Adalyn Haren, dans la quête d'un vent nouveau.

[Adalyn Haren]

Vous

Pseudonyme : GekkoNoUta
Âge : 16 ans
Loisirs : Ordinateur, mangas (parfois anime), dessin, escalade au lycée.
Autres remarques : Ce sera mon premier RP sur forum, du coup je suis assez intimidée et j'espère que je m'intégrerai et m'habituerai vite. *Se penche en avant*
Comment avez-vous connu le forum ? Avec un ami (inscrit sous le nom de Neria Clemens), on s'est dit qu'on aimerait bien faire du RP sur Pokémon, alors on a cherché les forums sur Internet avant de se mettre d'accord pour celui-ci. J'aime beaucoup le côté fantasy et la présence de classes. ^^
Par contre, moi non plus, je ne connais pas Avatar. J'ai les mêmes connaissances que mon ami sur le sujet : il est chauve avec une flèche bleue sur la tête. ' w '
Quelle est la couleur du chat ? Il est fou, fou, il est complètement fou!!!.

Votre Personnage

Civilité

Prénom : Adalyn
Nom : Haren
Sexe : Féminin
Âge : 18 ans
Pays : Nalcia
Classe de base : Élémentaliste
Classe envisagée : Méta-Élémentale. :3 J'aimerais aussi acquérir plus tard la classe Guerrière pour passer Archère. ^w^

Biographie

Dans de hautes montagnes aux falaises hautes et à la vue dégagée du pays de Nalcia naquit une petite métisse. Sa mère avait passé toute son adolescence à Mizuhan avant de déménager dans le pays du vent pour suivre et épouser un autochtone. Leur union donna naissance à Adalyn. Adalyn Haren, fille de Kioi Azuki et Amir Haren.
C'était une fillette normale, calme et obéissante à tel point que jamais ses parents n'eurent à lever la main sur elle pour lui faire comprendre que ce qu'elle faisait était mal. Sans être une enfant surdouée, elle n'avait aucun problème particulier pour apprendre ses leçons à l'école et la langue natale de sa mère, le japonais – bien que ses camarades de classes ne comprenaient pas pourquoi elle s'ennuyait à étudier une langue étrangère alors que Créhelf, le Pokémon du Savoir, avait fait don aux Nalaciens de la conscience innée de l'Erasien. Elle n'en tenait cure, à vrai dire. Après tout, le sang d’Éole n'était pas le seul à parcourir ses veines.

« Ma chérie, tu ne dois jamais oublier que la culture, la connaissance, est une des deux valeurs les plus importantes que tu dois posséder. Tu connais la seconde ?
—  La conscience, maman. »

Malgré les origines de sa mère, elle ne quitta jamais le territoire Nalcien. Elle voyagea parfois en son sein mais jamais les frontières n'eurent l'occasion de connaître les traits de son visage. À chaque fois, elle s'émerveille. Son père étant marchand itinérant, il n'est jamais bien présent à la maison, et ce depuis les six ans de sa fille. En revanche, il met un point d'honneur à revenir pour les fêtes et les anniversaires. Même si cette famille ne roulait pas sur l'or, tout se passait généralement bien et Adalyn n'était pas malheureuse.
Les enfants de son âge ne l'approchaient pas trop quand elle était à l'école primaire. Il faut dire qu'elle était intimidante : elle paraissait plus mature que la majorité des autres élèves, plus posée et elle restait souvent seule dans son coin à lire des livres qui semblaient bien compliqués ou écrire des notes sur sa journée. Sans oublier que quand des disputes éclataient entre deux enfants à la récréation ou bien la pause de midi, c'était souvent elle qui se portait volontaire pour jouer le rôle de médiatrice, enfin, dans la mesure de ses capacités. La plupart du temps, c'étaient d'autres filles des classes supérieures qui l'approchaient, les plus calmes de la cour de l'école, accompagnées de garçons plus âgés eux aussi. Elle était assez douée en sport. Souple, dotée d'une endurance normale et d'un instinct plutôt aiguisé, elle filait comme la brise et se défoulait auprès de ses camarades qui découvraient, au fur et à mesure que les années passaient, une personne différente et la fille studieuse qu'ils côtoyaient tous les jours. Plus son âge augmentait et plus elle s'ouvrait aux gens de son âge qui l'abordaient plus facilement. Elle n'avait que peu de mal à se faire des amis. Toutefois, loin de rogner ses bonnes vieilles habitudes, elle tenait toujours à ses moments qu'elle passait seules, à lire ou décrire sa journée dans le petit cahier qui ne quittait jamais son sac d'école.
Mais enfance oblige, bien que drôlement mature et posée pour son âge, elle n'en restait pas moins une fillette normale. Quand elle ne voulait ni lire ni écrire, elle jouait avec ses amis, faisait de petites bêtises et plaisanteries pour rire avec eux. Et sa mère était la première personne à l'encourager à être naturelle tant qu'elle ne perdait pas de vue les deux principes fondamentaux qui se transmettaient dans sa famille depuis plusieurs générations...

