[ Clos ] Une lettre pour se réconcilier. [Contrainte / Solo]

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Contrainte n’11 Changer de narrateur.
Pnj utiliser : Hikage Kitasato

Envelopper dans sa cape, la Mizuhanienne termine son repas qu'elle s’est commander dans auberge, la Sasabe In. Le lieu est loin des habituelles auberges qu’utilise la demoiselle, toutefois, en ce début de soirée, la demoiselle avait décidé de ne pas faire la fine bouche. Voilà déjà une semaine qu’elle traque Moriko et rien. Elle une grande chasseuse avait perdu la piste d’un Pokémon puis d’une humaine… Bon d’accord, les circonstances de sa désespérance étaient assez particulières et la demoiselle en soi était un phénomène bien à elle. Étrangement, la gamine avait réussi à se faufiler comme un vrai Pokémon, en même temps, si elle avait été élever par des Pokémon, tout ceci expliquerait comment elle fait pour se déplacer aussi facilement dans la nature.

Une fois son thé terminé, elle se lève et va à la chambre qu’elle a louée. Elle allume quelques chandelles qui retire son manteau qu’elle jeter sur le dossier d’une chaise. Elle tire ensuite ces Noigrume et libère ces Pokémon qui s’étirent tous à leur façon. La Démolosse et l’Absol sautent sur le lit pour s’y coucher et se nettoyer l’un et l’autre. Le Grahyène, se rapproche, venant cherche l’attention d’Hikage. La maîtresse de l’ombre sourit doucement, caressant la tête de son fidèle compagnon canin. Tandis qu’elle prend place à la table, elle y installe plume, encre et parchemin. Presque au même moment, une Momartik vient prendre l’autre chaise disponible, observant sa maîtresse. *Tu comptes lui écrire ?* « Cause désespérée, choix désespéré. » Dit simplement Hikage.

*Tu crois qu’elle appréciera la lettre que tu lui envoies.* « Probablement pas, je rappelle que depuis la mort d’Hideaki et Astrid, les deux familles sont plus ou moins en guerre… » *Elles l’ont toujours été Hika, le mariage était juste une manière d’adoucir les choses.* lui rappel la Momartik. Hikage hoche doucement la tête, il est vrai qu’à la base, le mariage n’avait été qu’une alliance, mais avec le temps le couple s’était découvert des points d’intérêts et de l’amour avait vu naissance. « Malgré la rancune que nos familles cultivent, je ne ressens rien face à ceci, je trouve même ceci stupide. Et puis, je crois que Freyja et ces enfants ont le droit de savoir que sa petite fille est toujours en vie. » La Momartik observe pendant un instant le profil de sa maîtresse.

Légèrement penchée sur son papier, elle reconnaît l’expression sérieuse sur son visage, quand la marcheuse des ombres avait une idée bien précise en tête, rien ne pouvait la faire changer d’idée. Malgré toutes les années qu’elle avait passé avec elle, elle ne comprenait pas encore le comportement des humains. *Que vas-tu lui dire ?* « La vérité, j’aimerais aussi avoir une rencontre avec elle… » *Tu es sûre ? Est-ce que c’est bien sage…* « Oui, personnellement, j’ai toujours apprécié Freyja et je crois que c’est réciproque. Et puis elle voudrait une rencontre face à face pour mieux m’expliquer. Elle est un peu vieux jeu. » *J’apporterais donc le message.* « Ce serait très apprécier. » Une fois le message terminé, Hikage laisse l’ancre sèche et elle relie les quelque rares lignes qu’elle avait écrites.

