur de la ville. Avant de directement se rendre au bateau, elle décide de bifurquer dans l’une des ruelles sombres de Tarouga. Connaissant très bien la ville, elle évite tous les pièges à embuscades et les culs-de-sac pour finalement arriver devant une porte rouge. Elle frappe un coup sec, attend quelques secondes et frappe ensuite trois coups secs pour finalement frapper un dernier coup sec après un nouveau délai. Une petite plaquette de métal se tasse sur le côté et des yeux bruns font leur apparition. « Hector. » Marmonne la rouquine en tirant un peu sur ses doigts prisonniers des pattes de Narfaj. « Scarlet. » Lui répond la voix terriblement grave de la personne. Ici à Tarouga, on la connaissait sous le nom de Scarlet et c'était mieux ainsi surtout avec son grade militaire...

La plaquette se referme brusquement et elle peut entendre un loquet de métal retentir avant que la porte ne s’ouvre avec un son strident. La silhouette géante de l’homme apparaît un instant avant de s’effacer sur le côté et laisser la rouquine pénétrer. La pièce dans laquelle elle se trouve, est petite et sens le renfermer avec une odeur de fermenter de sueur d’homme et de rhum. Le Kaïminus se pince le nez avant d’éternuer brusquement, relâchant pas la même occasion l’une des mains de la rouquine. « À ce que je vois, tu es rendue maman ? » Demande l’homme qui lui tourne le dos pour retourner prendre place sur une chaise qui grince amèrement sous le poids du mastodonte. « Mouais… On peut dire ça. » « Que me vaut le plaisir de l’Écarlate dans mon humble bureau ? » « Droit au but. » Dit-elle en tirant de sa poche un deux sac de cuir. Elle les dépose sur la table. « J’ai besoin de voir la Féline, j’ai des pierres précieuses à faire échanger… »

L’homme hoche simplement la tête, puis tire un bout de papier du tiroir. Il griffonne quelques mots puis roule le papier avant de le donner à un Cornèbre. « Pour Voss, elle te donnera un beau cadeau. » Le Pokémon, visiblement heureux de cette nouvelle, attrape le papier et s’envole par un trou qui est dans le plafond. « Quand elle pourra, elle te contractera, elle saura où te trouver. » « Merci. » Souffle la rouquine en tirant une autre bourse de sa poche. Plus petite que les deux autres qui disparaissent dans l’ombre. Elle la jette sur la table pour Hector qui l’attrape avant qu’elle ne tombe au sol. « Merci… Il fait bon de te revoir. » Marmonne le géant. Elle est à nouveau accueillie par le brouillard qui les enveloppe comme une cape humide. La rouquine revient sur ses pas, retraversant le chemin qui l'avait guidé jusqu’ici pour se diriger vers le port.

Une fois les rues décrépies passé et ses résidents indésirables laissés derrière, Elvira se retrouve devant le port qui semble trop silencieux en ce début d’après-midi. À sa surprise, il y a peu de bateaux dans le port et elle reconnaît facilement le mât et la voile du Walrus. Tout en se rapprochant, elle examine le bateau qui semble avoir de sérieux dégâts. La voile est partiellement déchirée et il ne sembla pas avoir la moindre âme vivante. Face à un tel délaissement du bateau, Elvira sent une bouffer de colère montée en elle, puis elle se souvient la cause de sa présence ici, Flint avait quitté le bateau. Toujours installer sur son ventre Narfaj se dandine un peu, cherchant visiblement l’attention de sa figure maternelle. Elle lui donne sa main droite et sans attendre, il porte les doigts à sa bouche, le bébé faisait ses dents et vu que sa prothèse était en métal, il n’avait pas de chance de lui manger les doigts.

