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Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel]

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Message par Invité Mar 26 Jan 2010 - 18:07

VOUS

- Pseudo (si vous avez déjà un personnage qui n'est pas champion d'arène) : Anciennement Rin

VOTRE PERSONNAGE

Prénom : Tristan

- Nom (optionnel) : /

- Sexe : Masculin

- Age : 23 ans

- Pays : Terros

- Champion de quelle ville ? Seian

- Qu'est-ce qui a motivé votre personnage à devenir champion d'arène, et comment a-t-il obtenu ce poste ? (merci de détailler cette partie-là, elle est très importante pour les autres joueurs) :

C’est un désir de revanche sur sa vie passée qui a poussé Tristan à convoiter le titre de champion.

Pendant toute son enfance, il a dû subir la méchanceté gratuite et les moqueries des autres enfants à cause de sa faible constitution qui ne lui permettait pas de sortir très souvent, ni d’effectuer une activité physique trop intense qui aurait pu lui coûter la vie. Pour toutes ces raisons, il fut rapidement mis à l’écart, et se retrouvait seul la plupart du temps, quand il ne restait pas cloîtré dans sa chambre à les regarder jouer par la fenêtre. Quant aux adultes, et plus particulièrement ses professeurs, ils se faisaient une joie de le rabaisser et de l’humilier en classe. Les sarcasmes quotidiens et les blagues de mauvais goût (qui pouvaient parfois aller très loin) étaient déjà assez difficiles à supporter en soi, mais la maladie, les crises d’asthme répétées et la douleur qu’elles engendraient l’affaiblissaient de jour en jour, si bien qu’il faillit en mourir plus d’une fois. Mais lorsqu’il se retrouva à la rue, contraint de prendre la fuite après le décès de sa mère, et qu’étrangement tous ses problèmes de santé avaient disparu, une rage folle le prit à la gorge en repensant à tout ce qu’on lui avait fait subir, et il se jura alors de tout faire pour devenir un homme puissant, quelqu’un que l’on craindrait et que l’on respecterait, et montrer ainsi à tous ceux qui l’avaient traîné dans la boue de quoi il était capable.

Il avait aussi quelque chose de très important à accomplir, mais il devait avant toute chose acquérir les forces nécessaires pour parvenir à ses fins. Et c’est cet objectif qui le maintint en vie, alors qu’il n’avait plus rien à quoi se raccrocher. Malheureusement, ce qui le poussait à aller de l’avant ne tarda pas à se muer en une pulsion animale meurtrière, exacerbée par un profond sentiment de haine et de violence. La rencontre de sa sœur Léda fut donc plus que décisive dans sa vie, car elle seule parvint à le calmer et à l’apaiser, comme si toute la rancœur et toute la frustration jusqu’alors accumulées en lui s’évanouissaient au contact de cette petite fille qui n’était alors qu’une enfant tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Mais elle était aussi certainement la première à avoir cru en lui et à l’avoir soutenu jusqu’au bout, quoiqu’il fasse.
Petit à petit, grâce à elle, Tristan gagna en confiance, et dès lors ses motivations commencèrent à changer. Il ne s’agissait plus de prouver quelque chose à qui que ce soit, étant donné qu’il avait enfin trouvé une personne qui l’aimait tel qu’il était, mais au contraire de se prouver à lui-même qu’il était capable de grandes choses.
Aussi, à cette époque, il apprit que le champion de Seian se faisait vieux et qu’il cherchait quelqu’un pour lui succéder à l’arène. Galvanisé par les encouragements de sa sœur et fort de sa nouvelle volonté, le jeune garçon décida d’aller se présenter.
Mais le vieil homme n’avait pas l’intention de céder sa place à n’importe qui, c’est pourquoi chaque candidat devait se mesurer à lui lors d’un combat singulier. Or, il s’avéra que ceux qui l’avaient combattu jusqu’à présent avaient tous lamentablement échoué. Tristan lui-même assista à l’un de ces matchs, et se maudit d’avoir cru naïvement qu’il pourrait gagner sans un entraînement et une organisation adéquats.
Il rendit donc visite au champion, non pas en quête d’un défi, mais afin qu’il lui accorde un laps de temps durant lequel il pourrait s’entraîner. D’ici là, aucun prétendant au titre ne devrait prendre officiellement la place de champion, du moins pas avant que Tristan ne la lui dispute lors d’un nouveau match.
L’ancien se trouva tout d’abord fort irrité par de telles paroles qu’il jugea bien trop insolentes pour être prises au sérieux ; il refusa donc catégoriquement d’accéder à sa requête. Mais devant l’obstination pressante du jeune garçon, il reconsidéra la chose avec plus d’attention, et finit par plier, se disant que de toute façon il n’avait pas grand-chose à perdre puisque dans les deux cas il n’aurait qu’à céder sa place. Quant au reste, cela ne le concernerait plus, il pouvait donc bien laisser sa chance à ce gamin. En revanche, il se promit de le dégoûter pour longtemps des combats Pokémon s’il ne se révélait pas à la hauteur de sa témérité.
C’est alors à peine âgé de 17 ans que Tristan quitta Seian pour les montagnes de la chaîne Cenosia, où il passa 8 mois à s’entraîner sans relâche, lui et ses Pokémon, ne descendant que pour s’approvisionner et pour voir sa sœur qu’il avait laissée à des amis de confiance.
Très différent du jeune homme d’aujourd’hui, ce n’était pas vraiment un garçon que l’on aurait pu qualifier de « recommandable ». Les difficultés l’avaient endurci, sans doute trop, le rendant cynique, cruel et mauvais avec tout le monde (sauf avec sa sœur bien évidemment) et il aurait été mêlé à pas mal d’affaires crapuleuses pour pouvoir s’en sortir. Mieux valait donc ne pas lui chercher des noises, car malgré son jeune âge il savait très bien se battre et connaissait déjà le goût du sang.
A son retour, ses Pokémon et lui paraissaient beaucoup plus forts et puissants; d’ailleurs, bon nombre de ses amis avaient pu évoluer au cours de ce petit séjour à la montagne. Mais le plus frappant restait cet énorme changement dans la personnalité de leur maître. En effet, on trouva ce dernier bien plus calme et posé qu’auparavant : il ne réagissait plus du tout de façon hostile et agressive et semblait enfin s’être sociabilisé. Ce n’était pas complètement vrai, car ce germe de violence présent chez lui n’avait pas toujours pas disparu; Tristan n’avait pas oublié ce qu’il devait faire, son but premier, ce pour quoi il était resté en vie et devait le rester coûte que coûte. Mais cette métamorphose n’était pas non plus feinte dans la mesure où il avait pu faire le point sur sa vie et où ce tête-à-tête avec la nature lui avait permis de s’assagir, sortant alors grandi de cette expérience qui ne pouvait lui être que bénéfique pour la suite des évènements, puisqu’il remporta la victoire après un match très serré contre le vieux champion (qui était resté jusqu’alors invaincu, à son grand soulagement), décrochant ainsi le titre tant espéré.

