À Jamais pour mon Royaume
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À Jamais pour mon Royaume
Vous
Pseudonyme : Mae
Âge : 25 ans
Loisirs : L'équitation, c'est ma passion, c'est ma vie et mon job
Autres remarques : Québecoise de sang!
Comment avez-vous connu le forum ? Par un top site
Quelle est la couleur du chat ? Validé
Votre Personnage
Prénom : Catarina
Nom :
Sexe : Féminin
Âge : 19 ans
Pays : Aliphyr
Classe de base : guerrière
Si Élémental, quelle maîtrise :
Classe envisagée : ML
Biographie :Caractère :
- Spoiler:
Il était une fois, car toutes les histoires commencent bien par « il était une fois non? ». Donc il était une fois, dans le paisible et calme continent flottant…
-Tu sais, ici, ça ferait une maison idéale, tu ne trouves pas? On y trouverait notre place tu ne penses pas?
La vue était magnifique avec un ciel qui s’étendait à perte de vue. Soit, habiter en pleine montagne, le long d’une falaise, ce n’était pas donné à tout le monde ; ce pouvait même être effrayant pour la plupart mais les habitants d’Aliphyr, c’était chose « commune ». Le vent venait en rafale jouer avec les cheveux des deux personnes qui, main dans la main, admiraient le paysage et s’imaginaient y vivre à jamais. Ces deux personnes, c’était Mercedes et Ricardo, les deux parents de Catarina.
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-Maman! Maman! Regarde!
C’était maintenant une jeune fillette qui se trouvait dans une cuisine chaleureuse. 4-5 ans maximum, les cheveux blonds, avec une petite robe bleue d’enfant. Entre la table de cuisine et les meubles, elle faisait des moulinets avec une épée en métal deux fois trop grande pour elle.
-Catarina! Lâche cela tout de suite! Ca-Ta-Ri-Na! Qué Dice?! Lui cria sa mère en courant après elle dans la maison.
-Héhé!
La poursuite ne se continua pas très longtemps, la porte de la maison s’ouvrit pour laisser place à une silhouette qui était bien familière aux deux femmes. « Papa! » cria la petite avant d’aller se jeter dans les bras métalliques de l’homme. Riccardo, fort de ses 42 ans, un mètre soixante-et-dix, cheveux bruns, yeux bleus, Chevalier de métier et instructeur Linaëwen. L’école des armes et de défense par excellence. L’école, la seule, dont hommes et femmes sont à même de protéger le continent céleste. Voilà ce que le père de Catarina n’arrêtait pas de lui chanter aux oreilles mais… pourquoi ne voulait-il pas la voir prendre l’épée? Pourquoi habitaient-il si loin de la ville, aux flancs des Monts d'Obsidienne? Pourquoi son père ne l’amenait pas à l’école, comme les autres élèves? Voici les questions qui tournaient sans cesse dans la tête de Catarina.
Les jours suivants, l’épée disparue, Catarina n’y avait plus accès. Pas la permission non plus de jouer avec les armes de son père, à son grand désarroi. Pourtant, ne lui avait-il pas dit, un jour, quelle maniait très bien l’épée pour son âge? Comme elle aurait voulu être un grand chevalier ou un guerrier pour protéger sa mère.
Rêve qui disparut peu à peu dans les méandres de l’enfance alors que, comme un papillon, Catarina se montrait sous un jour moins disgracieux jusqu’à être une jeune femme.
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Elle venait à peine de fêter ses 15 ans quand on annonça que le continent s’était déplacé. Déplacé? Quel drôle de mot, en fait, Catarina ne se souvient pas exactement des détails, préoccupations si lointaine et peu d’intérêt. Érasia, même le nom lui était presque inconnu. Pourquoi s’en faire de toute manière, elle aimait beaucoup plus sculpter la glace et pêcher non loin de l’eau. Des étrangers sur ces terres? Pourquoi s’en serait-elle préoccupée? En fait, la seule chose qui était digne de son intérêt, c’était les visites de moins en moins fréquentes de son père. Et l’inquiétude grandissante de sa mère.
