Zefira Stormborn, élue des vents

[Zefira Stormborn]

Vous

Pseudonyme : Kur0Shir0
Âge : 25 ans
Loisirs : Jeux Vidéos, Mangas, Musique, sortir avec des potes, tout ce qui m'amuse en général en fait.
Autres remarques : Je n’ai aucun commentaire à faire pour la plèbe.
Comment avez-vous connu le forum ? par recherche.
Quelle est la couleur du chat ? Okay par Mizu

Votre Personnage

Civilité

Prénom : Zefira
Nom : Stormborn
Sexe : Femme
Âge : 22 ans
Pays : Nalcia
Classe de base : Elementaliste (Air)
Classe envisagée : Fusionneur

Description

Caractère
Alors comme ça, vous cherchez à comprendre le vent, cet être à la fois calme et doux mais pouvant aussi se montrer traitre et violent ? Par où commencer et que voulez vous savoir ? Nous ne pourrons de toute façon pas tout aborder…

C’est une question délicate en effet que de se demander comment pense le vent de manière générale. On ne sait jamais ce que pense le vent puisqu’on a déjà du mal à le voir, ne faisant que ressentir sa douce caresse, tel un soupir sur votre nuque à vous en donner des frissons. Calme et tendre, il se fait objet de désirs, incarnation d’une liberté sans limite : on n’emprisonne pas le vent. Fuyant et pourtant constamment présent, si l’on peut sentir sa présence, et si sa tendresse nous touche, il nous semble par contre impossible de lui rendre la pareille.

Car le vent est un solitaire et un grand introverti. On ne sait jamais vraiment ce qu’il pense, et même quand il est là, il y a ce petit je ne sais quoi, comme une distance, qui se met entre vous. Qu’il soit loin ou tout contre vous, jamais il ne se sépare de cette distance. Et pourtant, vous aimez ça, cette distance qui fait toute sa noblesse. Surréaliste ! Et si il peut parfois se montrer froid, il peut également être chaud et avenant, portant avec lui l’effluve de l’exotisme et du changement. Certains aiment, d’autres haïssent, mais personne n’y reste indifférent.

Il se trouve à vous regarder de haut tout en se mettant à votre niveau dans le même instant. Parangon de l’inaccessible, il est loyal à ses idées et ses convictions. Quand à ce qu’elles sont, vous qui voulez les savoirs, posez vous la question : d’où vient le vent et où va-t-il ? Si vous ne le savez pas, comment voudriez-vous que je le sache ? Ses buts et ses intentions, nuls ne les connait, il doit pourtant bien en avoir, depuis le temps qu’il arpente cette terre à la recherche de ce quelque chose…

Et s’il est inaccessible, il n’en est cependant pas insensible. Aussi, méfiez-vous de ses sautes d’humeurs. Qui ne redoute pas les pires tempêtes, les tornades et les ouragans ? On ne provoque pas la colère des cieux, car ces derniers ne montrent que rarement de la pitié dans leurs phases de violence sourde. Ils ne montrent pas grand-chose d’autre d’ailleurs, n’exprimant toujours que leur jugement en l’application, car le vent, même dans ses colères, sait se montrer indéchiffrable.

Cependant, ce genre de cellules de crises se montre assez rarement. Heureusement les tempêtes n’arrivent pas tous les jours et la colère du Ciel-Père sait se faire attendre, aussi brusque et violente soit-elle. Au contraire, la majorité du temps il sait se montrer doux et compatissant, aidant autrui bon grés mal grés. Après tout, un monde sans vent est un monde mort puisque vos moindres fait et gestes l’appellent et l’amènent auprès de vous, lui faisant savoir le moindre de vos mouvement et de vos gestes…

Comment ? Vous ne vouliez pas une allégorie sur le vent mais sur son élue, Zephira ? Et bien contentez vous de reprendre ce que j’ai dit auparavant en changeant le sujet, après tout, si elle est son élue, en quoi en serait-elle si différente ?

Physique
Comment définiriez-vous la beauté ? Sans doute comme étant un concept abstrait étrange auquel chaque humain adhère mais à sa manière propre si vous vouliez être réaliste. Néanmoins, ce qui s’en ressent quand on la voit est toujours semblable : que ce soit un belle homme, une belle femme ou encore une œuvre d’art qui vous touche au vif de part sa splendeur, on est toujours scotché, comme captivé par cette anomalie qui sort du lot commun. En ce sens, on peut souvent qualifier Zephira comme étant « belle ».