« Adalyn, à la récré', avec les autres, on va tendre des pièges à la prof avant qu'elle revienne ! T'es partante ?
— Avec joie ! Mais je te préviens que cette fois tu ne mettras aucune punaise sur sa chaise. Elles sont toutes rouillées et c'est dangereux. » sourit la fillette de dix ans.

… La connaissance et la conscience.

Adolescente, Adalyn poursuivit ses études dans une petite école supérieure en bas de la montagne en haut de laquelle elle vivait. À ses onze ans, elle commença à éveiller ses pouvoirs. Sa mère se porta garante de son éducation élémentale et la dirigea d'une main de fer dans son apprentissage des bases. Pendant son adolescence, Adalyn découvrit sous un autre angle le côté strict et déterminé (un tempérament parfois enflammé qui seyait étrangement à une natale de Mizuhan) de sa mère.

« Tu te serviras de tes pouvoirs comme d'une arme au service de la justice ! 
— Je ne comprends juste pas comment fait une femme qui maîtrise l'eau pour enseigner à sa fille qui maîtrise le vent.
— Tu me cherches, fille. »

Si Adalyn ne tenait pas ses cheveux, son visage et ses pouvoirs de sa mère, en revanche, leurs yeux et leurs lèvres naturellement rouges possédaient la même maîtrise du sarcasme. La magie de la socialisation parentale.
Qui dit adolescence dit changements au niveau du comportement. Du haut de ses quatorze ou quinze ans, la jeune fille restait la personne calme, souriante et responsable des années précédentes, tout en cultivant autant ses défauts que ses qualités. Cependant, autant elle adorait chanter et jouer de la musique – excellant tout particulièrement au piano et à la guitare, il était drôle de noter qu'elle avait beau cracher tout son air dans un instrument à vent, elle n'arrivait jamais à jouer une mélodie correcte –, seule ou avec ses amis, autant elle détestait la danse et faisait tout pour l'éviter quand elle sortait dans les festivals. Quand elle traînait avec son groupe d'amis de son âge, ils aimaient bien s'amuser à se rincer l’œil en utilisant leurs pouvoirs de vent pour faire voler les jupes des filles ou soulever les hauts des garçons. Ses amis aimaient bien la railler sur le fait que l'Adalyn studieuse et (presque) sans reproches vouait un intérêt tout particulier aux torses masculins. C'étaient tant de choses comme ça, tant de petits riens d'une adolescence normale, qui faisaient le bonheur de la jeune fille.
Malheureusement, il se trouve que grandir a ses bons et ses mauvais côtés...

Dix-huit ans. Adalyn travaillait dans le restaurant de sa mère au bord d'un petit étang de montagne prisé par quelques touristes – toujours à peu près les mêmes à chaque période de l'année. Or,  depuis quelque temps, une once de fainéantise s'était emparée de l'esprit de la jeune femme qui sortait de moins en moins et ne prenait pas son travail très à cœur. En effet, elle avait déménagé et avait perdu ses vieux amis de vue depuis un an. Ce changement dans sa vie, sans l'avoir traumatisée, l'avait peu à peu transformée en jeune fille inactive et coincée dans son petit confort de maison.
En réalité, c'était juste qu'elle s'ennuyait profondément.
Elle vivait dorénavant dans un hameau avec tout au plus vingt habitants, comptant en son sein bien peu de gens de son âge. Et, coincée par le travail qu'elle regrettait presque d'avoir accepté, Adalyn se disait qu'elle ne pouvait pas se permettre de laisser sa mère s'en charger seule. Oui, seule, parce que les deux femmes n'avaient plus eu une seule nouvelle ou un quelconque signe de vie de la part du père de famille il y a un an de cela, la date concordant parfaitement avec le départ d'Adalyn et sa mère qui ne pouvait plus payer le loyer de leur ancienne maison.
Mais une fin d'après-midi d'été, alors que la jeune fille était occupée à glisser son regard du coin de l’œil sur les deux ou trois beaux garçons qui barbotaient dans l'étang en faisant cuire par la même occasion des brochettes sur une grande plaque de pierre chauffée, sa mère apparut discrètement à côté d'elle et frappa du poing sur la table.

