Guiulia Colleen [terminé]

Prénom : Guiulia Nom : Colleen Sexe : Masculin Age : 17ans Pays : Terros Job de base : Dresseur Futur envisagé : Coordinateur pokémon

Description physique : Mesdames et messieurs, préparez-vous à lire une des pires bizarreries qu’il ne vous sera jamais donné de lire. L’époque ne permettant pas de les justifier, et le personnage ne souhaitant pas changer d’apparence, vous serez confrontés à une personne arc-en-ciel. Du rouge au violet, en faisant un détour par le bleu et le jaune, jamais nous ne saurons d’où viennent ces pigmentations. Certains justifieront par les gènes, d’autres par les Dieux et une minorité par le pot de peinture indélébile datant de quand on a repeint la maison. Le violet entamera ce portrait. La septième couleur a pris possession de la chevelure de ce jeune homme. Intervention divine ou satanique, nul ne le sait, mais toujours est-il que, comme son père avant lui, il naquit pourvu d’une tignasse mauve. Il possédait d’ailleurs déjà quelques épis rebelles. A l’arrière, à l’avant, sur les côtés… Partout ! Cela rebique de partout. Du moins jusqu’au niveau de ses épaules, en dessous ils se sont rassemblés en une seule mèche qui descend jusqu’à la hanche. Système capillaire étrange que le meilleur scientifique de ce monde ne saura jamais expliquer. Il va falloir rester dans la chevelure pour parler de bleu, jaune et rose. Et oui, il a hérité de toutes les couleurs de cheveux de sa famille. Sa mère est blonde, sa tante les a bleu et son grand-père les a roses… Cela a toujours été un gros complexe chez lui, mais ici on parle du petit fils alors passons. Guiulia possède des mèches de toutes ses couleurs un peu partout dans les cheveux. La plus marquante et la rose qui s’est logée sur l’arrière de ses cheveux, à l’endroit où ils sont à peu près disciplinés. Les autres ne sont régies par aucune loi connue dans le domaine. Ensuite il y a du rouge pour les yeux. La conclusion qui s’impose et que ce personnage est albinos et qu’il souffrira donc de déficit au niveau des sens ou choses comme cela, mais cette section n’est pas faite pour les décrire. Un regard de sang entouré de longs cils, comme ceux d’une femme. Le visage de ce jeune homme est extrêmement féminisé. En fait, tout son corps l’est. Cela peut être dérangeant pour certaines personne et à cause de cette caractéristique il n’est pas rare que l’on le surnomme, plus ou moins affectivement, « le travesti ». C’en est fini des couleurs, fort heureusement il n’y a ni vert ni orange. Quoique après, ce feu d’artifice, cela n’aurait sans doute plus dérangé personne. Plutôt grand et mince, Guiulia n’est pas impressionnant du tout. Il fait ablette et pourrait facilement servir de punching-ball à n’importe quelle petit délinquant énervé du coin. Il adore bien s’habiller… A sa manière. Il sera toujours vu avec froufrous et accessoires. Parfois il mettra quelque chose qui ressemble à une jupe sans que cela en soit vraiment une, l’ambiguïté est au cœur de sa manière de s’habiller. Voilà, s’en est tout en ce qui concerne son apparence.

Caractère :