Sortant du lot de par la couleur de sa peau, de ses cheveux et de ses yeux, notre jeune femme est en effet albinos. De longs cheveux blancs assortie à une peau d’albâtre contrastent donc avec des yeux semblables à deux rubis et dont la profondeur ne semble avoir d’égal que la noblesse angélique qui s’y inscrit. Le tout s’inscrit dans un corps finement taillé aux proportions harmonieuses faisant l’envie de plus d’une demoiselle. Elle ne peut en effet ni être décrite comme étant grosse ou maigre, elle est juste élancée, quand aux parties de son corps qui intéressent ces messieurs, je me contenterais de dire qu’elles sont tout ce dont vous rêver et peut-être plus encore.

Ainsi, son visage distingué se trouve comme dessiné par un artiste de talent. Des lèvres douces au teint rougeoyant viennent rappeler la couleur de ses yeux sans pour autant vous en écarter. Ses cheveux, ses longs cheveux d’ivoires, retombent en cascades le long de son visage en une course immuable, virevoltant aux grès des vents. Son nez est fin et sa peau semble si douce qu’elle vous donnerait envie de passer une main attendrie sur ses joues, sans mauvaises intentions, juste pour le privilège de pouvoir y toucher, d’avoir l’insigne honneur de caresser sa peau.

Pour ce qui est des vêtements, si l’on pourrait s’attendre à quelque chose de sophistiqué et d’étonnamment complexe, il n’en est rien. La jeune femme sait se démarquer de son entourage en ne portant que des vêtements d’une simplicité presque épurée mettant simplement ses formes en valeur sans pour autant trop les exposées. De cette manière, généralement les personnes autour d’elle qui ont eu l’envie de se montrer tellement au dessus par la richesse de leurs parures ne passent que pour des paons tentant de faire la roue devant un ange tombé des cieux.

La seule chose que l’on pourrait qualifier d’étrange ou d’extravagante, il est dit qu’elle ne l’a jamais voulut. Il s’agit de cette marque étrange et d’un blanc neige situé à la base de son coup, juste au dessus de sa poitrine. Représentant une étrange étoile à huit branches terminées de petites sphères et étonnamment stylisée, il se dit qu’elle l’a depuis la naissance, mais elle n’a pas la moindre idée de pourquoi ni comment. Trop étoffée pour pouvoir être assimilée à une tâche de naissance, cette étrange tatouage semble conforter ceux qui la prennent pour une personne choisie, une élue parmi les hommes aimée par les vents et pour qui ces derniers seraient prêt à tout, y compris à la protéger du malheur…

Au final, la seule chose qu’il peut manquer à ce physique divin, c’est une paire d’elle pour pouvoir voler parmi les cieux et rejoindre les siens, unique rappel que malgré tout elle n’est encore qu’une humaine perdu dans cet océan de mondanités…

Image

Spoiler:

Particularités : Albinos ; possède une marque encore plus blanche que sa peau entre les deux gorges, apparemment ce serait supposé de naissance.

Biographie

Un soir de pleine lune…
Une partie de la côte de Nalcia fut engloutie par vagues et tempêtes…
Rares sont les survivants au cataclysme qui se produisit cette nuit là…
Certains parlent de l’intervention de Lugia pour calmer les vents…
Mais c’est là aussi que commence l’histoire d’une femme…

L’élue des vents.

Ce n’était qu’un petit village de pécheur sans prétention, un village comme tant d’autres… maintenant il n’est plus que ruines à moitié noyée sous les torrents de boue et les marées, à moitié rasée par la fureur des cieux. Cette nuit avait été un enfer. Les villageois n’avaient pas eu le temps de se préparer, la tempête déboulant aussi soudainement qu’elle eut disparue. L’équipe de secourt envoyé par la capitale ne retrouva qu’un survivant, ou plutôt qu’une survivante.