« Alors maintenant ça suffit, fille ! J'en ai assez de te voir te noyer dans une inactivité pareille ! Je t'ordonne dès aujourd'hui, ma patience ayant atteint ses limites, de quitter cette maison sur-le-champ ! Grr ! Tiens, prends ça et va capturer un Pokémon pour partir voyager dans le pays. Tu fais ce que tu veux, je m'en fiche, je veux juste que tu fasses quelque chose de ta vie ! Je ne t'ai pas éduquée pour que tu finisses comme ça. Reviens quand tu seras une femme accomplie ! »

Lançant à la figure de sa fille une Pokéball construite à partir d'un noigrume, Kioi fixa de son regard de braise la figure ébahie et désappointée de sa fille. C'est ainsi que, à peine trois heures plus tard, alors que le soleil disparaissait au dos des plaines et des montagnes, Adalyn se retrouvait face à un mignon petit Vivaldaim, un sac à bandoulière autour de l'épaule et Pokéball à la main, toujours un peu sonnée et déstabilisée par ce départ soudain.
Le Pokémon, semblant endormi, ouvrit nonchalamment une paupière alors qu'il entendait le bruit d'un objet filant dans l'air.

Mais c'était trop tard, il ne put l'éviter, et l'objet se cogna contre le haut de sa tête.

« Une femme accomplie, hein... »

Description

Caractère : Adalyn est une fille qui a toujours été calme et souriante. Par là, je veux dire qu'elle n'a pas le sang chaud, mais il est vrai que ça arrive qu'elle voie rouge. C'est juste assez rare, puisqu'elle est capable de rire d'elle-même. D'ailleurs, elle rit souvent et a le rire facile. Elle aime vraiment s'amuser avec ses amis bien qu'elle affectionne ses moments de solitude. Dans son enfance, elle était très en avance sur les autres enfants de son âge en terme de maturité, ce qui faisait que la plupart d'entre eux étaient intimidés par elle. Mais ça ne la dérangeait pas tant que ça. Les deux vertus que sa mère lui a transmises lui tiennent à cœur. Elle lit beaucoup et s'intéresse à la culture générale, parfois plus technique, et est du genre curieuse : la connaissance. Elle est raisonnable, responsable et sait se poser des limites : la conscience.
Bien évidemment, elle a aussi des défauts ! La plupart ont commencé à être cultivés aux abords de l'adolescence. En effet, comme ses parents n'ont pas eu à beaucoup la gronder durant son enfance, elle a tendance à se vexer quand on la réprimande. [EDIT] De plus, elle a une grande estime d'elle-même et une fierté assez poussée (qu'elle sait cependant mettre de côté dans les situations qui le nécessitent). Certes, elle ne s'énerve pas très facilement, mais quand on devient trop insistant sur un sujet qui l'a dérange, ça arrive. Ainsi, si on tente de la forcer à faire quelque chose qu'elle ne veut absolument pas faire, elle s'énerve. Seule sa mère en est capable. Adalyn est quelqu'un de calculateur. Elle est du genre à prévoir un maximum dans sa tête, et souvent, elle va même jusqu'à estimer toutes les possibilités qui lui viennent à l'esprit. Elle est très frustrée quand ça ne marche pas comme elle l'avait prévu. L'attitude sarcastique qu'elle peut avoir souvent, elle la tient tout droit de sa mère. Elle manie souvent l'ironie, mais il faut être capable de différencier deux comportements lorsqu'elle se sert de sarcasmes : soit c'est une preuve d'affection, soit vous êtes une personne qu'elle n'aime pas et vous la fatiguez, auquel cas il faut prendre ses mots parfois durs voire méchants au premier degré. Mais malgré ces défauts, elle est agréable à vivre, 'faut pas croire ! Il suffit qu'elle vous apprécie. De toute façon, si elle n'apprécie pas quelqu'un, ça se voit : elle ne vient pas vous voir, et même si elle venait, vous verriez bien qu'elle ne le fait pas avec joie.
Elle est aussi nourrie de ce qu'on pourrait appeler un soupçon de perversité à l'égard des beaux spécimens du sexe opposé. Oh hooo, attention, ça ne veut pas dire qu'elle est du genre à se baser uniquement sur le physique !