Autant le dire tout de suite, Guiulia est très imbu de lui-même. Il se trouve très beau, très intelligent, très beau, très original, très beau, très artistique et très beau, encore une fois. On ne sait pas d'où vient cette grande confiance en lui, mais toujours est-il qu'elle est bien là, trônant sur la figure de ce bel androgyne. Si son point de vue diverge avec le sien, vous aurez toujours tort. S'il est de mauvais poil, vous pourrez clamer que le ciel est bel et bien bleu il trouvera des moyen d'argumenter comme quoi il est en fait orange. Une argumentation totalement dénuée de sens, mais qui bizarrement tient debout et lorsque l'on lui demande d'où il sort une théorie pareille il répondra, en rigolant, qu'il s'entraine juste à faire de la politique. Et oui, il rira car il aura déjà changé d'humeur ! C'est qu'il est lunatique le petit, extrêmement lunatique, mais cela dépend des moments. Sur les petites émotions ou les choses sur lesquelles il ne peut pas vraiment se forger d'avis vous pourrez voir des retournements de pensées inimaginables pour le communs des mortels. Son esprit fera des pirouettes dignes des plus grands Capumain dans les branches d'un grand saule pleureur... Oui, pour faire tarzan aussi car les qualificatifs pour désigner un objet ou une personne varieront d'intensité en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Vous passerez de la femme avec de trop gros attributs mammaires à la vache à lait très facilement. Pour la présentation les termes employés restent relativement polis car en réalité l'efféminé emploi un langage bien plus rude. En effet, comme si les carences dont il souffre au niveau des sens ne suffisaient pas il est atteint du syndrome de Tourette. Insultes, tics nerveux et tout le tralala virevoltent autour de lui lorsqu'il se trouve en colère et attention, il peut être contrarié par des choses insignifiantes allant de la couleur des chaussures de cette dame à la disposition des taches sur ce Spinda. Bien sûr lorsque ces dernières ne sont pas esthétiques. Guiulia a énormément de mal à supporter ce qu'il trouve laid car cela pourrait ternir son image si ces choses s'approchaient trop de lui. Évidemment il y a quelques exceptions comme Goule ou autres, mais le reste ne pourra jamais s'approcher à moins de cinq mètres. Surtout les femmes à grosses poitrines, il les fuie comme la peste, mais personne n'a jamais su pourquoi. Ce n'est pas une phobie, juste un sentiment de dégout envers elle qui vient du plus profond de ses entrailles et il ne cherche même pas à comprendre. Une petite théorie a tout de même été échafaudée sur le sujet : il ressent de la concurrence. En effet, on ne dirait pas comme cela, mais il est doté d'un très puissant instinct maternel. Oui, oui, maternel, pas paternel car il s'occupera d'un enfant en se prenant pour sa mère sans lui infliger l'autorité qui se doit d'être présente venant du père. Une maman gâteau comme on en fait plus. Sur-protectrice aussi et cela peut embêter la plupart des tout petits. Enfin il ne faut jamais bien longtemps pour que leur vrai mère débarque et les éloigne de ce tordu qui pleure derrière elles en les accusant de lui voler et brutaliser son enfant. Lorsqu'il part dans ces délires celui-là, plus rien ne peux l'arrêter et surtout pas sa stupidité croissante. Non pas parce qu'il se trouve dans l'age que certains se plaisent à surnommer l'"age con", mais juste que, naturellement, il a toujours été un peu à l'ouest. Les repas de famille n'arrangeant rien puisque son père s'amusait à tourner en dérision tout et n'importe quoi pour amuser la galerie et pas de la manière la plus saine parfois. Il n'y a donc aucun questionnant sur son habilité à raconter les pires sottises avec l'air le plus sérieux avant d'éclater de rire. Voilà, c'est tout, le tour du personnage semble fait.

Biographie :

- Maman, pourquoi je n'ai pas le droit d'utiliser ma main gauche ?
- Parce que c'est la main du diable.
- Mais quand je touche, je ne sens rien avec cette main droite... Pourquoi ?
- Parce que Dieu le veut.