Quand elle, cherche le pont pour pénétrer sur le bateau, elle réalise qu’il n’est pas sorti et décide de se créer des plaquettes flottantes qui lui permettent de passer et de monter sur le bateau. Sans faire le moindre bruit, elle écoute et observe le désastre spectacle du bateau. Le pont est sale, des barri vides, les cordages qui traînent. Tout en marchant, elle prend garde à ne pas faire trop de bruit, plus elle avance et plus elle a la vague impression d’être sur un bateau fantôme. Elle secoua la tête, montant les marches qui mène à la proue et à la cabine du capitaine. Sous ses pas, aussi doux, sont-ils, elle entend le bois craquer, alarment sûrement qui que se soit qui se trouve dans la cale. Toutefois, elle ne s’arrête pas et se rend aux portes de la cabine. Sans cogner, elle pousse les portes et elle est accueillie par une silhouette ténébreuse. « Tu en as mis du temps… » Marmonne une fois faible, mais que trop familière qui fait soupirer la rouquine.

« Sirille… Je me disais bien aussi qu’il y avait anguille sous Roche… » Marmonne la guerrière. De l’endroit où elle se trouve, elle peut déjà entendre le bas de combat. « Que fais-tu ici ? Qu’as-tu fait au bateau ? Que s’est-il passé ? » « La maladie… Et la mauvaise humeur… » Marmonne la femme mûre qui est enveloppée dans l’ombre. « Et ceci est une mauvaise raison de te venger sur le bateau ? Je ne suis même pas sûre qu’il puisse naviguer… » « J’ai tous les droits du monde… JE suis celle qui lui a donné ce bateau et les mener ici. » Continue sa maternelle amèrement. La rouquine soupire pendant qu’elle commence à entendre la foule du monde qui monte sur le pont principal. « Tu permets ? » Sirille la chasse d’un mouvement de main, signe qu’elle peut s’en aller. La rouquine sort à l’extérieur et vient se planter sur le pont au niveau des marches. La main libre le long du corps et les jambes écartées bien planté dans le sol du bateau, elle dévisage l’équipage qui se précipite. Erwina est la première à s’exclamer.

« Scarlet ! » « Erwina… » Avec son regard perçant, elle observe tout le monde et une grimace de dégoût s’affiche. « Seigneur… Pour un équipage de pirates vos faites vraiment pitié… Si Flint vous voyait, il serait navré… » « Hey pétasse, s’il était là, on n’aurait pas besoin toé. » S’exclame l’un des marins, sûrement la plus salle de tous, se fraye un chemin jusqu’à l’avant du groupe réuni. Tandis qu’Erwina essaye de l’arrêter un sourire carnassier s’étire sur les lèvres de la guerrière. « J’vais pas suivre une putain de femme que j’connais pas. » Continue l’homme en grimaçant, dévoilant des dents pourries et manquantes. Pour les anciens membres, certains affichèrent une expression apeurer, d’autres de la contrariété… Ceux qui avaient connu la gamine de l’époque savaient qu’elle n’avait pas un bon tempérament pour le manque de respect. L’homme a le temps de monter deux pas dans l’escalier avant que son bras d’acier se dilue et se transforme en liquide chaud. Il vole jusqu’au cou de l’eau et le soulève de terre. Tandis que l’homme s’étouffe en essayant de retirer la corde d’acier, elle fait un léger mouvement de la main qui déplace l’homme et le diriger vers le dessus de l’eau sans pour autant le relâcher.

« Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, on va mettre quelque chose au clair. Je ne suis pas ici par plaisir, alors je suis assez irritée. Je suis là pour retrouver Flint, botter son putain de cul et le remettre sur les pieds. On est venu chercher mon aide, alors que vous aimez ou pas, je n’en ai rien à foutre. Pour ceux qui me connaissent, j'suis de retour et je crois que chacun connaît son travail. Je veux que ce bateau soit à nouveau navigable et que quelqu’un aille me trouver quelqu’un pour réparer le bateau, il en a affreusement besoin. Je m’occupe des frais pour l’instant et… Que tout le monde profite d’un bain, ça sent la mort ici. » Elle se tait et jette un coup d’œil à l’homme qui ne bouge plus. Elle fait une légère rotation de la main et l’acier liquide se dénoue et laisse l’homme tomber à l’eau. De la bouffe à Carvanha ou Sharpedo, il n’était bon que ceci. Tandis que son métal reprend son apparence normal et que ses doigts retournent dans la bouche du Kaïminus. Elle soupire. « Écouter, je suis aussi inquiète que vous pour Flint. Soyez aussi loyal envers moi que vous l’êtes avec Flint et je vous protégerais de ma vie comme il la fait. Vous ne manquerez de rien. Manquez-moi de respect comme ce connard et vous aurez le même sort. » Termine-t-elle.

Elle attend un peu et ils commencent à hocher la tête les uns après les autres avant de commencer à se disperser. « Erwina, j’ai quelque chose pour toi, faudrait refaire le plein du bateau, une grosse commande et une liste de tout l’équipement que nous avons. Amène le cuistot avec toi. » « Euh… On a plus de cuistots… » « Trouves-en un pour le futur voyage. Nous allons à l’Île de la Tortue. » « Bien... Capitaine. » Sur ces dernières paroles, Elvira retourne vers la cabine ou l’attend sa mère. Elles avaient beaucoup à discuter avant que la rouquine quitter le port. Il faudrait également trouver des contrats pour payer plus des travaux et le ravitaillement du bateau qui allait venir. En cette chaude et sèche journée, le brouillard perpétuel de Tarouga cachait le bateau qui commençait des changements pour un futur voyage.


Dernière édition par Elvira Greyhunt le Mer 2 Déc 2020 - 3:41, édité 2 fois
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Message par Elvira Greyhunt Lun 30 Nov 2020 - 3:08

« Alors si j’ai bien compris, tu prends ta retraite ? » Demande Elvira qui était revenue dans la cabine en laissant l’équipage reprendre leur travail. Elle retire Narfaj de son support ventral et le pose au sol, le laissant gambader joyeusement autour de la pièce. D’un mouvement de la main, elle attire Axill qui s’extirpe de son ombre et elle lui donne ses Noigrumes. Une fois cette tâche faite, elle congédie tout le monde, laissant les deux humaines seules. Une fois à l’extérieur, l’Ectoplama, s’empresse de libérer tout le monde pour qu’ils prennent de l’air et qu’ils se mettent à leur aise. La Mentalie prend la place sur la proue, observant d’un regard maternel l’activité sur le pont. La Ptéra s’envole presque immédiatement, allant s’installer sur le mat le plus haut, ou la vigie allait devoir s’installer. L’Ymphect, boule d’impatience se jette immédiatement sur l’Ectoplama pour échanger des coups. Assez expérimenté sur le comment jouer avec la boule de destruction, il est clair que la créature avait beaucoup hérité de son paternel, il réussit à naviguer la bête sans qu’elle fasse trop de dégâts. Pour sa part, l’Exagide garde la porte de la cabine, jugeant n’importe quelle âme qui ose s’approcher.

Tandis que l’humaine reprend sa place devant sa figure biologique, elle tire une bouteille de vin qui traîne sur la table. Elle prend une gorgée et tire la langue, le liquide avait viré amer, signe que le vinaigre avait tourné et qu’il n’était plus bon. Sirille s’étire et lui arrache la bouteille aux trois-quarts vide et se calle à nouveau dans son trône. « Ce n’est pas une retraite volontaire… » Déclare-t-elle amère avant de boire une gorgée. Elvira fait la grimace à sa place et reprend et se levant de la table et en se dirigeant vers l’une des cachettes de Flint. « Alors, si j’ai bien compris, Flint a disparu, ma mère est malade… Tu me demandes de retrouver Flint et pour quelle raison mon égoïste mère demanderait de l’aide ? » Déclare la rouquine sur un ton de sarcasme. Quand elle décidait de surnommer Sirille mère, c’était surtout une manière de se moquer, parce que toutes les deux connaissaient très bien l’opinion de chacune sur ce titre. « De toute façon, pourquoi tu ne vas pas voir une guérisseuse ? » « Et risquer de confier ma vie à n’importe qui ? J’ai tellement d’ennemis… » Murmure la brûlée.