Caractère : Tristan est un jeune homme très apprécié pour son honnêteté et sa gentillesse. Il a toujours le sourire et une parole bienveillante à l'égard des gens qu'il apprécie. Sa courtoisie et son caractère tranquille en font un garçon très agréable à côtoyer.
Ce n'est pas le genre de personne qui rabaissera les gens de par son statut et par la supériorité qu'il lui confère. En effet, il a déjà lui-même assez souffert des railleries pour ne pas faire subir le même traitement aux autres, de plus, il ne fera jamais de mal à personne sans raison. D'autre part, il préfère avoir un contact franc et direct avec les gens que de s'en éloigner en adoptant des manières qu'il juge trop pompeuses. De ce fait, il prend une attitude assez chaleureuse et neutre pour mettre ses interlocuteurs à l'aise. Parfois il fait même exprès de ne pas décliner son identité, afin de ne pas les perturber plus qu'il ne faudrait. Il se montre donc plutôt indulgent envers les maladroits, mais ne tolère pas en revanche le manque de respect volontaire.
Aussi, il n'apprécie pas que l'on se paie sa tête sous prétexte qu'il est gentil. Il gardera son sang-froid, certes, mais cela ne l'empêchera pas de débiter un flot de paroles acerbes et vexantes avec un calme olympien et une pointe d'ironie dans la voix. Et si la situation en vient à dégénérer, il n'hésitera pas à frapper pour se défendre; depuis qu'il a repris confiance en lui, il a juré de ne plus jamais se laisser marcher sur les pieds. Néanmoins, il ne se servira de la violence que quand il n'y aura plus d'autre issue possible.
Il lui en faut beaucoup pour s'énerver, mais la colère de ceux qui s'énervent le moins souvent n'est-elle pas la plus à craindre ? S'il se contente de ne pas réagir dans un premier temps, une fois la limite franchie il peut devenir impitoyable et d'une incroyable cruauté, mieux vaut donc éviter de trop se frotter à lui par pure provocation.
En dehors de cela, il n'est pas de nature violente, sauf dans une attitude surprotectrice si l'on s'en prend à sa sœur Léda ou si elle se fait aborder par de mauvais garçons. Car Tristan prend son rôle de grand frère très à cœur et il a parfois tendance à en faire trop malgré lui. Il agit sans doute ainsi parce qu'il a élevé seul ses pokémons et sa sœur, c'est lui qui ramenait l'argent et qui se chargeait de tout à l'époque. Il a donc pris l'habitude de tout vouloir contrôler et que tout soit parfait chez lui; il fait d'ailleurs un excellent maître de maison et sait s'occuper à merveille des enfants ou des pokémons -ce qui n'a rien d'étonnant quand on sait avec quelle facilité il sait se faire aimer. Il s'avère être particulièrement tendre et attentionné avec Léda et avec les jeunes filles qu'il estime beaucoup, mais tout de même moins pour ne pas s'attirer les foudres de cette dernière et de peur de paraître trop familier.
En ce qui concerne les femmes, il aime bien user de son charme et se prêter au jeu de la séduction, mais reste tout de même assez sérieux sur ce point et ne s'engage jamais à la légère.
Il possède, entre autres, une excellente capacité d'adaptation sociale. En effet, il s'intègre à n'importe quel milieu, que cela soit parmi les gens du peuple ou dans une famille de nobles : étant passé du jour au lendemain du statut de fils de bonne famille à celui de vaurien des rues, il connaît désormais tous les codes et tous les rouages des différentes classes, ce qui lui permet de se glisser n'importe où avec aisance. Non content d'être très travailleur et doué en travaux manuels, notamment dans le domaine du bricolage, il est également aussi intelligent et rusé qu'un renard et trouvera toujours un moyen de se sortir d'une situation épineuse ou de la retourner à son avantage.
Mais comme tout être humain qui se respecte, Tristan a aussi ses propres démons et ses défauts...
Son statut de champion lui nuit dans la mesure où il doit s'efforcer de garder une image sérieuse et responsable, mais il a aussi parfois besoin de relâcher toute la pression qu'il a sur les épaules, c'est pourquoi il profite de son temps libre pour aller faire les 400 coups avec ses amis et s'éclater. Or, dans ces moments-là, il peut paraître très différent aux yeux de certains, et décevoir ceux qui avait une image trop idéalisée d'un jeune homme sage et obéissant. Cette incompréhension attriste Tristan, d'autant plus que cela n'a rien d'anormal. Il accorde peut-être trop d'importance à ce que les gens pensent de lui, ce qui le rend nerveux et le fait sans cesse douter de lui. Et pourtant, il a cette volonté paradoxale de se libérer de cet univers étriqué et de vivre sa vie comme il l'entend, sans restrictions ni contraintes, en se fichant de l'opinion des autres. Même s'il culpabilise ensuite, il ne regrette rien et jouit de chaque instant passé en compagnie de ses amis où il s'amuse comme jamais il n'en a eu l'occasion auparavant dans son enfance, redevenant l'espace d'un instant un gamin farceur et adepte des sensations fortes.
C'est un garçon qui n'aime pas les prises de tête; les disputes, il les fuit autant qu'il le peut, préférant se laisser accabler de reproches plutôt que de chercher à se défendre ou à se justifier, même s'il n'a rien fait de mal.
Il se referme aussitôt sur lui-même dès qu'on le blesse et ne pardonnera aucune trahison, supprimant instantannément tout sentiment d'amitié ou de sympathie, pour s'armer ensuite de froideur et de cynisme, et n'éprouvera aucun scrupule à ruiner ceux qui l'ont trompé si sa haine l'y pousse.
Le jeune homme garde toutes ses émotions néfastes en lui, tout en essayant "d'absorber" celles des autres et d'étouffer les siennes, ce qui lui fait un lourd poids à porter sur les épaules. Et malgré cela, il persiste à ne montrer ses faiblesses sous aucun prétexte. Il préfère régler ça tout seul que de demander de l'aide, même s'il en a réellement besoin. Il se mure dans le silence ou fait mine que tout va bien pour ne pas avoir à s'expliquer, mais il n'ira jamais se confier de son plein gré, ce qui ne facilite pas vraiment la tâche à ceux qui veulent l'aider. C'est pourquoi il faut bien le connaître pour pouvoir arriver à deviner ce qui ne va pas chez lui. Déjà enfant, il n'avait raconté à personne qu'on le persécutait à l'école, et il avait fallu que sa mère s'en rende compte pour pouvoir enfin y mettre un terme. Mais il y a aussi sa fierté d'homme qui fait qu'il ne veut pas qu'on le voit fragilisé ou faible. Il exerce donc une pression sur son coeur pour ne pas craquer, quitte à en souffrir intérieurement.
Une fois que l'on sait tout cela, il n'y a rien d'étonnant à constater qu'en réalité il y a beaucoup de choses qu'on ne sait pas de lui et qu'il tait volontairement. Il ne se dévoile jamais entièrement et cache toujours des choses aux gens, même à ses amis les plus intimes.