Nom : inconnu, prénom : inconnu, âge : inconnu, âge apparent : moins d’un an. Voilà à peu près tout ce qu’il fut noté de la physionomie du survivant, quand au lieu où on l’a trouvée, ce fut plus étrange. Elle était dans un landau… un landau en parfait état, de même que les planches sur lesquelles il était posé dans un cercle très finement dessinée. C’était comme si la tempête n’avait pas eu lieu juste à cet endroit là. C'était une sorte de clairière, un tout petit œil au milieu d'un maelstrom de violence qui avait ravager les environs. On baptisa sommairement la jeune enfant Zefira, afin de ne pas la laisser ainsi dénuée d'identité trop longtemps. Son nom, elle ne le choisira elle-même que bien plus tard.

Cette dernière était une albinos quelque peu étrange, car outre sa survie à une telle catastrophe, elle avait un étrange tatouage sur le corps. D’un blanc laiteux ce dernier contribua à lui donner la réputation qui deviendra sa malédiction. Une fois arrivée à la capitale, l’enfant avait déjà une réputation de survivante aux malheurs et fut alors placée en orphelinat. Beaucoup de monde avait perdu des proches et des amis dans la catastrophe, pourquoi avait-elle survécut et pas eux ? Pourquoi cette enfant et pas d’autres ? Qu’avait-elle de spécial pour mériter la vie là où tant d’autres avaient trouvé la mort ?

Et lorsque plus tard, l’enfant montra une facilité à apprendre à maitriser le vent, les critiques et les remarques dans son dos ne furent qu’amplifiées. On la surnomma l’élue des vents plus par crainte que par respect. La méfiance des parents se transmit aux enfants et celle des surveillants aux orphelins. Au final elle se retrouva isolée et seule dans un monde qui l’avait honnit pour des faits dont elle ne comprenait rien. L’injustice sous sa forme la plus populaire : l’irrespect et le mépris.

Et bien qu’essayant de rester souriante en toute circonstance, il était bien des moments où la jeune fille pleurait à chaude larmes dans la fraicheur de la nuit. Dans ses heures sombres où il n’est plus d’humains, mais seulement les regards de nos démons posés sur nous. Que pouvait-elle penser dans de tels moments, entre un sanglots et deux chaudes larmes ? De quoi elle rêve devant ces personnes qui l'observent ? Et même si elle recevait un peu d'amour, cela risquait de ne pas peser lourd.

Malgré tout la jeune fille essayait de garder le sourire devant les autres, les reste d’une dignité foulée au pied et dont personne n’avait le moindre intérêt pour. Ses efforts pour se faire des amis et des connaissances se soldant généralement par de cuisants échecs et même si il y avait bien une ou autre personne qui l’acceptait malgré l’avis général, il n’était généralement pas bon se montrer avec ces derniers à cause des remarques qui se faisaient sur eux par la suite. Heureusement pour elle, plus le temps passait, plus elle finissait par s’habituer à cette attitude à son égard et à celui de son don pour finir par s’en ressaisir.

Si l’on ne pouvait pas l’aimer pour ce qu’elle était, la jeune fille se disait alors naïvement qu’on l’aimerait peut-être pour ce qu’elle ferait. Encore jeune, la jeune fille essayait de se trouver des petits boulots pour aider les autres et gagner un peu d’argent de poche. Principalement elle jouait les courriers et transmettait messages, courses et notes d’un bout à l’autre de  Parcourant ainsi la ville, il lui arrivait de faire un peu de lèche vitrine au hasard des rues de la ville. Elle développa également une certaine passion de la musique en écoutant musiciens itinérants et autres troubadours jouer leurs morceaux dans la rue.

Aussi, quand elle passa devant un luthier proposant à la vente violons et livres d’apprentissages, il ne lui en fallut pas plus pour commencer à réaliser des économies pour cet instrument qu’elle admirait tant. Ce fut alors après plus de six mois d’économies que notre jeune fille acheta son premier violon. C’était un instrument simple et sans fioriture, mais qu’est-ce qu’une débutante avait besoin de plus que cela ? Sans attendre plus que cela, elle se mit à s’exercer dès le soir même où elle eut obtenue l’instrument tant convoité.

