[ Clos ] Destin croisé

[Givralion]

Fiarkef et Givralion avaient désormais accomplie leur "Mission" envers cet homme qui en réalité s'apellé Naômik.Leur route ne s'arrêta cependant pas la.
Effectivement ils avaient en téte de partir pour Mizuhan mais sur leur route se trouvait Seian , la plus célèbre ville de Terros non seulement pour sa grandeur mais aussi pour sa splandeur.A Seian , nos deux compères de vaient retrouver un vieil ami de Givralion , un maitre de l'air très puissant qui n'avait pas donné signe de vie depuis déjà quelques mois.Cet ami si cher pour Givralion le contacta en lui envoyant un message grâce à un Etouraptor , ce message lui disait que si ils voulaient , ils pourraient se retrouver.Givralion renvoya donc l'Etouraptor avec un messag disant que Givra serait ravis de revoir son ami àSeian , la où ils se sont connus.Au concours pokemon de la grande place de Seian.Mais voilà que Fiarkef et Givralion se retrouvèrent devant Seian , les portes de la cité leurs étaient toutes grandes ouvertes.Les deux maitre ,du feu et de la glace , rentrèrent donc dans la cité et y virent de magnifique pokemon sol qui se chamaillés , jouer ensemble et courrés dans les rues carrés de Seian.A peine étaient ils rentrer qu'ils purent voir l'arène pokemon , à l'intérieur de cette aréne il y avait des maitres de la terre qui s'affrontaient dans de fabuleux combats où ils se donnés au maximum pour progresser et pour plaire au public qui les acclamés.Dans cette arène apparament on pratique aussi les combats élémentaire , la question est peut on également se battre si l'ont est pas de Terros ?Cette question trottait dans la téte de Givralion qui avait bien envie d'un petit duel amical à deux ou peut être bien un challenge , à trois.

Alors Fiarkef , on est bientôt arrivé à Mizuhan mais pour l'instant tâchons de profiter de cette cité , ele a beaucoup à nous apprendre et à nous offrir , comme toute les cité de Terros.

Givralion expliqua donc à Fiarkef qu'il était venue ici étant jeune avec son père et que c'est la qu'il vit le combat pokemon duo qui lui fit prendre conscience qu'il devait dresseur coordinateur.Il lui raconta également que c'est ici même qu'il a connut son ami , ce fameux maitre de l'air sur lequel il pourrait toujours compter.Givralion avait demandait à  Ayiori Haruta son ami de Nalcia donc de réserver une chambre dans une auberge assez réputé de Seian afin qu'ils est un endroit où dormir directement en arrivant et qu'ils n'est pas à chercher.Givralion et Fiarkef étaient dans l'arène mais impossible de trouver Ayiori , ils décidèrent donc de sortir afin d'avoir plus de chance de l'apercevoir , se qu'ils firent.Mais où était donc passé Ayiori ?

[Invité]

Un Maître de l'Air !
J'attends avec impatiente de le rencontrer !
Je me demande s'il peut voler _o:

Poussi ! Poussi !

Flomos est en joie de voir son dresseur de bonne humeur.

C'est dommge que nous soyons presque en hiver.
Parce que j'ai entendu parler que Raikou, le pokemon legendaire, venait ici au printemps. Enfin c'est ce que j'ai compris... On aurais pu le voir !

Après s'être étonné de ne pas trouver son ami au point de rendez-vous, Givralion entreprît de le chercher un peu partout dans la ville.

On pourrait peut-être commencer par cette fameuse auberge où nous devons crêcher durant notre arrêt à Seian.

Givralion, Fiarkef, Evoli et Flomos partirent donc à la recherche de cette auberge. Elle ne doit pas être bien loin...

[Invité]

J'étais aux environs d'une belle petite auberge, dans la magnifique cité de Seian, afin de trouver le repos en compagnie de Spoink, loin de tous ces évenements à Nalcia.
J'avais du beaucoup, beaucoup, énormement marcher pour y arriver, et nous tombâmes presque inanimés sur le sol.
Une sensation de bien-être envahissait mon corps au repos, mais il fut de courte, très courte durée.
En effet, de jeunes individus, au nombre de deux, n'avaient trouvé mieux à faire que de se rencontrer là, et de discuter, sans nous prêter attention.
Alors, évidemment mécontent, je me réveillai et je "pris part" à la conversation.