Physique : Tristan possède de longs cheveux denses et châtains qui lui arrivent dans le bas de la nuque et dont les boucles effilées ressemblent à des épines de ronces. Ses yeux quant à eux sont dorés comme ceux d’un loup, et leurs pupilles fendues évoquent encore plus le regard fascinant de cet animal. Sa peau est tannée par le soleil à force de travailler sur les chantiers et de s’entraîner en plein air, car le jeune homme préfère largement passer son temps à l’extérieur, quand la météo le lui permet, que de rester enfermé chez lui ou dans son arène. Il éprouve aussi un grand besoin de se dépenser, c’est pourquoi il pratique toutes sortes de sports afin de mieux canaliser son énergie, tout en veillant par la même occasion à travailler sa force de frappe ainsi que celle de son équipe, et ce à l’aide d’épreuves et d’exercices de son invention. Il n‘est pas rare non plus qu‘il se batte contre ses pokémons ou qu’il les fasse s’affronter entre eux. Son corps musclé n’est donc pas tant un désir esthétique de sa part, mais le résultat de longs et rudes entraînements pour devenir plus fort.
Pourtant, le travail physique avait été autrefois davantage vécu comme une corvée qu’un «loisir», puisqu’il fut obligé de peiner jour et nuit pour pouvoir subvenir à ses besoins et à ceux de sa sœur, acceptant n’importe quelle tâche du moment qu’il était payé, et volant même parfois lorsque tous ses efforts n’étaient pas suffisants. Mais maintenant qu’il s’y est habitué et que sa situation s’est arrangée, tout cela lui paraît moins difficile.
C’est donc au fil d’interminables heures de travail passées à creuser inlassablement dans les mines, à porter, tirer, soulever d’énormes blocs de pierre, des sacs de sable pesant près d’une tonne, des lourdes poutres de bois et de métal sur les terrains de construction, que ses muscles ont fini par se développer, et les entraînements supplémentaires, eux, étaient destinés à parfaire le reste. Il effectuait pour cela des tractions, flexions, des pompes et des exercices à la barre avec lesquels il améliorait son endurance de force, puis perfectionnait sa souplesse au moyen d’étirements et d’assouplissements gymnastiques. Cependant, il n’utilisait la maîtrise technique ainsi acquise qu’en combat rapproché. Ce qui était, par ailleurs, assez paradoxal, puisque cette catégorie de combat, même si elle se base sur l’enseignement des arts martiaux, n’a rien d’une discipline sportive ; il s’agit plus exactement d’un combat dont l‘enjeu est la survie. Il s’est donc spécialisé dans l’affrontement à mains nues et dans lutte libre où il se sert beaucoup de ses bras et de jambes, mais plus particulièrement de ces derniers qui sont certainement les membres les plus puissants et les plus travaillés de son corps.
De ce fait, il possède une carrure plutôt bien taillée et assez solide, dont il n’hésite d’ailleurs pas à se servir lorsque cela s’avère nécessaire, et autant vous dire que les coups du champion sont aussi ravageurs que ceux de ses pokémons, si ce n’est plus.
La taille et le poids vont de pair avec cette charpente athlétique et imberbe que nulle imperfection ne vient altérer. En effet, ses 1m86 lui permettent de dominer la plupart de ses interlocuteurs et de faire face aux plus grands, quant à ses 80 kg, ils sont en parfaite harmonie avec sa masse musculaire développée. Il se situe donc dans une moyenne tout à fait correcte, et s’il fait attention à son régime alimentaire, cela ne l’empêche pas de se nourrir de bonnes choses dont il aurait tort de se priver au vu de toutes les activités sportives qu’il pratique.
C’est donc un jeune homme très séduisant pour son physique avantageux, mais également pour le charme noble et altier qui se dégage de ses traits. En effet, les courbes de son visage et de son corps sont d’une finesse et d’une beauté telles qu’elles ont soulevé pas mal de questions à propos de ses origines. Viendrait-il d’une famille de la haute société ? Ca personne ne le sait. Ce charisme est d’autant plus troublant qu’il se marie à merveille avec son imposante stature, renforçant cette image d’une bête sauvage crainte pour le danger qu’elle inspire et admirée pour sa splendeur et l‘élégance de sa démarche.
De même en est-il pour ses mains qui, à la fois grandes et fines, contrairement aux habituelles mains d’hommes rêches, encroûtées et usées par le travail, sont aussi bien capables de douceur que de violence.
Côté vestimentaire, le jeune homme aime porter des vêtements simples dans lesquels il se sent à l’aise plutôt que de se mettre en valeur avec des tenues trop sophistiquées et par conséquent contraignantes. Car pratiquant énormément de sport, il a besoin de se sentir libre dans ses mouvements. C’est la raison pour laquelle il possède plusieurs tenues adaptées selon les occasions. En entraînement ou en combat, il est par exemple souvent vêtu d’un t-shirt blanc ordinaire et d’un short noir, et porte de longues mitaines de même couleur. Chez lui, il adopte un style beaucoup plus décontracté et neutre en s’habillant comme les jeunes de son âge, et quand il s‘agit de plaire, il souligne davantage son élégance naturelle en choisissant une chemise blanche assortie à un polo à manches courtes, ou un t-shirt noir moulant avec à un pantalon à bretelles et des bottes de cuir à lacets.
Mais si sa garde-robe reste tout de même assez banale, en revanche il ne badine pas avec la propreté et ne supporte pas de devoir rester sale ou avec une forte odeur de transpiration, c’est pourquoi la toilette occupe une place très importante chez lui. Il s’entretient donc régulièrement et il lui arrive même de se parfumer, pas trop pour ne pas empester, mais suffisamment pour que cela reste perceptible et agréable. Néanmoins il n’accorde que très peu d’importance à sa coiffure (hormis lors les grandes occasions où il les plaque en arrière) et se contente de quelques coups de brosse.

Particularités : Tristan possède un étrange tatouage sur l’épaule gauche qui représente un crâne couronné de roses et de ronces et tenant une dague entre ses dents.

Spoiler:

Son dos est aussi marqué par de nombreuses cicatrices dont il ne révélera certainement pas l’origine à une tierce personne...

Style de combat et stratégie dominante :

L’équipe de Tristan est en majorité composée de Pokémons de type Roche ; de ce fait, certains comme Grolem, Rhinoféros et Embrylex sont dotés d’une vitesse plutôt limitée. Il s’agit alors, à chaque combat, de frapper vite et fort, en se servant d’attaques meurtrières et à la puissance dévastatrice comme lame de roc, séisme, ou encore telluriforce.
Mais le champion n’utilise pas que des techniques de ce genre. Il aime aussi déstabiliser le pokémon ennemi en baissant par exemple ses statistiques (avec Grimace, Strido-son) en entravant ses mouvements (Tourbisable) ou encore en modifiant son statut grâce au poison ou à la paralysie, avant d’enchaîner ensuite par une série d’attaques efficaces se basant sur sa sensibilité, dont certaines assez inattendues par rapport au type de ses Pokémons (hydroqueue, choc mental pour Nidoking ; Frappe atlas et surpuissance pour Kabutops…).
Leur double type (eau pour Kabutops, Dragon pour Carmache, etc.…) constitue d’ailleurs un autre point important de sa stratégie puisqu’il confère un avantage offensif mais aussi défensif face aux pokémons de type Plante (Nidoking, Carmache) et Eau (Kabutops) qui sont les principales faiblesses de son équipe.
Kimaguro et Ibara forment également une résistance supplémentaire et peuvent s’avérer utiles en cas de pépin si leurs coéquipiers ne parviennent pas à renverser la situation.