Etrangement, elle n’avait strictement aucun don ou talent de naissances pour la musique, et encore moins pour le violon. Cependant, elle avait deux atouts de tailles : du temps et beaucoup de patience. Après tout, tout le temps qu’elle ne passait pas avec les autres enfants de son âge car ils ne voulaient pas la voir, elle pouvait le passer à se perfectionner et à progresser en tant que violoniste. C’était difficile et fatiguant, mais elle n’avait pas grand-chose d’autre à faire de son temps libre, prisonnière de cette pièce froide qui lui servait de chambre dans un orphelinat où aucun parent ne voulait la recueillir…

Elle y mit tant de temps de larmes et de douleurs, les espoirs de ses jours, les rêves de ses nuits, dans cette pièce nuit après nuit, on ne pouvait nier son travail et la rigueur qu’elle y mettait. Cela lui prit des années de travail mais elle finit par avoir un excellent niveau au violon ainsi qu’un grand nombre de partitions entreposées dans son réduit. Autant de temps, autant de morceaux sur lesquelles elle s’est penchées, et elle partait pourtant d’extrêmement loin dans le domaine.

Les années passèrent ainsi sans grand changement. Il y avait bien des hauts et des bas mais dans l’ensemble cela resta sensiblement la même chose jusqu’au jour où elle finit par se faire connaitre du maitre d’orchestre d’Alfen qui était apparemment un peu moins méfiant que les autres habitants. Ce dernier avait sut repérer le talent de celle qui était désormais devenue une jeune femme de dix-sept ans et en fit la membre la plus jeune de son orchestre. Pour Zefira, ce fut là une sorte de consécration, un travail de plusieurs années qui portait ses fruits. Pour les autres, ce fut un peu différents…

Certaines personnes commencèrent certes à la respecter pour ce qu’elle avait fait comme travail, néanmoins, la méfiance et la haine générale à son encontre s’exacerbèrent encore plus. Ayant désormais un petit logis où vivre et n’étant plus dans l’orphelinat, elle reçut nombre de menaces écrites chez elle. Au final, se faire connaitre d’avantage pour son travail n’avait fait qu’empirer les conditions de sa vie et exacerber la haine des gens à son encontre. Cette jeune femme devenue d’une grande beauté qui a des dons dans la maitrise du vent et survécut à un cataclysme se permet en plus d’être naturellement douée pour la musique ? Cela en était trop pour certains qui ne pouvaient concevoir que ce talent pour la musique n’était pas si naturel qu’ils le croyaient.

A force de pleurer de ce qu’on lui faisait, les larmes de Zefira finirent par sécher et un nouveau nom naquit, un pied de nez à tous ceux qui la méprisaient pour sa survie, Stormborn. Ce n’était plus la tristesse qui la remplissait, cela avait mué, changé en une colère bien plus sourde. Néanmoins, en face des autres, elle continuait de gardait son imperméable sourire et sa distance habituelle. Ils pouvaient la mépriser, la haïr et lui cracher au visage, elle n’était sure que d’une chose, un jour elle comprendrait pourquoi toute cette haine à son encontre, et ce jour là, tous, payeront pour leurs affronts. Et peut-être qu’alors elle aura la paix.

Toute cette haine et tout ce mépris du travail qu’elle avait put effectuer, ces menaces, ces brimades et cette défiances ont en effet transformé Zefira. Et même si beaucoup ne s’en rendent pas encore compte, elle devenait plus forte, plus résistante et plus endurante. Et au fur et à mesure qu’elle passait d’adolescente à femme, ses charmes se prononçaient également de plus en plus, et comme beaucoup de femme, elle apprit à faire attention à son apparence et à accaparer le regard des hommes…

Néanmoins, son but n’était clairement pas la séduction mais bien de blesser. Elle plaisait, elle se savait agréable au regard, cependant aucun homme ne trouvait grâce à ses yeux, elle les éconduisait tous poliment. Elle ne disait pas un mot plus haut que l’autre dans ces moments mais à chaque fois elle foulait leur fierté, leur ego du pied, comme on chasse un enfant de son chemin. Quand aux femmes, avoir l’attention des hommes suffisait à les faire souffrir, elle n’avait pas besoin d’aller plus loin pour qu’elles se déchirent de colère.