- Vous savez que le sommeil est important pour tout le monde, et que le troubler est inadmissible!

Cette phrase, sortie pratiquement toute seule de ma bouche réjouie de les avoir fait taire les perturba. Sans doute ne m'avaient-ils remarqué.
J'hésitai un instant à m'excuser, ces jeunes personnes avaient l'air tellement troublées.
Givralion, le plus jeune des deux, un gars de Mizuhan, qui piaillait avec Fiarkef, un gars du pays du feu!
C'était une rencontre inattendue, mais cette alchimie m'avait intrigué, alors il fallait que je discute(s?).

- Désolé de vous avoir perturbé, mais je viens de parcourir des kilomètres pour trouver le repos depuis quelques minutes, et Spoink est complétement à plat.
Profitons-en pour nous présenter!

Une rencontre assez inattendue, mais je savais que ces jeunes hommes allaient être des amis fidèles et bons.
De plus, ils maîtrisent eux aussi un élement.

- Et, vous participez à des combats entre maître élementaux?

Un combat peut faire que les gens qui y prennent part s'admirent en se défiant.
La compléxité de ces deux personnes m'avait ammené à leur demander cela, pour que nous nous mesurions, et peut-être, nous apprécions!
Alors, je me relevai et me préparai, les deux accolytes ayant l'air d'apprécier ma requête.

- Très bien, tout cela! Allons-y alors! Mais, je vous préviens, chacun pour sa poire!

[Givralion]

Maintenant , ils étaient trois , seul petit bemol àl'histoire , Ayoiri avait énormément changé depuis l'enfance.On aurait dit q'Ayiori n'avait pas reconnue Givralion et il n'appréciait pas vraiment le ton froid qu'il avait prit en parlant à Fiarkef et Givra.Ils étaient tout les trois à l'auberge dans laquelle ils devaient dormir , une auberge pas mal en tout cas de meilleur catégorie que celle où étaient Givra et Fiarkef à Flamen.Ayiori était arogant et à la limite de la méchanceté.Mais bon Givralion était tellement heureux de revoir son ami qu'il passa outre ces détails.La vrai question était qu'est ce qu'ils allaient pouvoir faire maintenant ?Ayiori voulait un combat mais Givralion voualit d'abord faire un petit tour et non pas combattre.

Peut être après,mais pour l'instant , faisont autre chose.

Seian est une grande cité et ils devaient trouver une accupation , Ayiori connaissait déjà la ville et Givralion aussi mais pas Fiarkef , donc Givralion proposa à Fiarkef d'aller faire un petit tour et qu'après ils pourraient faire une activité à trois.Givralion et Fiarkef partirent donc à deux en direction de la grande place de Seian , Ayiori qui voulait tant dormir resta à l'auberge et il piqua certainement au somme.Sur la grande place se trouvait un marché , on y vendait de tout , du vieux tapis pourri aux nouvelles bottines à a mode.Fiarkef avait encore l'argent des missions et comme Givralion trouva un magnifique parchemin venant de Mizuhan qui racontait la création de l'océan , il en profita pour réclamer son dut , TOUT son dut.Fiarkef lui donna donc soon argent dont il dépensa une partie pour le parchemin.

C'est vraiment une bonne affaire je trouve.

Les deux maitre continuèrent leur chemin dans la ville se demandant se qu'ils pourraient faire , et à vrai dire Givralion n'en avait pas la moindre idée.Il se souvenu qu'il y avait une petite boutique d'antiquité pas loin de l'endroit où ils se trouvaient , peut être pourraient ils passer y faire un tour ?Givralion posa la question à Fiarkef qui répliqua:

Temps qu'à faire, on a pas autre chose donc prévu donc autant y aller.

Ils traversèrent la rue , la place et s'engouffrèent dans une sinistre impasse.La boutique d'antiquité se trouvait tout au fond de l'impasse noir et lugubre.Avançans d'un pas lent et nonchalent , ils arrivèrent enfin devant la porte de la boutique après avoir connut une petite peur quand ils croisèrent un chat noir qui leur montra ses dents.Ils entrèrent donc ne voyant pas le vendeur.

Peut être qu'on aurait pas dut venir ici après tout.

Mais se qui est fait est fait , le vendeur d'une paleur effrayante sortie de l'arrière boutique avec des yeux qui limite ne sortaient pas de leur orbite.Cey homme les effrayés beaucoup , ils voulurent sortir mais le boutiquère se mit en travers de leur chemin , leur bloquant l'accès à la porte.