Dieu le veut alors on le fait. Dès que l'on s'est aperçu qu'il se servait plus de sa main gauche que de sa main droite, on la lui a lié dans le dos et mis un énorme gant, ressemblant vaguement à ceux qui servent pour la boxe, afin qu'il ne puisse rien faire avec ce membre maudit. Il apprit donc à se servir de sa main droite, comme il pouvait. Maladroit, il n'arrivait rien à faire au début puis, petit à petit, il arriva à manger, à écrire, dessiner, construire des choses, pointer du doigt correctement... etc... etc. Etant albinos, il souffrait de quelques carences au niveau de ses sens. Son ouïe était déficientes sur les sons compris entre un certain intervalle de décibels, c'était un peu handicapant, mais pas tant que ça, il avait appris à lire sur les lèvres dès son plus jeune âge. Pour ce qui est du goût, lorsqu'il mangeait des aliments trop prononcés dans le sucré, salé, amer ou acide il avait l'impression de boire de l'eau déminéralisée, donc un truc qui n'a aucun goût. Les patisseries étaient fades pour lui, les bonbons aussi. Pas de citron, ni rien de ce genre. Mais tout ceci n'était rien par rapport au dernier déficit de ses sens : le toucher. Il ne sentait rien de la main droite. De fait tout le temps où il porta le gant il ne connaissait pas d'autre sensation que celle du tissus qui constituait le cachot de son membre. Autant vous dire qu'il s'agissait d'un matière on ne peut plus désagréable, comme du carton. Voilà, c'est dans cette situation que Guiulia commença sa vie jusqu'à ce que survienne le premier incident.

Habitant de Terros, il possédait la maitrise de la terre, mais ne pouvant la sentir avec la main qui lui était disponible, il ne parvenait à rien faire avec. Au mieu il faisait un trou ou un petit peu de boue, mais rien de plus marquant. A côté de lui il voyait ses petits camarades arriver à faire des petites sculptures, des plats, des bols et se rendre utiles de cette manière auprès de leurs parents tandis que lui ne servait à rien. Cela le démoralisait et il entra dans une période très sombre.

- Guiulia, mon petit... Qu'est-ce que tu as ?
- Je ne sers à rien... Dieu ne m'aime pas...
- Ne dis pas ça, Dieu nous aime tous !
- Non... Dieu ne m'aime pas... Et tu ne m'aime pas non plus ! La preuve, tu m'as donné un nom de fille ! Tu m'habille comme une fille presque ! Tu ne voulais pas d'un garçon ! Tu ne m'aime pas, maman ! Tu ne m'aime pas du tout ! Je te déteste !

A ces mots, démolie, madame Colleen quitta la pièce en pleurant. C'est dur pour une mère d'entendre des paroles si dures sortir de la bouche d'un enfant d'à peine dix ans. Guiulia, quand à lui, resta immobile sur son lit un moment, regardant cette main droite qu'il détestait tant. Il la maudit cent fois, puis maudit ce Dieu qui lui avait infligé ce calvaire en trompant ses parents. Il en était certain maintenant, Dieu n'existait pas, pour personne. Il n'était qu'une invention pour tromper les plus naïfs, mais c'était fini maintenant, il n'était plus un de ces niais qui ne peuvent pas agir par eux même.

Usant de l'agilité qu'il avait acquis avec cette main de la justice, droiture, Dieu il détacha les lien présents dans son dos et enleva délicatement le gant pour découvrire un membre presqu'atrophié de ne jamais respirer l'air libre. Il la posa délicatement sur son drap pour en sentir toute la douceur. Il la laissa se balader à l'intérieur de sa chambre, s'imprégnant de chaque matière qui l'entourait, la caressant maintes fois pour la graver au fond de son être afin de ne jamais l'oublier. L'émotion qu'il ressentait était plus forte que ce qui ne lui était jamais parvenu. Rien ne pouvait troubler cet état de sérénité. Il ne pouvait entendre son père qui lui criait dessus dans l'encadrement de la porte : le son est trop fort pour ses oreilles déficiantes. Il avait insulté sa mère ? Et alors ? Ce qu'il lui avait dit était on ne peut plus vrai. Il décida de sortie au grand air, il senti le vent danser sur sa main. Cette chose associée au diable par ses parents se révéla divine. Les plantes, les murs, les animaux, l'eau, les fleurs, la mousse... Et maintenant la terre.