- Premier Pokémon (obligatoire) : Rhinocorne

- Equipe et niveau de chacun des Pokémon (dans la mesure du possible, pour les niveaux) :
Rhinoféros lvl 56, Luxray lvl 52, Roserade lvl 50, Carmache lvl 50, Kabutops lvl 44, Nidoking lvl 42
______

Embrylex lvl 5

- Image ou dessin (je ne peux pas vous y obliger, mais essayez d'en mettre au moins un(e) qu'on sache à qui on a affaire lors d'un match d'arène) :

Spoiler:

- Autre (détail(s) ne figurant pas au dessus) : /


Dernière édition par Tristan le Mar 3 Aoû 2010 - 23:50, édité 7 fois
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Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel] Empty Re: Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel]

Message par Invité Mar 26 Jan 2010 - 18:08

Biographie :



L’histoire de Tristan est pratiquement inconnue de tous. D’où vient-il ? Ça personne ne le sait. Le jeune homme n’en a jamais parlé. Il a débarqué de nulle part, avant d’atterrir dans les ruelles de Seian et de devenir champion d’arène plusieurs années après. La seule personne qui semble un peu connaître son passé, c’est sa sœur. Mais pour rien au monde elle ne l’évoquerait, car elle sait très bien que s’il dissimule autant cette période de sa vie, c’est bien parce qu’il cherche à l’oublier. Ou plutôt, à la fuir.




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Le jour de sa naissance, il faisait un froid du diable, et une violente tempête de neige s’était abattue sur Terros, sans doute la plus terrible de toute l’histoire d’Erasia. La neige avait tout englouti sous son épais manteau blanc, et le vent lui, tout en sifflant son oppressante mélodie, faisait violemment trembler les fenêtres des maisons et plier les arbres alentours, menaçant de les emporter avec lui. Il était tout juste minuit quand des cris perçants se joignirent aux plaintes du blizzard et résonnèrent dans les couloirs silencieux du manoir où Tristan naquit. C’était le 1er janvier, et l’année s’annonçait déjà prometteuse.
Avoir cette date-là pour anniversaire relevait de tout sauf de la chance, car pendant toute son enfance le nouvel an allait être le prétexte récurrent de l’oubli volontaire de sa fête. Et les circonstances de sa conception ne lui étaient guère plus favorables : il était le fruit d’un mariage arrangé, un mariage non désiré par sa mère qui avait senti dès le départ que l’homme auquel elle allait être unie était, sous ses airs faussement angéliques, un être extrêmement dangereux, le diable en personne. Malheureusement les fiançailles étaient déjà faites, et ses proches avaient tous été dupés tant et si bien qu’ils ne prirent pas ses craintes au sérieux et se moquèrent d’elle, mettant cela sur le compte d’une timidité farouche.
Ainsi, lorsqu’elle tomba enceinte, tout portait à croire –et cela aurait été tout à fait normal- qu’elle allait reporter sa haine sur l'enfant qu'elle allait mettre au monde. Or, ce ne fut pas le cas.
Bien sûr, accepter cette grossesse n’avait pas été une chose facile, car la jeune femme était encore très belle et dans la fleur de l’âge ; elle ne souhaitait en aucun cas sacrifier ne serait-ce qu’une partie de sa vie pour le fruit d’une union qui la révulsait. Elle devait déjà supporter le fait d’être à la merci de cet époux abominable, sans pouvoir demander une aide extérieure au risque de mettre la vie de quelqu'un en danger, il lui fallait encore porter cet enfant. Et si par malheur il devenait, à l’exemple de son père, un homme cruel et malsain ?
Avant même sa naissance, elle aurait sans doute abandonné toute affection pour lui si elle-même n’avait pas souffert d’un cruel manque d’amour venant de ses parents.
Quand elle était petite et pour des raisons qui lui échappaient, sa mère restait souvent cloîtrée dans ses appartements et refusait de la voir. Tout contact avec elle lui avait été formellement interdit. Quant à son père, il l’ignorait tout bonnement, comme si elle n’existait pas. L’enfant qu’elle était à l’époque commença à se poser des questions. Et un jour alors qu’elle se regardait dans le miroir, elle réalisa avec stupeur qu’elle ne ressemblait pas du tout à son père. Serait-ce donc pour cela qu’il l’avait toujours ignorée … ? Etait-ce pour cette raison que sa mère ne voulait jamais la voir… ? Tout était clair à présent… Bien que très jeune encore, elle mesura l’étendue de cette fatidique destinée qui l’avait accablée avant même qu’elle ne naisse, sans qu’elle ne puisse rien y faire, et qui l’accablerait toujours, toute sa vie…
Les seuls à n’avoir prêté aucune attention à cela et à lui avoir accordé leur amour malgré tout furent son grand-père maternel, qui avait eu pitié de la pauvre fillette et l’avait prise sous son aile, et ce jeune garçon qu’elle avait rencontré à Fla’or, qui, à l’époque était accompagné d’un Voltali du nom de Lokai, avait pour ambition d’intégrer l’armée.
Mais maintenant, elle se retrouvait seule, sans personne. Ses parents avaient finalement réussi à se débarrasser d’elle, la mariant au plus offrant et la séparant du même coup de son grand-père et de l’homme qu’elle aimait …
Avec une angoisse qui lui serra la gorge, elle se rendit compte qu’elle allait reproduire le même schéma sur son fils, et cette idée la bouleversa. Comme ses parents, elle allait lui imputer la source de tous ses problèmes, alors qu’il n’y était pour rien, qu’il n’en était pas responsable. Pourquoi serait-il forcément mauvais, comme son père ? Lui non plus n’avait rien demandé, il n’avait pas choisi d’avoir cet homme pour paternel. Elle ne voulait pas qu’il ait à souffrir du même mal qu’elle. Il restait son enfant malgré tout, son sang et sa chair à elle.
La jeune femme, émue, se jura finalement de l’aimer de tout son être et de tout faire pour le protéger du danger que représentait son père.
Car personne ne le savait hélas, le père de Tristan n’était pas aussi bon qu’il n’y paraissait. C’était sans nul doute un démon de la pire espèce. Tout d’abord influent et très riche, il se faisait passer pour quelqu’un de bien, un bon samaritain, altruiste, philanthrope et irréprochable dans sa morale et dans ses convictions afin de s’attirer les bonnes grâces des autorités supérieures, des nobles et du peuple, devenant ainsi quasiment intouchable alors qu’en réalité il prenait un malin plaisir à supplicier physiquement et moralement tous ceux qui étaient tombés sous son charme, en particulier les femmes, qu’il battait à mort après s’en être lassé, avant de les tuer sauvagement. Il avait commis absolument tous les crimes possibles et inimaginables de sang froid, sans jamais avoir éprouvé une once de pitié ou de culpabilité. Adultères, vols, viols, meurtres, massacres sanglants, tortures... La liste de ses ignominies ne s’arrêtait pas là et ne s’étendait pas qu’à des civils. En effet, il avait eu l’occasion de frapper pendant les guerres, autant dans le camp adverse que dans le sien. Le pouvoir et la justice ne faisaient pas exception et il se plaisait aussi à les corrompre, tout en installant insidieusement sa domination dans les hautes sphères. S’il donnait l’impression d’avoir toute sa tête lorsqu’il accomplissait ces monstruosités, il lui arrivait parfois de perdre le contrôle et de devenir d’une démence extrême et violente.
Aussi avait-il un don diabolique pour deviner les faiblesses des gens et les manipuler par leurs sentiments. Il disait toujours ce qu’on avait envie d’entendre, et savait parfaitement où appuyer pour que cela fasse mal. Le pire venait sans doute du fait qu’il pouvait s’attaquer pareillement à un enfant, un vieillard, une femme ou un homme (et même à ses propres enfants par la suite) sans que cela ait une quelconque importance pour lui, sensible uniquement au degré de douleur qu’il provoquait et au plaisir que cela lui procurait. Il n’y avait aucune trace d’humanité en lui. Juste une folie meurtrière et sadique.
Un destin tragique et misérable attendait donc déjà le petit être qui venait de naître ce jour-là. Mais heureusement, sa mère était là, prête à lui donner tout son amour et son entière protection, et rendant certainement son enfance un peu plus douce qu'elle n'aurait dû l'être.