[Invité]

[Excusez-moi, je suis un peu en retard xD]

L'Antiquaire sourit, laissant apparaître des nombreuses dans jaunâtres et pourrient. Fiarkef fait la grimace.

Chers clients, vous n'allez tout de même pas sortir de mon humble boutique sans l'avoir visitée ? Hum ?

Cet homme ne vaut rien de bon.
C'est étrange mais, depuis le début de son aventure, Fiarkef ne recontre que des gens soupçonneux. M'enfin bon...

Bon d'accord. Et puis de toute façon je craint que nous soyons forcés ?

L'Antiquaire aquiesca.
C'est un homme très grand, extrèmement pâle et étrangement squelettique. Il porte une longue toge noir, mais sans capuche cette fois-ci.
Ses yeux verts semblent sortir de leur orbite, et de minuscules lunettes son posées sur son nez aquilin. Ses cheveux sont noirs.
Etrange personnage.

Firakef, Givralion et leur pokemon entreprirent donc la visite de cette boutique, se demandant ce qu'ils allait y trouver...

[Invité]

Une boutique immense, remplie de babioles parfois sombres, parfois brillantes, parfois propres, choyées, parfois poussièreuses et délaissés.
Côté boutique, à la fenêtre en lambeaux, on voyait un jet de lumière s'écraser violemment sur un soldat en plomb de l'armée de Terros. Impossible de ne pas retenir son attention quant aux rideaux qui surplombaient cette "fenêtre", comme je n'oserais bientôt plus l'appeller.

En effet, ces rideaux d'un rouge carmin flamboyaient à la lumière du jour, et les broderies qui en constituaient le motif était elles aussi très belles. Des tas de pokémon Feu, figés, en deux-dimensions. C'est à la fois beau et intriguant.
Quant tout à coup, quelque chose de plus beau encore, d'un vert Emeraude, comme le dieu du ciel adoré à Nalcia, Rayquaza. Sauf qu'ici, à défaut de représenter Rayquaza, ce vert ne représentait visiblement rien. Il fallait que je m'en approches, mais le "guardien" de la boutique, aimable comme une porte de prison, m'épiait vigoureusement comme si le fait qu'il me regarde ainsi ait pu me tuer.
Je criai donc mes deux "amis".

- "Hé, venez voir! Venez, bon dieu, hâtez-vous!"

Ils n'avaient guère l'air réceptifs et finirent par se soumettre, mais en soufflant.

- " Ne soufflez pas, c'est désagréable!
Bon, voilà ce que j'ai trouvé. Un espèce de biblot. Je déchiffrai les zarboglyphes* et lut à haute voix : "Le voyageur du temps"
Je suis quasi sûr que celui-ci nous apprendra quelque chose sur les mystères qui rôdent sur la forêt d'Agata.

Ils avaient l'air enthousiastes de poursuivre le voyageur du temps. En effet, en quelques secondes, mon livre disparut, de mes mains à celles de Givralion puis à celles de Fiarkef.

- Allons négocier ce livre, nous l'emporterons quoi qu'il arrive.


Mais, peu bavard, je m'écartai avec Spoink et je jouai avec lui pour patienter et ne pas avoir à parler à l'antiquaire, qui me paraîssait tellement sinistre et glauque que l'envie de le tuer comme s'il avait été un vampire me glaçait le sang ; était forte.
Je lançais donc la balle, je la rattrapai, je la lançai, je la rattrapai, en faisaint à chaque fois signe à Givralion de se hâter.
En effet, le guardien ayant déjà vu notre achat, s'empressa de saisir le téléphone pour prévenir un mystérieux "Gwarzog".

Après moult négociations et contre une myriade de baies rares que Fiarkef sortait d'on-ne-sait-où, nous repartîmes en possession du mythe légendaire de la forêt d'Agata.
Je tenais d'ailleurs à vous dire que si nous n'étions pas reparti avec, j'en aurait averti le pasteur de cette ville!