‘’ Bien le bonjour Freyja, ici Hikage, j’aimerais faire une rencontre entre toi et moi, j’ai une nouvelle très importante à propos de la petite Moriko. Je crois fortement qu’elle est toujours en vie. Je te laisse donc choisir l’endroit et l’heure de notre rendez-vous pour que je puisse parler plus librement. La Momartik que tu as sous les yeux est un loyal Pokémon à moi, tu peux lui laisser ta réponse, elle sait où me trouver.’’ Elle signe finalement la lettre avec ses initiales, HK. Elle souffle un peu dessus et plie doucement la lettre en trois avants de la glisser dans une enveloppe. Elle fait fondre de la cire mauve foncé avait d’y applique son sceau, le profil d’un canidé qui disparaît dans les ténèbres. Une fois la cire bien refroidie, elle tend la lettre à la Momartik.

« Rends-toi à Kamiki, tu trouveras un manoir à l'inspiration mizuhanienne d'antan un peu plus éloigner, tu trouveras Freyja là-bas. C’est la cheffe dirigeante du manoir. » La Momartik hoche doucement la tête, avant de quitter par la fenêtre. Hikage soupire doucement et passe une main sur la tête du Grahyène qui repose sur sa cuisse. Elle baisse les yeux vers lui et sourit doucement avant de se lever et l’inviter à la suivre. Sans plus attendre, elle retire ses vêtements de voyage pour se glisser dans le lit avec ses trois compagnons de meute, tout ce qu’elle pouvait faire pour l’instant, était de se reposer et d’attendre la lettre.

À suivre...(1)

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Contrainte n’6 Faire intervenir un PNJ (un personnage tiers).
Pnj utiliser : Freyja di Neralitha. (Grand-mère)

Une grande femme à l'âge mûr et à la peau brûlée par le soleil est seule dans le jardin arrière. Envelopper d'une robe pourpre qui est dénudée sur le côté gauche, de lourd bijoux d’or usé, mais toujours bien entretenue, entour certaines parties de son corps, mettant en valeur son regard d’ambre et ses pattes d’oie qui sont aux coins de ses yeux. La vieille femme, lève la main droite et le large bracelet d’or tinte doucement, bougeant au même rythme des plantes d’elle bouge et replace de manière artistique. Freyja, la maîtresse du domaine di Neralitha de Terros, est une femme qui malgré sa soixantaine d'années passées, pourrait d’un claquement de doigts retourner la terre et les plantes contre ses ennemis et pourtant, il n’y a pas plus calme femme dans cette famille, mais cette apparence de plénitude cache la terreur d’une âme qui est prête à tout pour protéger ce qui lui est cher.

Ses pieds bougent doucement et malgré le fait qu’elle soit en sandales de cuir, elle ne fait aucune trace derrière elle, donnant l’impression qu’elle ne marque pas de son poids l’herbe de sa pelouse parfaite. Lentement, Freyja se dirige vers une petite table en métal qui se trouve desous un immense saule pleureur, lui offrant par la même occasion une protection des rayons du soleil ou encore des regards indiscrets. Tandis qu’elle prend place, elle se vient souvient quelquefois ou les enfants jouaient et criaient de joie sous ce même arbre, mais ce temps, maintenant tire une ombre sur son visage, offrant un air sévère à la femme qui ne souriait presque plus depuis la perte de l’un de ses enfants. Malgré elle, la nostalgie lui tire un soupiré et elle pose son regard sur les champs d’Oliviers.

Le Domaine, principalement reconnu pour ses membres d’archéologues qui avaient fait plusieurs importantes trouvailles, avait tout de même faite fortune avec ses champs d’Oliviers. Principalement avec son huile d’olive pour la cuisson, puis après avec les olives confites dans une marinade en accompagnement et finalement pour sa fameuse tapenade, qui est une pâte d'olives broyées et d’anchois qui particulièrement bonne avec des tartinades. Il y avait bien eu une vieille branche de la famille qui était dans le vin, mais celle-ci avait miraculeusement ou malheureusement disparu.