Il s'assit, posa sa main au sol, senti toutes les vibrations de cette chose sur laquelle il se balade tous les jours. Il ferma les yeux et ne pensa qu'aux émotions qui le traversaient. Il n'entendait pas le grand bruit qui s'intensifiait autour de lui, ni les cris des habitants terrorisés, ni ceux de sa mère qui le priait d'arrêter. Il continuait encore et encore à frotter cette terre qu'il a toujours souhaité manipuler, se vidant de ses forces à petit feu. Il finit par s'écrouler, n'ayant plus d'énergie, il rouvrit les yeux et ne vit rien. Tout était noir. Il était enfermé dans un énorme cocon de terre sans aucun moyen d'en sortir. Il se mit à pleurer. Il était tout seul, épuisé, presque mort.

- Maman... Aide-moi... C'est pas vrai... C'est pas vrai que je te déteste...

Il s'évanouit sur ces paroles.

Lorsqu'il se réveilla, il se trouvait chez lui, dans son lit, sa mère étant à son chevet, en pleurs. Elle se jeta sur lui pour lui offrir un câlin, l'embrassant et répétant sans-cesse "mon petit garçon, je t'aime mon petit". Guiulia lui rendit ses marques d'affection au centuple car il l'aimait plus que tout au monde, sa maman.

C'est depuis ce jour qu'il est devenu une vraie feignasse car il a toujours peur de faire trop d'efforts et se trouver pièger de nouveau. Il s'est également pris de passion pour les tissus car la première matière qu'il découvrit fut son drap. Les pierres précieuses et l'art c'est parce que cela n'use pas trop d'énergie de frotter un cailloux afin de le faire briller et regarder une oeuvre d'art c'est moins fatiguant que de courir un marathon. Enfin, il en parlera toujours ainsi, mais il adore ça, c'est une vraie passion.

Le dernier évènement marquant de sa vie fut sa rencontre avec Goule, son Chétiflor chéri.
Il se promenait dans une forêt à la recherche de quelques fleurs à reproduire en fausses afin d'en orner les vêtements qu'il crée. Il préparait une collection de printemps spécialement pour une petite voisine qu'il appréciait particulièrement sur le moment car, étant très lunatique, il pouvait changer d'avis n'importe quand sur n'importe qui. Il venait d'en trouver une et s'apprétait à la cueillir lorsque la créature la plus immonde qu'il n'avait jamais vue vint la dévorer sous son nez. Choqué et outré, il releva la tête et se trouva nez-à-nez avec un... Truc. Oui, sur le moment il ne put qualifier cette créature par autre chose. Une lampe jaune en guise de tête, deux points noirs pour les yeux, des lèvres roses bonbons, un "corps" ressemblant à une tige brune qui tremblotte, deux feuilles pour les mains et pas de pieds... Cette chose était vraiment horrible. Il eut un vif mouvement de recul en voyant la bête et poussa un cri d'horreur qui eut pour réponse :

- Chétiflor, Chétiflor...

Mon Dieu, quelle horreur ! Il se trouvait confronté à la chose la plus hideuse qu'il lui avait été donné de croiser tout au long de sa vie : un Chétiflor. Il se demanda un instant comment un Pokémon pouvait être aussi moche, puis se souvint que Bastiodon c'était pas mal quand même dans le genre et son esprit fit un petit détour par la tronche dont avait hérité Brouhabam. La nature ne devait pas les aimer ceux-ci.

Guiulia trouva soudainement quelque chose de mignon à cette créature frémissante. Il ne sut pas pourquoi, il ne parvint pas à la définir, mais il lui parut soudain qu'elle était dotée d'une grace extrème qui échappait à sa perception visuelle qui était pourtant très bonne comparée à ses autres sens. Il s'approcha, s'accroupi pour se mettre à la hauteur de la créature. Après un instant à se fixer, le Pokémon gagna le duel de regard. Le jeune homme tourna la tête dégouté, se demandant comment il avait pu trouver beau quelque chose d'aussi laid et difforme.