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16 ans. Pour la première fois, elle fut confrontée à l’Étranger. Tout cela se passa un bon soir où son père, loué soit Cobaltium, était enfin là. La réunion avait été touchante, les membres de la famille avaient été réunis enfin pour la première fois depuis plusieurs mois. Tous étaient assis autour du feu dans une ambiance festive, joyeuse. Toutefois, un bruit vint briser le silence. C’était un bruit léger, à peine audible, Un cognement sur la porte. Quelques petits coups, sans plus. Catarina se leva, sans crainte, pour ouvrir la porte au froid de l’extérieur. Quand elle vit la chose, elle se figea avant de reculer précipitamment. Résonna le son d’une bonne métallique sur le parquet de bois de la maison et suivi une armure de métal entourée d’une large cape. Riccardo se leva d’un pas raide et rapide pour aller aux nouvelles. Son visage prit les teintes de cire au fur et à mesure que l’homme s’exprimait à voix basse. Il se passait quelque chose sur le continent.
La porte se ferma avec un son sinistre alors que la silhouette emmitouflée prenait le chemin du retour. Le regard du père était éloquent, il ne saurait rester plus longtemps. Quelque chose de grave se passait. Mais, tout pour surprendre la jeune fille, le père et la mère se concertèrent, eux aussi à voix basse. Repoussant toute tentative pour savoir ce qui se passait de la part de leur fille. C’était comme si le poids du monde venaient de tomber sur leurs épaules.
-Catarina, ton père et moi avons quelque chose à te dire. Il se passe quelque chose de grave sur Érasia. (Mais, qu’est-ce que c’était Érasia?!) Les Pokémons semblent se rebeller et attaquer leur propriétaire, les humains. Les attaquer pour les tuer. Tenkei a décidé d’envoyer des combattants, des éclaireurs, pour s’assurer que le mal ne vienne pas ici. Ton père a été choisi pour assurer la mission et il a besoin de mon aide. Nous nous y préparons. (Mon père, soit, mais pourquoi aurait-il besoin de ma mère?, se demanda la jeune fille) Maintenant.
-Mais, Maman, pourquoi y vas-tu? Il se passe quoi? Vous allez revenir bientôt?
Tant de questions se bousculèrent à la tête de la jeune fille. Tant de questions qui se trouvèrent sans réponse. Le regard de sa mère, pour une fois, suffit pour qu’elle se taise. Les deux parents s’engouffrèrent dans la chambre, effectuant des paquets avec leurs effets personnels. Alors que la jeune fille restait là, bras branlants, à regarder ses parents se mouvoir de concert, comme si tout avait été préparé et orchestré. Bouche béante, elle ne trouva pas de mots à dire. C’est seulement au seuil de la porte que son père se retourna vers elle, sa large silhouette entouré à son tour d’une grande cape. Son armure brillait dans la nuit d’une belle lueur bleue.
-Fille, garde la maison pour tes parents. Nous reviendrons bientôt. Érasia est en danger ; on nous appelle pour leur porter assistance. C’est notre mission. Je te laisserais bien un ou deux pokémon pour te protéger mais… Avec ce qui se passe en bas… Il lança un regard incertain à sa femme. C’est peut-être mieux si tu restes ici seule pour l’instant. Une personne devrait venir te chercher bientôt. Dans un ou deux jours maximum. Tu devrais être capable de tenir jusque là? Lui dit-il en la couvrant d’un regard chaleureux. Quand il la regardait ainsi, malgré toutes les protestations qui venaient à la bouche de Catarina, elle ne pouvait plus parler. Elle hocha tout simplement la tête tout en se mordant la lèvre.