Alors, nous nous mîmes à l'écart, et nous commençâmes la lecture de cette fabuleuse histoire, qui était fabuleuse bien qu'on ne la connaissait, tellement on en parlait, tellement les gens priaient pour voir un jour celui qui voyage dans le temps, Celebi.
Le livre était poussièreux, comme la plupart des articles du mystérieux homme. On l'avait dépoussièré, embelli tant bien que mal en soufflant dessus.
Et, on découvrit alors une première de couverture épatante.
On aurait cru un tableau de Pisako*; des formes disposés tel un brouillon de dessin... mais cela rendait la couverture encore plus attirante. En effet, c'était la mise en relief d'une forme brillante, sûrement le pokémon Célebi, qui était rendue évidente avec le tourbillonnage de masse diffuse qui l'entourait!

On eut dit que Celebi rentrait d'un de ses voyages.
Alors, Givralion et Fiarkef se battaient déjà pour lire le livre.
Je les repoussai.

- "Allons, bon! Givralion, tu peux commencer. Et toi, Fiarkef, tu liras le deuxième chapître!

Qu'allait-on découvrir dans cette oeuvre? Pourquoi m'avait-elle tapé à l'oeil? Qui est Célebi?
Tant de questions qui restent tellement floues.

___________________________________________________

Zarboglyphes : Forme primitive d'écriture comparable aux hiéroglypes humains. Désgine également la prédiction écrite qu'un Zarbi peut faire en échanges d'antiquités alocales dans certaines villes.

Pisako : "Picasso" en "verlan". Pour rendre hommage au peintre %D

[Givralion]

[Post mis sous contrainte N° 2 ]

Voilà donc nos trois héros devant un livre apparament "sacré".Célébi , mais qui était il ?Aucun des trois aventuriers ne le savaient , Givralion était désigné afin de lire le livre en premier , il commença donc la lecture à voix hzute afin que ses deux compagnons puis ce écoutaient :

Introduction
Célébi , cet être à par et pas comme les autres n'est pas n'importe qui.Célébi est un pokemon légendaire , un Dieu , petit être mignon et adorable , possédant de la verdure sur son dos , il représente la nature et les fleurs.

L'introduction était déjà fini , il n'y avait qu'une petite description de Célébi et de se qu'il représentait.Fiarkef était impatient de lire le premier chapitre mais le vendeur l'interrompi de suite.

Messieur , si vous voulez continuer la lecture , il va falloir acheter le livre.

Givralion regardait le vendeur avec un air mécontant , il devenait de plus en plus désagréable et méchant au fil de son voyage avec Fiarkef.Il était devenu l'opposé de se qu'il était en quittant Mizuhan , cet être si gentil , compréhensif et amical , cet être qui ne voulait aucun mal , juste de l'amour et de la compation.Il pensait acheter le livre et demanda à Fiarkef de payer.

Hé mais pourquoi c'est moi qui payerais ?

Fiarkef ne semblait pas vouloir donner de sa poche ,

Parce que je les décidé , écoute depuis le début tu te garde tout l'argent pour toi , mais maintenant ça va changer , alors tu paye ou t'auras affaire à moi et mon ami.

Givralion semblait bien décidé de faire payer Fiarkef , il était remonté contre lui et n'hésiterait pas une seconde à le combattre pour avoir le dernier mot.Il était désomais revêtu du costume de l'homme confiant , du dominateur qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui n'hésitait plus à dire se qu'il avait sur le coeur et à défendre ses convictions.Maintenant que Fiarkef soit d'accord avec lui ou pas , Givralion s'en contre-fichait.

[Invité]

Fiarkef fit la moue.
Après tout, ce n'est pas lui qui l'avait voulu ce livre.
M'enfin bon, plutôt que de s'embrouiller avec Givralion, il sortit une bourse en cuir de la poche de sa tunique.
Un cordon de cuir la tient fermée avec un double noeud delicat.
Il tira sur ce cordon et demanda le prix du livre.

800 Pokedollars ! Lança le vendeur avec un large sourire.

Nan mais vous plaisantez là ?!
Vous voulez nous arnaquer ou quoi ?

Il croisa le regard de Givra.
Celui-ci lui fit mal. Son ami ne le suivais plus.
Et, aussi rare que cela a pu lui arriver dans sa vie, Fiarkef eu peur.
Il lu dans ses yeux la lassitude. C'est ce qui fit perdre pieds le maître du feu. C'est vrai que son compagnon de route ne le sait pas, mais Fiarkef tient à lui...
Et il a promis de l'accompagné jusqu'à Mizuhan, chez lui...

Bon d'accord...