- Chétiflooor !
- Ne m'approche pas créature métamorphique ! Tu te rends compte de l'abération que tu es ? Ta simple vue terroriserait n'importe quel enfant ! Que tu es moche, moche, moche et moche ! Tu ne mérite tellement pas d'exister au yeux du monde que je t'adopte, tiens ! Je serais acclamé en héros pour oser m'occuper d'une créature comme toi ! A partir de maintenant ton nom c'est Goule parce que tu leurs ressemble vraiment ! Tu es tout aussi laid ! Ignomonie de la nature, suis-moi maintenant !

Il tourna les talons, fit quelques mètres, tourna la tête pour voir si la bestiole le suivait. C'était le cas, cela le fit sourire. Il avait vraiment eu le coup de foudre pour cette petite chose, mais il préférera toujours mourir que de l'admettre un jour.

Depuis ils forment un duo formidable et, très imbu de lui-même, Guiulia s'est mis en tête de gagner des concours de beauté grace à Goule et a donc commencé à parcourir le monde pour son entrainement personnel.

Maladie(s)/Problème(s) :

souffre de narcolepsie, hypersmonie et du syndrome de Tourette lorsqu’il est énervé. Ses cheveux violets et ses yeux rouges prouvent qu'il s'agit d'un albinos, gène héréditaire dans sa famille. Son père était presqu'aveugle et sa mère sourde (elle savait lire sur les lèvres). Lui a quelques problèmes auditifs, est insensible au niveau du toucher de la main droite et ne reconnait pas le goût de certains aliments trop sucrés, épicés, acides ou amers.

Aime :

Les jolies choses, son Chetiflor, se mettre en avant, prendre soin de lui, trouver de nouveaux accessoires, les pierres précieuses, les femmes qui n'ont pas trop de poitrine, les longues jambes, dormir, se reposer, somnoler, glandouiller, son canapé, son lit, les oreillers (il les collectionne), les tapis en cas d'urgence, les tissus les plus doux, sa main gauche, les petites touches de maquillage, l'ambiguïté, partir dans ses délires et que personne ne le comprenne, sa maman, son papa, le language des signes, faire des petits bruits qui ressemblent à rien, inventer des insultes quand il est en colère.

Déteste :

Les trucs difformes (sauf son Chetiflor), les mauvaises pierres, les truc tout ternes, sa main droite, les matière trop rèches, les mochetés, les grosses poitrines, les nains, les robes sac-poubelles, les pokémons qui perdent des poils, qu'on abime ses vêtements ou ses cheveux, le sport, qu'on le force à se balader quand il ne veut pas, tout ce qui ressemble de près ou de loin à un ponyta ou galopa (un cheval dans le monde réel), les pokémons feu parce qu'ils peuvent blesser son Goule d'amour, les pokémons eau il n'aime pas trop non plus, l'effort.

[Invité]

Excusez-moi du double-post, mais c'est pour signaler que j'ai terminé ma présentation. n_n

[Ishizu Yggdrasil]

Faites des fiches encore plus longues pour que je m'échine à les lires >8U

Non non je plaisante, vous pouvez faire de la longueur que vous voulez, mais ces derniers temps j'ai de moins en moins envie de lire des trucs longs U_u.

Si son point de vue diverge avec le sien ? Je le voyais bien narcissique mais à ce point.
La description est un peu brouillonne à la fin, j'ai eu un peu de mal à suivre alors que le reste est très fluide.
Je sais que tu utilises le mot lampe pour décrire Chetiflor, mais pas de technologies sur Erasia.
Il n'y à pas de goules à Erasia pour faire la comparaison, mais on peut les associer à des légendes.
"quelqu'un veuille faire du mail à son chéri." Petite faute qui m'a fait rire, désolé, mais là j'ai éclaté de rire %D

Sinon je n'ai rien à redire, je valide et te met 14 points.

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