-Je t’aime… finit-il par lui dire avant de la serrer dans ses bras. C’était comme un adieu et ça, elle ne le supportait pas. Elle se tourna, refoulant ses larmes, essayant de contenir ses sanglots. Quelque chose clochait ici… quelque chose de gros. Elle senti la poitrine froide de sa mère s’appuyer contre son dos, les cheveux dorés de cette dernière chatouiller sa nuque. Ses lèvres fraîche se poser sur sa joue. Le moment sembla durer une fraction de seconde et une éternité à la fois. Quand l’étreinte maternelle se desserra, elle se retourna, ayant à peine le temps de voir un éclair or disparaître sous la cape de sa mère. Ayant à peine le temps de les voir passer le seuil de la porte et disparaître dans le froid automnal. Avant de voir, par la fenêtre leurs silhouettes monter sur un magnifique Tauros avant de disparaître. Ils étaient et n’étaient plus. Les larmes coulèrent sur les joues de la jeune fille sans qu’elle ne le remarque. C’était comme un adieu dit trop tôt… pourtant, ses parents allaient revenir, ils l’avaient promis non?
Un jour plus tard, on vint cogner à la porte pour la ramener en ville. Aliphyr, la capitale. Pour la première fois, elle ne s’émerveilla pas de voir les coiffures des habitant; de voir l’agitation de la ville. C’était sans cesse la phrase « quelque chose cloche » qu’elle se répétait mentalement. C’est plusieurs mois plus tard que cette phrase trouva résonnance à ses oreilles.
Un Maître d’Esprit était arrivé en ville et malgré des réticences bien naturelles, Cata se décida à lui rendre visite. Les autorités n’étant pas en mesure de lui donner des renseignements sur ses parents, elle entra dans l’échoppe de la Maîtresse des Esprits, lui priant de la renseigner sur leur localisation. Si le visage de la maîtresse avait été impassible à prime-abord, quand elle entra en transe et vit, dans son esprit ou par un autre moyen, ce qui se passait ; son visage se décomposa légèrement.
-Que… que… que se passe-t-il? Demanda Catarina de sa frêle voix.
Plutôt que de lui répondre, la maîtresse des Esprits l’approcha d’une vasque d’eau et par on ne sait quel pouvoir, projeta à la surface de bien sinistres visions. Le sang des batailles coulant à flots, les Pokémons qui soudainement se retournaient contre leurs humains. Un majestueux Tauros se mettant à charger les masses d’humains. Et enfin, à travers tout cela elle apparut pendant un instant une armure argenté, auréolée de bleue. Un homme aux cheveux bruns, descendant en cascade qui se battait avec un Pokémon plus grand que lui. Le combat, qui semblait inégal au début, fut franchement à son désavantage. Elle le vu tomber, trébucher sur le sol avant qu’il ne s’effondre, transpercé par une griffe d’un pokémon. Dépecé, déchiré. Un sanglot s’étrangla dans sa gorge alors qu’elle assista, en rediffusion, à la mort de son père bien-aimé. Et elle se vit, penchée sur le corps de son père, le prendre dans ses bras, dans une magnifique armure doré. Elle se vit? Non, celle qu’elle voyait dans la vasque, c’était sa mère, magnifique et dangereuse. Dans ses yeux, Catarina vit le désespoir qui était le sien en ce moment même. Elle vit sa mère prendre l’épée ; terrible déesse meurtrière se retourner vers le pokémon fou pour se lancer à cœur perdu dans la bataille.
-Non! Ne put s’empêcher de crier la jeune fille. Dans un vain espoir de résister au destin, elle renversa le récipient sur le sol, sauvant à ses yeux la vision de sa mère mourante. L’issue du combat était déjà scellée.
************************
La tristesse et la rage firent place au désespoir et à l’impuissance. À la haine envers Érasia et l’incompréhension. Comment des « Maîtres pokémon » pouvaient bien avoir laissé leurs Pokémon tourner ainsi. N’étaient-ils pas capable de contrôler leurs créatures? Deux ans passèrent avant que la tristesse qui consumait la jeune fille ne s’apaise et seule la résolution de défendre son pays la fit tenir debout ; jour après jour. Elle troqua le noir du deuil pour l’épée ; bien décidée à donner son allégeance à son pays pour le défendre envers et contre tout et surtout envers les Érasiens. Et c’est ainsi qu’à l’aube de ses 19 ans, nous retrouvons la jeune Catarina, épée au poing, décidé à se mettre au service du royaume pour protéger la paix. Protéger la paix, à jamais.