Le temps passa, et Tristan grandit. Au grand soulagement de sa mère, il n’avait pas hérité du caractère de son père, sans que cela altère pour autant l’amour qu’elle lui portait déjà, bien au contraire. Plus les années passaient, plus il se tissait entre le petit garçon et sa mère un lien fusionnel que même les malheurs quotidiens ne parvenaient à briser.
Car depuis tout petit Tristan présentait de grosses difficultés respiratoires. Il toussait énormément et souffrait d’asthme chronique qui l’affaiblissait beaucoup. Et pour ne rien arranger, à cause de sa faible constitution, il tombait souvent malade. Il restait donc tout le temps enfermé dans ce grand manoir où il était né, ne sortant qu’en été lorsqu’il faisait assez chaud et qu’il ne risquait rien. On l’emmenait parfois à des réceptions auxquelles ses parents étaient invités ; mais en dehors du petit monde qui se limitait aux quatre angles de sa chambre et à celle de sa mère, il ne connaissait rien. Le monde extérieur lui était totalement inconnu. Petit à petit, la mère de Tristan vit les yeux de son fils se décliner et devenir aussi tristes et pâles qu’un matin d’hiver, semblables à ceux des gens qui, déjà las de la vie, attendent que la mort vienne les emporter. Après tout, qu’avait-il à espérer d’une existence aussi misérable, que seules la maladie, la fatigue et les crises rythmaient ?
Il n’existait pour personne. Il n’avait même pas d’ami. Les seuls amis qu’il s’était fait, une petite fille et un petit garçon de son âge, nobles comme lui, qu’il avait rencontré au cours d’un séjour chez un ami de sa mère, il avait perdu tout contact avec eux. Il avait entendu dire que des évènements étranges s’étaient déroulés chez la petite fille. Sa maison se serait recouverte de cristal, la privant de tout contact avec l’extérieur pendant quelques mois… C’est tout ce qu’il savait. De plus, une grande distance les séparait, lui venant de Terros, eux de Flamen. En dehors de ce séjour annuel qui avait lieu pendant l’été, il ne pouvait pas les revoir. Mais c’était sans compter son père qui avait œuvré dans l’ombre pour les priver, lui et sa mère, de ces « vacances » qui étaient leur seul plaisir. Il n’en entendit plus jamais parler d’eux, et même, finit par les oublier avec le temps.
A l’école, il avait déjà tenté de se faire des amis, mais lorsqu’il s’approchait des autres enfants, ils se mettaient à rire, le faisaient tomber, puis commençaient à le rouer de coups de pieds, de coups de poings…
Mais sa mère était là pour le défendre. Même s’il cachait les coups et les blessures qu’il avait aux bras et aux jambes, même s’il faisait exprès de ne rien dire, parce qu’il ne voulait causer de problèmes à personne, surtout pas à elle, elle réussissait toujours à le deviner. Et quand elle l’avait découvert, elle devenait folle de rage. Et Tristan l’adorait dans ces moments là, parce qu’elle ne se laissait faire par personne et que, forte de sa colère, plus rien ne pouvait l’arrêter. Elle était allée voir les familles des enfants qui le brutalisaient et on l’avait entendu crier jusque très loin dans le voisinage. Les parents, terrorisés, se confondaient en politesses et excuses, appelant leurs rejetons et leurs infligeant une bonne correction, juste sous ses yeux, et la jeune femme ne ratait aucune miette de ce spectacle captivant qu’elle s’empressait de raconter à son fils aussitôt rentrée. Tous deux éclataient de rire en visualisant cette scène, et Tristan retrouvait tout de suite le sourire, nullement inquiété par l’idée de représailles, car il savait que l’on n’aurait pas le cran de venir se frotter de nouveau à lui après le passage de sa mère. Le lendemain, on ne parlait plus que de ça dans son école, parmi les élèves, leurs parents et même entre les professeurs. Mais au moins, plus personne n’osait le toucher à présent.
Les professeurs de Tristan étaient, à l’image de leurs élèves, foncièrement mauvais avec lui et ne manquait jamais une occasion de le ridiculiser devant toute la classe ou de le punir plus sévèrement que les autres, redoublant leurs coups ou l’accablant de devoirs supplémentaires, ne cessant de le rabaisser et de le traiter d’incapable. Lorsqu’ils apprirent le scandale que la mère de Tristan avait provoqué, ils furent irrités d’un tel comportement et s’acharnèrent encore plus sur le gamin. S’en fut trop pour la jeune femme qui défia chacun des enseignants un par un, en combat pokémon ou avec une arme. Car avant d'être mariée, on la destinait à devenir l'une des plus grandes chevalières de l'armée de Terros. Il paraîtrait même qu'elle avait des talents d'invocatrice élémentale assez impressionnants.
D’autres enfants auraient pu se sentir gêné de voir leur mère se battre ainsi pour eux, mais Tristan ne l’était pas. Comment l’être ? Il souffrait tous les jours. L’école était devenue un véritable enfer pour lui. Il rentrait souvent à la maison en larmes, et malade de tout ce qu’on lui avait fait subir. Pourquoi refuser la seule aide et la meilleure protection qu’on puisse lui offrir, à savoir, sa mère ? Avec elle, il se sentait en sécurité. Il n’avait plus peur de rien. Tant qu’elle serait là, plus personne ne pourrait lui faire du mal. Quelques fois, malgré tous ses efforts pour s’en empêcher, elle ne pouvait retenir un sanglot en voyant son enfant qu’elle chérissait plus que tout dans cet état, et le serrait alors très fort contre elle, pour ne pas qu’il la voit pleurer. Mais il savait très bien qu’elle souffrait, comme lui, et ses larmes redoublèrent tandis qu’il resserrait son étreinte autours d’elle.
Tristan aimait sa mère plus que tout. Jamais il n’aurait eu honte d’elle, et encore moins pour quelque chose qu’elle faisait par amour pour lui. Pourtant, un de ces combats allait le marquer à tout jamais.
Un beau jour, alors que la cloche qui annonçait la fin des cours venait de sonner, il trouva sur son chemin un drôle d’attroupement, et, curieux, essaya de se frayer un passage parmi le groupe de badauds. Il distingua alors la silhouette d’une grande et magnifique femme dont l’imposante armure de métal brillait sous le soleil. Sa longue chevelure ondulée s’agita doucement sur ses épaules tandis qu’elle pointa son épée en direction de son adversaire… Qu’il reconnut comme étant son professeur de piano, sans doute le pire de ses enseignements, et celui dont il avait le plus peur. Lui aussi était paré pour ce duel, et toisait la chevalière d’un regard des plus abjects. Cette dernière n’en fut pas le moins du monde impressionnée, et ses yeux d’un vert éclatant restèrent d’une impassible sérénité. Tristan qui n’avait encore que 10 ans, fut frappé par la prestance et le charisme qui se dégageait de sa mère et qu’il ne lui connaissait pas... Il avait toujours eu d’elle cette image d’une femme séduisante et intelligente, qui charmait énormément de monde autours d’elle, mais qu’un fossé invisible séparait des autres … Elle dévisageait les hommes qui lui faisaient la cour d’un air froid et hautain, avant de lancer quelques paroles désobligeantes pour s’en débarrasser. Elle était tendre et d’une extrême douceur avec son enfant, mais distante avec tout le monde en dehors de lui et de ses domestiques …
Si cette découverte l’avait autant surpris, c’était parce qu’il ne s’attendait pas à trouver derrière ce tempérament de feu et cette détermination, une force puissante et noble, bien réelle, comme il se l’était imaginé. Il avait, pour ainsi dire, toujours idéalisé sa mère, et de voir qu’il ne s’était pas trompé, qu’il avait eu raison, le rendait fou de joie. L’admiration qu’il lui portait alors n'en fut que plus grande, et il se surprit à vouloir secrètement devenir un guerrier aussi puissant qu’elle.
Oui, si elle n’avait pas été là pour lui, il se serait laissé mourir et aurait sans doute péri depuis longtemps, rongé par le malheur et la maladie. C’est sa mère qui lui a redonné goût à la vie, en l’aimant et en le protégeant de tout son coeur, mais elle avait aussi su éveiller sa curiosité en lui faisant découvrir de nouvelles choses. Ce qui l’intéressa énormément à l'époque, par exemple, c'était les histoires de créatures magiques, de pokémons, de fées et de chevaliers qu'elle lui racontait. Elle savait également beaucoup de choses sur le monde extérieur.
Mais il y en avait un à qui ce rapprochement ne plaisait pas : son père. Cet amour puissant qui unissait le jeune garçon à sa mère le rendait fou. N’allez pas croire peut-être qu’il était capable de jalousie, non, ce qu’il voulait, lui, c’était le mal, profond et noir comme les ténèbres, et la douleur, qui était sa seule source de plaisir. Faire souffrir, telle était sa raison de vivre. Il ne pouvait pas tolérer que sa femme et son fils soient heureux, qu’ils échappent à son contrôle. C’est pourquoi, dès lors, il n’eut plus qu’une seule idée en tête : les détruire, tous les deux, réduire leur bonheur à néant et les briser à tout jamais.