Le paroxysme fut cependant atteint lors d’un concert où se produisait Zefira. Une femme du public monta sur la scène avant de se diriger vers elle, sortant au dernier moment un couteau pour tenter de poignarder la jeune femme. Cela ne se passa cependant pas exactement comme prévu, et l’agresseur avait de toute évidence oublier que Zefira maitriser l’air et fut ainsi écrasée par ce dernier avant d’avoir put mener son forfait à bien. Une flaque de sang écarlate tapissa cependant le sol de l’opéra, choquant tout le monde et provoquant une certaine panique : le couteau s’était planté dans l’aine de l’agresseur pendant sa chute.

De tout cela, Zefira ressortie blanchie, l’affaire ayant été reconnue comme un cas de légitime défense et un accident, même si plusieurs personnes affirment avoir vue un pâle sourire sur les lèvres de l’élue des vents alors que son ennemie se vidait de son sang. Des dires de Zefira, ce fut quelque chose d’effroyable et de terrible qui, elle l’espère, ne se reproduira plus jamais. Elle n’a cependant pas été jusqu’au point d’aller présenter des excuses à la famille de la victime involontaire.

C’est d’ailleurs durant ces événements et durant la crise qui secoua le monde qu’elle trouva à sa porte un petit Passerouge affamé et agonisant. Les pokémons ne lui ayant jamais rien fait de particulier dans sa vie, elle le recueillit et le nourrit, jusqu’à ce que ce dernier reprenne suffisamment de force pour pouvoir repartir. Elle ne s’attendait cependant pas à se faire ainsi un petit ami qui s’appliquait à la suivre partout où elle allait et développa vite un extrêmement mauvais caractère envers tout humain autre que sa sauveuse. Même Zefira ignore les raison de la défiance et de l’attitude bravache de ce qui devint alors « son » pokémon vue qu’elle n’avait elle-même nullement chercher à l’éduquer ainsi. C’est sans doute pour cela qu’elle surnomma alors son preux chevalier Burnout…

Suite à cet incident cependant, elle choisit de quitter l’orchestre pour une durée non déterminée et de prendre quelques ‘vacances’. Le maitre d’orchestre n’émit pas d’objections, l’événement avait suffisamment choqué la troupe tout entière pour qu’il puisse comprendre que la cible de l’attaque ne veuille plus exercer pour l’instant en public. Du point de vue de Zefira, c’était peut-être là un des rares humains qui avait encore un peu de valeur.

Quelques jours seulement sont passés depuis sa prise de congés. Quelques affaires ont été pliées et désormais la jeune femme pense à voyager un petit peu, bientôt elle partira à la recherche d’une compréhension qui la dépasse. Ce qu’elle trouvera, même le vent ne peut le dire…

Premier Pokémon

Espèce : Passerouge
Surnom : Burnout
Sexe : Masculin
Âge : Un an environs.
Image

Spoiler:

Autres remarques : BANANE !

[Zefira Stormborn]

Fiche terminée en bonne et due forme.

[Zefira Stormborn]

[Mizuki Ana]

Nos excuses pour le retard Je me charge de ta fiche le plus tôt possible.

[Zefira Stormborn]

Pas de soucis, ne vous en faites pas. ^^

[Mizuki Ana]

La paire d'elle m'a bien faire rire Globalement tu as tendance à mettre du féminin un peu partout même quand il n'en faut pas ("un belle homme", "cette étrange tatouage").

J'ai un peu du mal à comprendre comme Zefira peut se retrouver haïe à cause de sa maîtrise du Vent si elle vit à Alfen, ville de plein de maîtres du Vent... Après le syndrome du survivant explique sans doute cela.

12 points de fiche, soit 17 points de départ.

Cependant, le staff t'a déjà averti par rapport à ce perso, n'abuse pas de sa puissance. Tout ce que tu as demandé à pouvoir faire ne sera pas réalisable

Bon jeu quoi qu'il en soit

[Zefira Stormborn]

C'est à la fois l'idée du survivant et le fait qu'elle SEMBLE tout réussir très aisément, presque sans efforts, des choses supposées très complexes qui font qu'on la hait (ou méprise / snobe / moque... hair est un diminutif des possibilités dans l'ensemble).

Et la majorité de ce que j'ai parlé sont souvent des hypothèses lorsque je remettais dans un cadre scénaristique ou des possibilités pour le staff quand au personnage quand... bah quand je proposais des trucs pour le staff °°

En partant de là je m'en moque un poil de sa puissance 'théorique', si c'était ça qui rendait le personnage drôle...

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