Intéressée par les armes dès son tout jeune âge, Catarina était une fillette passionnée, pas toujours disciplinée, mais énergique et plutôt expressive. Son père était son idole et sa mère... bien, c'était sa mère, la personne qui lui tenait compagnie et qui était tout pour elle... malgré tout ce qu'elle pouvait y penser. Cette dernière avait même réussi, grâce à son influence, à éloigner sa fille des armes et à faire d'elle une jeune femme tout ce qui a de plus convenable selon des standards... pas toujours Aliphyriens mais quand même. Non, l'avenir de Catarina n'était pas dans les armes se plaisait à répéter sa mère. Elle lui avait même trouvé un prétendant d'une autre caste.
Résiliente, la jeune fille se montrait souvent sous son bon jour et se plaisait à être la fierté de ses parents. Et enfin arriva l'évènement, ce qui fit basculer sa vie. Ses parents, son père et sa mère inclue, partirent pour Érasia pour protéger leur continent. C'était avec tristesse, mais le sentiment de devoir que Catarina les regarda quitter la demeure (plus de tristesse qu'autre chose). Mais, ce qui la changea vraiment, ce fut quand elle apprit leurs morts. Tués en défendant le chemin du continent céleste. Mort en héros, soit, mais mort quand même. Jamais n'avait-elle rencontré une telle épreuve et elle s'en montra abattue, déchirée, sans force. Errant pendant presque un ou deux ans sans vraiment trouver quelque chose qui ne la remotive. Enfin, elle trouva ce qui la ferait vivre. Cet espoir, c'était l'épée. Elle avait vu (par le biais d'un médium) ses parents mourir, épée à la main. Pourquoi ne ferait-elle pas de même? C'était une mort autrement plus glorieuse que de se laisser dépérir, non?
On retrouva au final toute la ténacité dont elle faisait preuve habituellement. Toute l'ardeur au travail dont une personne désespérée peut faire preuve. Car, dans son for intérieur, Catarina est désespérée. Elle ne veut pas se l'avouer, mais elle l'est... Quoi qu'il en soit, elle tient à son épée comme à sa vie. Elle tient à ses souvenirs comme une bouée de sauvetage; caressant le rêve de défendre l'honneur de son pays comme ses parents l'ont fait auparavant. Ce rêve se mut en certitude et en actions plus concrètes. Elle allait être l’étendard des Aliphyriens. Elle allait être l’exemple même de ce qu’on devait être. Exemple de droiture et de rigueur. Celle-là même qui défendrait son royaume envers et contre tous… surtout envers les Érasien. Car elle leur tient rancœur, c’est de leur faute si les pokémons sont devenus incontrôlables. De leur faute si ses parents sont morts. Très prudente, voire réticente à leurs égards, elle ne cherche pas vraiment à entrer à leur contact, allant même jusqu’à les éviter et si l’affrontement se produit, ce sera pour leurs montrer sa supériorité et celle des habitants de Tenkei. Quant aux Pokémons, créatures qui ont tué ses parents, elle se montre réservée sans généraliser sur leur comportement. Les pokémons de Son pays se sont toujours montrés pour la plupart courtois et agréables, mais… au moindre signe d’agressivité…les souvenirs affluents et Catarina se transforme. Si elle doit mourir, soit, mais comme ses parents, elle laissera une marque indélébile dans le cerveau du pokémon qui l’aura attaqué… soyez-en sûr.
Description physique :
Sortant à peine de l'adolescence, Catarina n'a pas encore développé tous ses atouts de femmes. Sa stature reste plutôt frêle, mais ferme, cachant des muscles qui commencent à se durcir après un entraînement plus ou moins rigoureux. Délicate, elle frôle le mètre soixante en terme de taille. Si sa poitrine ou ses autres atours féminins ne sont pas très développés (lire ici elle a une poitrine plutôt discrète et n'est pas du genre "sensuelle") elle ne s'en fait pas car elle n'a personne à envier. Avec son visage maintenant serein, sa peau claire et lisse, et son air décidé, elle est du type de personne plus naturelle, qui ne cherche pas nécessairement à bien paraître.