Elvira soupire et tire de sous un comptoir, ou une alcôve cachée se trouve, une vieille bouteille de rhum. Elle jette un coup d’œil au Kaïminus qui court toujours dans tous les sens et qui saute sur presque tout. Elle prend deux verres qui semblent propres et revient vers la table. Elle remplit ensuite les deux verres à moitié et en glisse un vers Sirille. Elle lâche finalement la bouteille de vin suri et prend une gorgée de rhum. « Tu sais… Tu te fais vieille, je suis sûre que certains ne se souviennent même pas de toi… » Elle voit plusieurs émotions passer sur le visage de sa génitrice et pendant un moment, elle sent les barrières psychiques de sa mère flancher et elle est envahie par un mélange d’émotions. Les principales sont la colère et la rage de son état, puis viennent là tristes qui est suivi par la rancune et le regret ? La découverte de cette émotion la surprend et quand Sirille réalise ceci, elles se dévisagent pendant un long moment. « Depuis combien de temps ? Que tu sais que tu es malade ? » « Pas malade… Mourante Elvira… » Un nouveau silence s’installe tandis que Sirille boit son verre cul-sec.

« Sérieusement ? Tu vas te laisser crever tout ça parce que ta paranoïa est maîtresse . Si tu veux, je connais… » Sirille lève une main, ce qui coupe la parole à Elvira. Elle se sert elle-même un nouveau verre du sirop doré. « Je sais… Margueret… Une ancienne guérisseuse de l’armée de Terros. Une admirable personne… » Termine Sirille avec un goût amer dans la bouche. Elvira plisse les yeux et finit par détourner les yeux vers Narfaj qui semble avoir trouvé quelque chose à son goût. Le haut de son corps disparaissait dans une autre cachette secrète de Flint non loin du lit. « Alors, tu vas faire quoi maintenant que je suis là ? Disparaître ? » Tandis qu’elle regarde le Kaïminus forcer sur quelque chose, il gigote son popotin dans tous les sens, visiblement bien déterminer à sortir sa trouvaille. « Je pensais rester ici et mourir en paix… »

La surprise est grande chez la rouquine qui observe sa maternelle. Toutefois, son attention est attirée par Narfaj qui finalement extirpe l’objet de sa convoitise. Tenant entre ses petites mains, un énorme pistolet antique à une main, visiblement fière de lui, il se tourne vers elle et brandit sa découverte. Elvira plisse les yeux et souffle ; « si tu permets un instant… » « Ah, mes biens sûr, occupe-toi de ton rejeton… » Se moque-t-elle Sirille. « Narfaj et si tu donnais ça à maman. » Dit-elle. Dans un élan d’enthousiasme, le Kaïminus se met à sautiller sur place et sans faire exprès, il active le vieux mécanisme et la bille de métal qui est dans la pistole part en direction d’Elvira. Elle a tout juste le temps de lever la main et utiliser sa maitrise que la balle percute un peu sa paume. L’acier chaud brûle quelque peu sa peau, mais rien de bien grave.

