[ Clos ] -découvre-

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[FINI !]

Edrakan venait de voir une île. Un bateau. Il lui fallait un bateau. Mais dès qu'elle demandait un bateau et qu'elle disait vouloir se rendre sur une île, elle était rabrouée par les marins. Elle finit par dégoter une barque qui, éspérait elle, tiendrait le voyage aller-retour. Le propriétaire la lui prêta pour quelques heures seulement, mais ca lui était égal. Elle dirait qu'elle s'était perdue. Comme s'il lisait dans ses pensées, l'homme la regarda avec un air supiscieux. Elle souhaitait avoir l'embarcation, et elle aurait dut faire un grand sourrire, mais elle n'en avait pas le coeur, et elle le foudroya du regard. L'homme, assez impressionné, se retira, maugréant, lui laissant la barque. Elle grimpa dedans, et commenca à ramer. *Allez, souquez, matelots !* Les rames étaient en bois dure, et très peu maniable. Un petit vent vint l'aider dans son entreprise, poussant la maigre voile pleine de trous. Edrakan se dit qu'elle aurait dut refuser, après tout. Ca semblait vouloir l'ammener vers le fond à tout moment... Elle se morigéna mentallement, s'obligeant à ramer plus vite. Ses muscles bien développés ne la lâchèrent pas, et elle arriva sans encombre sur la plage. Il n'y avait qu'un fin banc de sable, ensuite commencait une forêt dense et dont il semblait inextricable. Edrakan grimaca et commenca par explorer. Mais tout cela n'allait pas très vite, et il lui fallut une aide extérieur. Sa plus fidèle amie sortit de la pokéball qui était présente dans une poche interieure. Un poney, avec des flammes en guise de crins. Quelle était belle, la jument ! Grande pour son âge, déjà de bonne carrure... Edrakan grimpa sur son dos, avec l'approbation de cette dernière, et la suite du voyage, bien que laborieuse, fut beaucoup plus facile : Dès qu'une plante trop coriace apparaissait, des flammèches sortaient de la bouche de la jument. Assez pour bruler la plante récidiviste, mais trop peu pour vraiment faire flamber la forêt. Elles arrivèrent à une sorte de clairière, toute patite, entourée d'arbres, avec une statue de pierre au milieu. C'était une vrai jungle. Edrakan s'assit par terre et regarda aux alentours. C'était beau. Et elle qui avait vécu plusieurs années dans la forêt, c'était surtout plein de cachettes. Elle grimpa dans un arbre, laissant sa magnifique monture brouter l'herbe.

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Ayato était sur le dos de son airmure, assis en tailleur,son sabre sur les cuisses, les mains posée dessus, il se dirigeait a la vitesse moyenne de trois cent kilomètres par heures, il rongeait son frein, inquièt au sujet de son père il se dirigeait vers l'ile perdu pour y prendre une brindille de Arcko neccessaire a son bon rétablissements. Rien de bien dur en somme. Mais seulement l'ile perdue de Mizuhan, n'était pas un paradis, notamment un pokémons légendaires, presque fantasie habitait, disait on, dans ce berceau d'une ancienne civilisation. Que de mystère. Mais Ayato avait bien autre chose dans la tête en plus de ces questions. Il fallait rester sur ses gardes, on ne sait jamais qui ont pouvait rencontrer, bon, méchants, ennemis, amis, on ne sait jamais. Le citoyen de Terros vit alors sa direction en vue. En faite il ne la vit pas, il la ressenti, l'air était devenu lourd, un silence insuportable, le soleil avait disparut alors qu'il faisait encore jour...l'atmopshère pesait sur les esprits. Airmure bougea la tête et se prépara a attérir sur une plage ou un homme s'en allait avec une barque.

Ayato descendit sur la plage et regarda droit devant lui, pour lui, l'atmosphère était insupportable, la forêt faisait peur, peur oui...Il arriva a cette conclusion lorsqu'il vit une jeune fille perchée sur un arbre. Le mélancolique alors Ayato se redresse intérieurement, il fallait être prudent ! Il allait s'inventer encore une fois une identitée, faisait mine d'être un gentil voyageur. Il mit sa Kusanagi dans sa centure violette et s'approcha :

"Bonjour ! Je m'appelle Arashi Kugima ! je suis un citoyen de Mizuhan ! Et vous !"

On ne remarquait pas ses appartenance a cause de ses vêtements et tant mieux, si on avait affaire a un ennemis on était mal barré...

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Edrakan était en train de rêvasser sur sa branche quand un bruit d'aile se fit entendre. Elle les vit de loin, alors que son amie se rapprochait du tronc de l'arbre. On ne sait jamais qui on va rencontrer ici... En tout cas, elle ne le connaissait pas. En arrivant sur son airmure, même si celui-ci était rapide, elle avait eu le temps de se le décrire. Grand, l'air renfrogné, une sorte de grande cape noir avec un nuage rouge dessus. Le fait qu'il ne montrait aucune appartenance avec une terre ne fit que redoubler la méfiance de la jeune fille. Cette dernière descendit de quelques branches mais resta en hauteur. C'était le meilleur endroit : L'homme semblait guerrier et elle ne savait même pas manier un couteau correctement ! Et puis dans les arbres, l'homme aurait beau être rapide avec son airmure : impossible de voler ici, et la jeune fille était d'une agilité impressionante. Mais surtout, elle savait se cacher. En combat pokémon, d'accord, mais à main armée...Euh...Non. Elle devait avoir sur elle un signe distinctif de son appartenance à Mizuhan. En tout cas, elle était sceptique de l'attitude de ce...'Arashi'... Elle se présenta tout de même.

"Salut...Je suis Edrakan, de Mizuhan aussi !"

*Dit une seule reflexion sur mon nom et je découpe en rondelle de cornichon, arme ou pas !* Elle regarda que ponyta était bien là d'un rapide coup d'oeil vers le bas. Elle voulut continuer la conversation, toujours sur un ton méfiant et un peu hargneux, peu avenant.

"Tu fais quoi, ici ?"

Le tutoiement était direct, après tout, elle ne se souvenait pas avoir déjà vouvoyé quelqu'un. Et puis c'était pas demain la veille !

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Edrakan remarqua alors une chose qui brillait au loin. Vu que la personne devant elle demeurait sans réaction, elle décida de lui fausser compagnie. Elle plongea à terre, crocheta une branhce et se projetta dans un arbre adjacent. Elle eut juste le temps d'entrapercevoir le personnage bizard avant qu'il ne disparaisse de sa vue. Utilisant son intuition, elle fila, traversant presque l'île. Ensuite, elle se retourna, et recommenca à marcher. Ponyta l'avait suivie mais depuis quelques instants, elle était récalcitrante à avancer. Edrakan monta sur son dos, évitant en passant de se bruler, et filla droit en direction de sa barque. Elle monta dedans, et en remmettant Ponyta dans sa poké-ball pour ne pas enflammer le bateau commenca à ramer rapidement pour rejoindre la côte.

[Désollé, c'est bizarre, mais franchement je savais pas quoi mettre ^^]

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