Elle a aussi des cheveux blonds, plutôt longs, qu'elle porte en demi-queue de cheval ou tout simplement attachés la majeure partie du temps... car on s'entend que pour manier l'épée ou les armes blanches, vaut mieux ne pas avoir de grande crinière devant les yeux. Si elle accepte de subir égratignures et bleus lors des entraînements ou des batailles, ses cheveux restent la seule partie de son corps qui est sacré pour elle. Si vous abîmez sa chevelure, attendez-vous à subir ses foudres
La plupart du temps, Catarina préfère aux robes élaborées une tenue plus simple, voire un peu enfantin avec une prédominance de bleue, sa couleur favorite. Elle opte le plus souvent pour des robes amples dans lesquels elle peut "cacher" de subtils changements dans sa position d'attaque et sa position défensive. En dessous de toutes ses robes, elle porte toutefois des pantalons ajustés pour lui permettre plus de mobilité sans avoir à s'en faire de montrer... ses sous-vêtements... Heum... ><
Pour Catarina, elle est l'image du royaume céleste (ou elle aime se le faire croire) et ne se mettra jamais dans une position compromettante ou dans une situation délicate. Fière et droite, à la limite de trop vouloir en faire pour suivre les règles, cela se reflète dans sa manière de bouger et de se tenir ; ainsi que dans ses tenues toutes choisies avec soin et avec goût tout en restant de le "simple et classique". N'imaginez pas Catarina en tenue endimanché ou trop élaborée, elle ad'ailleurs horreur de ce style vestimentaire tout comme elle n’apprécie pas vraiment le laisser aller dans la tenue et la posture. C'est ; pour elle, un reflet de l'âme et de la personne.
Particularités : N'a pas de cicatrices ni de particularité pour le moment
Image ou dessin :
- Spoiler:
Autres remarques : Si anachronisme ou mauvais usage d'un endroit ou d'un évènement il y a, n'hésitez-pas à me le faire remarquer. J'ai essayé d'inclure les évènements qui se sont passé par le passé dans mon histoire au meilleur de ma compréhension^^"Premier Pokémon :
Sexe du Pokémon :
Surnom du Pokémon :
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Re: À Jamais pour mon Royaume
Bienvenue !
Aucun anachronisme dans ta biographie pour autant que je puisse en juger. Peut-être le fait que tu parles de Tauros sur Tenkei est un peu bizarre (je me serais plutôt attendue à Frison), mais ça n'a rien d'impossible donc pas de souci On sent que tu as fait un certain travail de recherche sur le contexte, ça fait super plaisir
C'est une excellente fiche et un personnage assez intéressant que tu nous proposes là. 13 points de fiche + 5 points de départ qui font 18 points pour partir à l'aventure sur nos terres. J'espère que tu plairas parmi nous ! Bon jeu !
Par contre, je suis curieuse, c'est quoi Pixiv Fantasia ? Un jeu, un anime ?
Ah, oui, n'hésite pas non plus à aller présenter la personne derrière l'écran ici si tu le souhaites
Aucun anachronisme dans ta biographie pour autant que je puisse en juger. Peut-être le fait que tu parles de Tauros sur Tenkei est un peu bizarre (je me serais plutôt attendue à Frison), mais ça n'a rien d'impossible donc pas de souci On sent que tu as fait un certain travail de recherche sur le contexte, ça fait super plaisir
C'est une excellente fiche et un personnage assez intéressant que tu nous proposes là. 13 points de fiche + 5 points de départ qui font 18 points pour partir à l'aventure sur nos terres. J'espère que tu plairas parmi nous ! Bon jeu !
Par contre, je suis curieuse, c'est quoi Pixiv Fantasia ? Un jeu, un anime ?
Ah, oui, n'hésite pas non plus à aller présenter la personne derrière l'écran ici si tu le souhaites
Mizuki Ana- Informations
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