C’est à cet instant que la Momartik d’Hikage fait son apparition. Elle immerge de l’imposant tronc et elle interpelle doucement la vieille femme qui rêvasse au gré du vent chaud Terrosien. Freyja est incertaine quelques secondes avant de reconnaître la Momartik en question. « Mayeda, est-ce toi ? » La Pokémon se courbe, offrant une courbette de politesse à la maîtresse du Domaine. * Madame, heureuse de vous revoir en bonne santé. * Murmure le spectre mentalement. Telle une geisha, elle se rapproche de l’humaine à pas feutrer et elle tend timidement la lettre, le sceau de Hikage bien en vue. Une nouvelle fois, la vieille femme plisse les yeux, mais elle tend la main pour prendre la lettre. « Puis-je demandais ce que c’est ? » * Je ne voudrais pas ruiner la surprise et il n’est pas ma place de vous l’annoncer… * Explique doucement Mayeda.

Maintenant intriguée, la femme ouvre la lettre. Elle doit relire à deux reprises la lettre avant de regarder la Momartik. Un long silence s’installe et une larme de rage finit par perler au coin de ses yeux. « Est-ce une blague ? Votre famille est rendue si base pour utiliser ce genre de stratagème ! Et puis de la part de Hikage ! Je la croyais mieux que ceci ! » S’exclame Freyja qui avait de la misère à accepter la lettre. * Miss Freyja, je vous jure que tout ceci est véridique, vous connaissez mieux que ceci Miss Hikage. Elle ne vous ferait jamais une telle chose si ce n’était pas vrai. Seriez-vous prête à la recevoir ? Elle pourrait vous expliquer et vous montrer ce qu’elle a vue.*

Freyja se tait un instant. Elle se lève et fait doucement les cent pas, malgré son agitation visible, elle prenait une grande attention à ne pas le montrer. « D’accord… J’accepte de la voir… » Souffle finalement la Terrosienne. Presque au même moment, la Mizuhanienne immerge de l’ombre du Pokémon. Si elle avait toujours démontré une apparence droite et fière, cette fois-ci, la femme démontre de la timidité face à la stature imposante que lui offre son interlocuteur. Après une longue minute d’un silence inconfortable, elles se précipitent l’une vers l'autre et se serrent mutuellement sous le regard de glace de la Momartik. « Est-ce vrai ? » Demande finalement Freyja. Hikage se recule un peu et hoche la tête de haut en bas. « Oui… Je l’ai moi-même aperçue en rendant visite à leur tombe dans la forêt d’Agata… » « Je veux la voir aussi. » Hikage hoche doucement la tête et ferme les yeux. Elle vient appuyer son front contre celui de Freyja et grace à sa maître de l'esprit, elle lui partage les images de la gamine à l’allure sauvage, mais qui pourtant était le mélange parfait de ses deux parents.

« Par Arceus… » Murmure la vieille femme… « Elle a ces yeux et la couleur de ses yeux… » Reprend-elle. « Oui, elle est magnifique, mais très timide et sauvage… » Explique la Mizuhanienne. Elle invite Freyja à venir s’asseoir sur la chaise et elle s’installe devant elle. Elle vient doucement prendre ses mains entre les siennes. « Depuis tout ce temps, elle était ici, dans la forêt d’Agata. Par un miracle impossible, elle a survécue, toutes ces années dans la forêt en compagnie des animaux… En me renseignant à Kabana, certains villageois mon parler d’une enfant de la forêt, Morrigan est le nom qu’ils lui ont donné. Elle vivrait en harmonie avec une meute de Bulbizarre qui sont eux-mêmes sous la tutelle d’une vieille Florizarre. Elle n’est pas habituée à la présence humaine et les villageois mon dit qu’elle ne se laissait pas approcher par eux, même s’ils avaient essayé… » Freyja hoche doucement la tête, des larmes de joie perlent aux coins de ses yeux. « Qu’allons-nous faire alors ? » « Je tenais surtout à t’annoncer la nouvelle, mais si tu veux aider à la retrouver et à communiquer avec elle, ça me fera plaisir qu’on s’entraide. » « Tout ce que tu voudras, mais s’il te plaît, il faut la ramener. » « Et vite, je crains que Kazutoshi lui veule du mal… Il a très mal pris la nouvelle… »