« C'est juste que j'aime regarder de belles choses, moi... C'est mal ? »

Dit-elle en boudant.  
Physique : Adalyn a une chevelure noir de jais coupée aux épaules, aux longueurs dégradées un peu partout, légèrement ébouriffés. Elle les hérite de son père, tout comme les traits doux de son visage. Sa mère, en revanche, lui a donné ses yeux d'un rouge rare, aussi beaux que des rubis, parfois intimidants. Ses lèvres sont également d'un rose foncé presque rouge, tout en restant d'une couleur naturelle. Elle a un corps mince, mais çà et là on peut voir quelques petites marques laissées par les quantités de nourriture qu'elle est capable d'ingurgiter. Adalyn, elle, trouve ces légères rondeurs plutôt jolies et n'en a pas honte – d'autant qu'y renoncer signifierait renoncer à sa nourriture. Elle mesure un mètre soixante-quatre et elle ne se trouve ni trop petite ni trop grande. Elle s'habille presque toujours d'une chemise blanche avec des ornements et motifs de feuilles d'automne qu'elle achète toutes à la même enseigne. Elle a plusieurs modèles de la même collection et elle alterne. Autour de son cou, elle porte un ruban noué comme un nœud papillon. Il peut être rouge ou noir, pour s'assortir à ses cheveux ou à ses yeux, selon son humeur et son envie. En bas, elle porte soit un pantalon noir passe partout, soit une jupe noire ornée d'une bande aux motifs de feuilles d'automne, avec par-dessous un jupon blanc pour donner du volume et des volants. Ses jambes sont couvertes de collants noirs lui arrivant mi-cuisse orné tout en haut de petits volants blancs et d'un ruban rouge pour les serrer. À ses pieds, des petites chaussures toutes rouges, cirées et ouvertes, fermées par une petite lanière sur le dessus du pied. La semelle est un peu compensée. Enfin, elle aime porter un tout petit chapeau trônant tout au sommet de sa tête, auquel pendent deux cordelettes de la même couleurs ornées de boules de peluche blanches. Les cordelette, elles, se terminent en nœud.

Particularités : Elle ADORE manger. Elle fait du sport à côté pour pouvoir s'empiffrer dès qu'elle en a l'occasion tout en restant mince. Son niveau en cuisine est plutôt bon, qui plus est.

Premier Pokémon

Espèce : Vivaldaim
Surnom : Sunset
Sexe : Mâle
Âge : Environ deux ou trois ans.

Autres remarques : Je n'ai aucune remarque particulière à formuler. J'espère juste que mon niveau de RP n'est pas trop mauvais... Et si c'est le cas, j'espère vraiment m'améliorer et bien évidemment, j'accepte tous les conseils. ^w^

[Sylver Belister]

Salut Salut!

Je suis ici pour valider ta fiche!
Alors, c'est pas mal du tout, j'aime bien la dualité de ton personnage, tiraillé entre Mizuhan et Nalcia, comme ton compagnon, ainsi que la raison qui pousse ton perso à partir: "Va ma flémasse de fille, et ne reviens que lorsque tu seras une femme^^" et la manière dont elle capture son Vivaldaim, assez singulière! Une fiche, bien écrite, peu de faute et un personnage original avec une histoire sympa et bien écrite.

N'hésite pas si tu as besoin de conseils à poser des questions. Pour le reste, je te valide et te donne 11 points de fiche, ce qui fait donc 16 avec les 5 ponts offert, je te mets ton groupe et ton Poké et tu peux jouer^^ Bienvenue parmi nous!