Tout allait bien depuis quelques temps. Le jeune garçon avait retrouvé la forme, les crises d’asthme s’étaient espacées et désormais il suivait les cours chez lui, avec des professeurs particuliers. Plus personne n’était là pour l’embêter. Cerise sur le gâteau, il ne voyait son père que très rarement. En effet, celui-ci était souvent absent et ne revenait que très tard dans la soirée ; à ce moment là, Tristan était déjà couché. Pour rien au monde il n’aurait voulu connaître les motifs de ces absences régulières, mais il avait sa petite idée sur la question. Il avait vu pas mal de femmes entrer dans la chambre de son père quand il était plus jeune, et vu la façon dont sa mère les méprisait lors des réceptions où elles se croisaient, il avait très vite conclu qu’elles devaient être ses maîtresses… Et cela n’avait fait que renforcer le dégoût que le fils nourrissait à l’égard de son père. Bref, que demander de plus ? S’il n’était pas là, Tristan ne pouvait que mieux s’en porter.
Jusqu’à ce qu’il remarque un comportement des plus étranges chez sa mère. Du jour au lendemain, elle n’accepta plus de le recevoir dans sa chambre. Ce n’était pas comme s’il était trop grand pour continuer à coller sa mère, il n’avait encore que 11 ans, mais il trouvait ça suspect car elle ne refusait jamais ses visites. Il n’y fit pas attention la première fois, mais au bout de la deuxième, quatrième, cinquième fois, où elle ne descendait même plus dans la grande salle à manger et que les servantes lui portaient ses repas directement dans sa chambre, Tristan se dit que quelque chose n’allait pas. Un soir, profitant que la porte était entrouverte, il se faufila dans la pièce. Vide. En allumant un cierge pour y voir plus clair, il s’aperçut que tout était normal. A demi-rassuré, il s’assit sur le lit défait en soupirant, posant la bougie sur la table de nuit. Quelque chose tomba alors par terre. Il se pencha et vit qu’il s’agissait d’une compresse. Il la ramassa distraitement, quand quelque chose sur la gaze attira son attention : une énorme tâche marron. Inquiet, il examina le bout de tissu de plus près. Du sang séché. Elle avait sûrement dû avoir un saignement de nez, ce n’était pas rare. Il reposa le carré de coton, un peu plus serein. Mais rapidement, son sourire disparut. Sur la table, se trouvaient des dizaines de compresses, toutes imbibées de sang. L’assurance de Tristan commença à s’effondrer lentement, comme un château de cartes. Ca faisait beaucoup, pour un simple saignement de nez. Instinctivement, ses yeux se baissèrent sur la corbeille qui se trouvait callée entre le meuble et le lit. Dedans, des bandages entiers, noircis de sang sec.
Un bruit sourd venant des escaliers le fit violemment sursauter. Pris de panique, il se précipita dans la grande armoire de sa mère et s’y cacha, refermant les portes sur lui, tremblant de peur. Les bruits de pas se firent plus forts, plus proches, et le petit garçon crut distinguer de faibles gémissements dans le couloir.