L’air autour d’Elvira est lourd et tout ce qui semble être fait d’acier tremblote, signe qu’elle utilise sa maîtrise. Axill et Béleth fondent éruption dans la pièce pendant qu’un puissant rugissement de colère et de rage se fait entendre au loin. Le bateau tangue sous le poids surpris et dans son esprit, elle sent une nouvelle force vitale s’ajouter à leur famille. Le rugissement qui survient pousse plusieurs pirates à pousser des cris de surprise et de peur face au Tyranocif qui venait d’apparaître sur leur bateau. Elle congédie les deux spectres qui viennent d’arriver et leur demande d’aller s’occuper de Valkas le temps qu’elle termine avec Narfaj. Elle prend une grande respiration et observe le Kaïminus qui a été propulser plus loin. Étourdi, il laisse tomber l’arme et Elvira l’appelle immédiatement à elle. Attirer par le magnétisme qu’elle fait, elle l’attrape en plein vol et l’observe un moment. « Jolie. » Pousse-t-elle avant de regarder le Kaïminus avec un regard brûlant de colère. « Il est temps de grandir Narfaj, tu mets la vie de maman en danger ! » Gronde-t-elle. C’était la toute première fois qu’elle était aussi autoritaire avec lui et il semble immédiatement comprendre son ton.

Les premières secondes sont remplies de peur et de douleur, mais quand il semble comprendre les émotions que lui transmet son humaine, son regard brille de joie et il se relève. Il veut qu’elle soit fière de lui et il veut la protéger. Il pousse un rugissement de jeune bébé qui se mue au même rythme que son corps est enveloppé une première. Le jeune crocodile sur patte s’élargit, il prend de la musculation et son corps s’allonge, doublant presque. Toutefois, pendant qu’Elvira hoche la tête, il veut plus, il veut lui montrer qu’il peut être fort pour elle, qu’il veut la rendre fière. Son deuxième cri se mue à nouveau et devient plus grave pendant que sa forme ondule une dernière fois pour finalement se stabiliser sur le plus gros des Aligatueur qu’elle n’est jamais vue. Aussi haut que le plafond, il doit mesurer dans les 8 pieds facilement. Elvira, très fière de lui s’approche et loin d’être apeurée par la créature qui doit se courber. Elle s’étire et pose la main sur son torse au niveau de son cœur qui bat trop vite. « Je suis fière de toi de vous. Maintenant, va faire mumuse avec Valkas. » Glisse-t-elle en riant.

Tandis qu’il fait grincer le plancher, elle vient ouvrir les portes du cabinet et observe avec émerveillement le Tyranocif qui s’échauffe en essayant d’attraper une boule d’ombre. Béleth reste un peu plus loin, surveillant simplement. Quand Aligatueur sort de la pièce, il pousse un nouveau cri et attire immédiatement l’attention du Tyranocif qui doit être un pied de moins que lui et qui pourtant dégage tout autant de vitalité. « Narfaj, Valkas, aller jouer sur la place, ne détruisez pas le bateau. » Déclare doucement la voix de la rouquine fière que ses deux bébés soient devenus des monstres. Sans perdre plus de temps, Aligatueur s’élance et charge le Tyranocif. Prit un peu au dépourvu par un adversaire aussi gros que lui, il se fait happer et jeter à l’eau. Un nouveau combat s’active immédiatement entre les deux créatures pendant que plusieurs pirates les observent, terrifier. « Ne vous inquiétez pas, ils ne vous feront rien maintenant qu’ils sont mutuellement… Aller, retourner au travail ! »

Sur ce dernier ordre, elle retourne à sa cabine, laissant les deux grands enfants s’amuser entre eux sans les interrompe. Elle referme les deux portes manuellement et se tourne vers sa génitrice. « Bon et maintenant, qu’allons-nous faire avec toi… Où en étions-nous déjà ? Ah oui, comment trouver une cure pour ton problème d’ego et ta stupidité grandissante. Il est clair que l'âge mûr ne te fait vraiment pas… » « Pourquoi t’acharnes-tu ? » « Parce que Flint à besoin de toi… Tu sais je ne suis pas stupide et lieuse, je sais que vous avez… Quelque chose et è chaque fois qu’on c’Est vu, il n’a pas manqué de me le rappeler. Même si à cette époque je ne comprenais pas, maintenant je sais… »
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