Musique

Soudain, la porte claqua contre le mur avec un terrible fracas qui fit trembler la pièce toute entière. Dans sa cachette, l’enfant bondit à nouveau. Il y eut un court silence, avant que quelque chose de lourd ne soit balancé contre le sol et qu’un hurlement de douleur ne retentisse dans la chambre. Le cœur de Tristan rata un battement, croyant reconnaître cette voix. Après une longue, très longue hésitation où sa gorge fut nouée par une angoisse et une terreur sans nom, il se risqua un œil à travers l’ouverture, et resta interdit devant la scène qui s’offrait à lui, un spectacle abominable qui allait le hanter pour toujours.
Là, devant lui, sur le plancher, inconsciente, les bras et le visage couverts d’hématomes et le front ensanglanté, gisait sa mère.
Il se sentit chuter, comme si on le balançait du haut d’une falaise. Il lui fallut un long moment avant de réaliser ce qui était en train de se passer, un long moment où son cœur cessa de battre, mais déjà la silhouette de son père s’avançait, menaçante, vers le corps immobile. Une main sortit de l’ombre, puis lentement, agrippa la chevelure ondulée trempée de sang, la souleva, avant de la projeter de tout son poids contre le lit. Tout semblait figé, hormis le bras qui se levait, puis s’abattait sauvagement sur elle, sur ses blessures qui se rouvraient, le sang coulant avec abondance sur les draps. Plus aucun son, en dehors des plaintes douloureuses qui déchiraient le cœur de l’enfant. Dans le placard, plongé dans un état second, ses doigts commencèrent à trembler, puis ce fut son corps tout entier qui fut pris de spasmes violents. Une larme roula le long de sa joue pour venir s’écraser dans la poussière, tandis que silencieusement, une haine corrosive se répandait dans ses veines, tel un poison mortel dont la nocivité même le suffoquait. Un poison qui le dévorerait de l’intérieur, comme un parasite, pour le restant de sa vie.
Une rage féroce saisit Tristan à la gorge quand l’homme, sans pitié, et lassé de frapper avec ses poings, s’acharna sur les cotes de sa femme, les brisant dans un craquement d’os effroyable. L’âme toute entière de l’enfant se mit à hurler. Sa gorge était serrée si fort qu’il en avait la nausée ; il voulait bondir sur cette pourriture, le rouer de coups, le lacérer de ses crocs, le massacrer, le tuer. Il sentait son cœur prêt à exploser sous l’aversion, la haine, la folie et la violence mêlées. Tout en mordant son bras à sang pour étouffer les sanglots qui secouaient ses épaules, il respirait de plus en plus vite, car sa hargne était littéralement en train de l’asphyxier. Il n’allait pas tarder à craquer. Sa raison lui criait d’arrêter, de ne pas continuer à regarder ça, qu’il allait finir par en crever, mais son esprit, déchaîné, ne voulait pas fuir cette horreur, il fallait qu’elle soit marquée au plus profond de son être, afin d’en garder un souvenir vivace, certes insupportable, mais qui alimenterait pour toujours sa rancœur et l’attiserait comme un feu éternel, ainsi il ne se détournerait jamais de la promesse qu'il se fit : tuer son père.
Il se sentait si inutile, si misérable… Tapi dans le noir, il ne pouvait rien faire d’autre que pleurer en silence, impuissant, pendant sa mère se faisait battre. Mais il savait parfaitement que s’il était sorti de sa cachette, son père n’en aurait fait qu’une bouchée. Il ne se faisait pas d’illusions. Sans arme, il ne serait pas de taille à lutter. Et s’il mourrait maintenant, aussi bêtement, en fonçant tête baissée, plus personne ne pourrait aider sa mère. Il fallait attendre, c’est tout ce qu’il y avait à faire. Mais il ne pouvait pas s’empêcher de s’en vouloir cruellement en choisissant cette option. Sa mère l’avait tout le temps protégé, et lui n’était même pas capable de lui porter secours… Oui, il était vraiment pitoyable…
Il s’en voulait, il s’en voulait tant… A nouveau, il étouffa un sanglot, les pleurs redoublant sur ses joues trempées. L’étau qui lui comprimait la gorge se resserra tandis qu’une nouvelle vague de terreur s’empara de lui lorsqu’il vit briller dans le noir, la boucle de métal appartenant à la ceinture de son père. Son cœur s’affola à l’intérieur de sa poitrine alors que son esprit le supplia d’arrêter, de l’épargner. Impitoyable, l’ombre fit tournoyer la sangle en l’air, et le bout de fer heurta de plein fouet le dos de la jeune femme, ce qui lui arracha un cri de douleur. L’enfant eut un hoquet violent qu’il réprima en plaquant ses mains sur sa bouche, ses yeux s’embuant de larmes, l’aveuglant complètement. Un cliquetis métallique retentit, puis la ceinture frappa brutalement la peau ravagée par les plaies et par le sang. Plusieurs fois, elle s’abattit, rapide et cinglante. Les hurlements finirent par cesser. Un faible gémissement, exhalé quand il lui tira à nouveau les cheveux, prouva qu’elle était encore vivante. La ceinture glissa sur le sol, suivi du pantalon dans un frottement de tissu.
Recroquevillé dans un coin de la penderie, l’enfant, vaincu et incapable d’en voir davantage, s’était pris la tête entre ses mains et se bouchait les oreilles, versant toujours des torrents de larmes, les doigts entortillés dans ses cheveux qu’il tirait violemment, enfonçant ses ongles dans sa peau. Les ténèbres le gagnaient peu à peu et l’étouffaient, tel un flot vicieux, si bien qu’il se crut en train de se noyer.

**

Musique (à lire lentement, en rythme avec la musique)

Tristan fixait le plafond de ses yeux vides, allongé dans son lit. Aucune pensée ne venait effleurer son esprit qui était alors, tout ce qu’il y a de plus vide. Il ne sentait plus son corps qui, lui, semblait comme coulé dans du béton. Il n’arrivait même pas à remuer le petit doigt. Ses bras et ses jambes étaient cassés. Et au vu de l’état dans lequel on les avait retrouvés, la convalescence risquait d’être longue. Quant aux plaies sur son dos, causées par des coups de fouet violents et répétés, il en garderait des cicatrices à vie.
Enfin, fragilisé psychologiquement par tout ce qu’il avait vu, et toutes les tortures que son père lui avait infligé, il avait finit par retomber gravement malade. Ses toux étaient encore pires qu’avant, à la fois par leur intensité, mais aussi parce qu’elles lui faisaient cracher du sang. A voix basse, les médecins confièrent à sa mère qu’il n’en avait plus pour très longtemps.

Il n’avait pas pu s’en empêcher. Il n’en pouvait plus de la voir se faire battre sans rien faire, de revoir sans cesse son corps et son visage tuméfiés par les coups. Il fallait que tout cela s’arrête.
Un soir, il s’était caché à nouveau dans l’armoire de sa chambre, et avait attendu, patiemment. Comme il s’y attendait, son père entra, traînant sa mère à moitié inconsciente par les cheveux. L’enfant attendit qu’il ait le dos tourné pour bondir de sa cachette, avant de lui planter un couteau dans le dos, du côté du cœur, en espérant que la lame l’atteigne.
Mais il avait lamentablement échoué.
Non seulement il avait échoué, mais il avait été aussi « puni ».
Maintenant, tout était fini.

**

Musique

Alors que son esprit flottait encore dans un sommeil de plomb, de légères notes de piano, accompagnées d’un chant aussi mélodieux et aussi clair que celui d’un ange, lui parvinrent. Tout doucement d’abord, puis elles se firent de plus en plus nettes. En se réveillant, il distingua vaguement une silhouette féminine à l’autre bout de la pièce, assise au piano. Quand ses yeux se furent habitués à la lumière et que les formes se dessinèrent avec précision, il vit des boucles châtaines qui tombaient en cascade sur de frêles épaules, des yeux d’une éclatante couleur émeraude, penchés sur le clavier que parcouraient avec virtuosité de longs doigts fins. Il y avait sur ses lèvres un sourire paisible, et celles-ci s’entrouvraient quelquefois pour laisser échapper un doux filet de voix. Lorsque la musique était terminée, elle recommençait, inlassablement, la même mélodie. Il y avait encore quelques traces d’ecchymoses sur son visage, et arborait un large pansement sur la joue droite. Elle agitait gracieusement les poignets, les manches de sa robe se relevant parfois, découvrant des bandages jusque là caché par l'étoffe de coton. Aussitôt, à cette vision, les larmes lui vinrent aux yeux.

La bouche allait s’ouvrir à nouveau pour chanter, mais il y eut, à la place, un long silence. Les notes s’étaient évanouies dès que les doigts avaient cessé leur danse aérienne sur les touches blanches et noires du piano. Les yeux vert émeraude s’étaient tournés vers lui, sans qu’il s’en aperçoive.

« Oh pardon, je t’ai réveillé mon chéri… »

By the time


Don't wake up, won't wake up, can't wake up,
No, don't wake me up
Don't wake up, won't wake up, can't wake up,
No, don't wake me up



Avant qu’il ne puisse prononcer quoi que ce soit, elle s’était déjà assise sur son lit, près de lui, et caressait tendrement son visage, en essuyant les larmes encore humides. Pendant un long moment, tous deux se contemplèrent, sans rien dire. Elle, le couvant d’un regard tendre, lui, une culpabilité immense se lisant dans ses yeux. Comment avait-elle pu l’aimer… ? Lui, l’enfant de ce monstre… Un dégoût atroce l’envahit lorsqu’il se demanda s’il avait été conçu de cette façon, comme la première fois où il avait surpris son père en train de la battre, ce moment qu’il n’avait pas pu regarder… A cette pensée, sa bouche se tordit, alors que de nouvelles larmes, encore plus grosses que les autres, perlaient au coin de ses yeux, avant de dégringoler le long de ses joues, à toute vitesse. Un sourire triste apparut sur les lèvres de la jeune femme. Sans même lui demander la raison de ces larmes, elle comprit aussitôt. Elle le redressa en le prenant délicatement par les épaules, puis le serra contre elle. Une seule étreinte. Une seule étreinte suffit à effacer toutes les peurs, tous les doutes. Une seule étreinte suffit à en dire plus que tous les mots de la terre. Une seule étreinte suffit à prouver tout ce qu'une vie entière ne peut prouver.



Ce n'est pas de ta faute.

Tu n'y es pour rien.

Je ne t'en veux pas, et je ne t'en ai jamais voulu.

Si tu n'étais plus là, moi aussi je serai seule.

Sans toi, moi non plus je ne pourrai pas vivre.

Tu es ce que j'ai de plus précieux au monde.

Tu es tout ce qu'il me reste.

Jamais personne ne te remplacera dans mon coeur.

Jamais je ne t'oublierai.

Je t'aime.

...


Endormi dans ce même lit, à la même place, à la même heure, il n'y aura plus jamais personne pour jouer du piano. Il n'y aura plus jamais les doigts fins et gracieux qui parcouraient jadis les touches noires et blanches. Il n'y aura plus jamais le vert éclatant de ses yeux. Il n'y aura plus jamais cette chevelure ondulante comme les vagues de la mer. Il n'y aura plus jamais le doux parfum de rose dégagé par le coton de sa robe. Il n'y aura plus de bras pour enlacer. Il n'y aura plus jamais la chaleur pour réconforter le cœur meurtri et pour sécher les larmes. La lumière s'est éteinte.



Le garçon sera chassé de chez lui. Il ne pourra pas lui dire au revoir ni l'enterrer. Il ne saura jamais où se trouve sa tombe. Jamais il ne fera faire son deuil.
Dans les ténèbres de la nuit il s'enfuira. Il trébuchera dans la poudreuse. Il se relèvera en entendant au loin les aboiements des chiens féroces lancés à ses trousses. Il se remettra à courir aussi vite que la panique et la détresse le lui permettent. Le vent violent et les flocons le ralentiront. A bout d'une demie-heure de course, à bout de souffle et las de lutter, il abandonnera. Il s'effondrera dans la neige. Pris d'une toux infernale, il suffoquera. Il aura couru trop vite. La douleur lui déchirera les poumons et la gorge. Sur le matelas blanc, il vomira du sang. Il entendra les hurlements se rapprocher. La peur et l'épuisement l'auront vaincu, et à sa grande surprise ses yeux se fermeront très vite. Son cœur trop lourd l'écrasera tout entier. Le sommeil le tirera vers le fond. Il sait que bientôt il la rejoindra.
Toute pensée le quitte. Il ne sent plus le froid qui lui mordait les joues. Les couleurs s'effacent, tout doucement. Les sons se font de plus en plus lointains. Tout devient noir.

...
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Message par Ishizu Yggdrasil Mer 27 Jan 2010 - 21:37

Donc oui, je disais : 14-15 points en moyenne

Mais que l'on vienne assujettir mes dires xD Je suis pas très sûr de ce que j'avance et puis plusieurs avis valent mieux qu'un =)
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Message par Nina Wang Mer 27 Jan 2010 - 22:13

14 pour m'avoir fait attendre un an et demi je dis !! >>
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Message par Invité Mer 27 Jan 2010 - 22:14

J'accepte la punition, mais je veux mon bisou !! è_é
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Message par Kiel Wind Mer 27 Jan 2010 - 23:00

Nina Wang a écrit:14 pour m'avoir fait attendre un an et demi je dis !! >>

Idem ^^

Bienvenue sur le forum !
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Message par Invité Mer 27 Jan 2010 - 23:04

Hein ? Toi aussi Ninj ?? xDD Mdr merciii
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Message par Invité Jeu 28 Jan 2010 - 12:35

Bon retour à toi si j'ai bien tout compris ^^
J'ai beaucoup aimé ta présentation ^^
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Message par Kajin' Nezumi Jeu 28 Jan 2010 - 13:17

14 pts je dirais, comme ça, tout le monde est d'accord (sinon, j'aurai dit 15 *sort*) Enfin bref... Contente de voir cette fiche finie, et bon jeu parmi nous =D
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Message par Invité Jeu 28 Jan 2010 - 13:35

Ca c'est ce qu'on appelle un beau gosse... oO

J'ai pas le courage de tout lire (trop long pour moi) mais rien que les photos... miam ♥

Si un jour ça te dit de rp avec moi... Kali serait ravi de faire ta connaissance... ^^ Et plus si affinités...
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Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel] Empty Re: Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel]

Message par Invité Jeu 28 Jan 2010 - 13:44

...

Maintenant que tout le monde est d'accord, quelqu'un pourrait me donner mes points ? (je pense que je suis validé, c'est bon là xD) C'est pas tout ça mais il faut que j'aille répondre à Tyla depuis tout ce temps... <<
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Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel] Empty Re: Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel]

Message par Kajin' Nezumi Jeu 28 Jan 2010 - 13:58

Bon bon bon... j'vais ajouter les points puisque tout le monde est d'accord...

*regarde Kali* J'suis pas certaine que Peter soit vraiment d'accord là... enfin... passons.

Bon RP Tristan ^^ On se retrouve à l'arène !! =D
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Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel] Empty Re: Tristan [ancien champion de la cité de Seian] [Iryel]

Message par Nina Wang Jeu 28 Jan 2010 - 20:22

Kali => non, Peter va te bouffer xD

Peter : tu le touches, je t'EXPLOSE.
Moi : voilà, t'as ta réponse...

Allez, on n'attend plus que toi de partout >>
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Message par Invité Mar 3 Aoû 2010 - 23:47

Mini up pour signaler un petit rajout (oubli de la photo de son tatouage --' sisi, c'est important !)
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