Le jeune homme retira quelques pièces d'or de la petite pochette en cuir.
Givra et Ayiori l'observe faire en silence.
Fiarkef prit le livre et sortit de la boutique, accompagné de ses deux acolytes.

Asseyons-nous sur ce petit banc là-bas...
C'est donc à toi Givra de lire le premier chapitre.

Le maître de l'eau prit l'ouvrage entre ses mains et commença la lecture.
Mais Fiarkef n'ecoute pas. Il se perd à nouveau dans ses pensées.

Les paroles de Givra l'ont profondément touchés.
Pour une simple petite querelle, son ami l'a menacé de s'en prendre à lui physiquement...
Pourquoi ?
Il se ressace les mots de tout à l'heure...

"Depuis le début tu te garde tout l'argent pour toi"
Comment ça ?!
Bien sûr qu'il garde son argent, tout comme le fait Givra ou bien Ayiori !
Et qui c'est qui a fait rafler la mise des deux frères à Kabana ? Fiarkef !

"Alors tu paye ou t'auras affaire à moi et mon ami."
C'est sans doute ce qui lui a fait le plus de peine.
C'est comme si tout ce qui leur était arrivé depuis le début de leur voyage ensemble avait été effacé, disparu ! Fini à tout jamais !

*C'est vrai que Givra a changé.
Il devient de plus en plus sec depuis que nous sommes à Seian...
J'ai peut-être été agaçant à un moment donné, mais quand ?
Givra veut-il que je reparte seul de Seian ?

Fiarkef est complêtement perdu. Mais une chose est certaine, il ne se laissera pas marcher sur les pieds !
Que Givra prenne de l'assurance est une bonne chose, mais qu'il change radicalement de comportement en devenant blessant non !
Des amis ne sont pas fait pour être en continuelle compétition.

Givra tent le livre d'un coup sec à Fiarkef.
Celui-ci observe la première page avec écrit en gras sur le dessus "Deuxième Chapitre".
Que doit-il faire ? Lire ou répondre à Givra ?
Ayiori l'intimide un peu aussi.
Oui, Fiark' à peur de la tension qui s'installe. Il ne veut pas finir tout seul. Pas maintenant...

[Invité]

Je m'impatientai un peu. En effet, Fiarkef et Givra semblaient plutôt vouloir se battre que de finir la lecture.
Et puis, je sentais cette tension...
Aucun bruit, aucune parole. C'était devenu agaçant et il fallait que j'agisse.

- Bon, je vois que vous ne vous en sortez pas avec ce livre.
Fiarkef, je ne sais pas ce que tu as. Givra, encore moins.
Mais, s'il vous plaît, faîtes un petit effort!
Allez, faîtes donc la paix, je vous en conjure!

Ces paroles semblaient les étonner.

- Et bien, allez! Ne faîtes pas cette tête. Laissons le livre de côté pour un petit moment, on le reprendra quand on en aura REELLEMENT besoin, c'est à dire .. plus tard!

Alors, je me réemparai du livre, le rangeai dans ma besace et fit un geste à mes amis pour leur demander de se lever, et de partir avec moi. Fiarkef et Givralion n'était plus aussi tendus. Ils s'étaient excusés mutuellement, et s'étaient empoignés pour la paix. Ils plaisantaient ensemble.

- Oui, oui bon! Trêve de plaisanteries, maintenant, il va falloir que l'on marche. Que l'on marche vite.

[Givralion]

Voilà établie une trêve entre Givra et Fiarkef, une trève qui fut de ocurte durée puis ce que deux hommes en armures vint imterompre une conversation afin de les avertirs d'un fait divers tout à fait inhattendus.

Hey les momes , vous êtes au courant que la guerre éclate , Terros et Flamen face aux troupes de Mizuhan et Nalcia.

Givralion le regardait , stupéfait par se qu'il venait d'entendre.

Vous êtes sur , Flamen face à Mizuhan ?

L'homme le regardait , comme si il était surpris d'une telle réaction , après tout Mizuhan et Flamen sont ennemis depuis toujours.

Ha que oui je suis sur , je suis même un soldat de Mizuhan chargé d'apporter la nouvelle parmis les continents.

Givralion regardait Fiarkef , il savait qu'ils allaient devoir se battre , mais pas si leur survie serait certaine.Ayiori lui n'était pas du tout perturbait par cette nouvelle , il faisait équipe avec Givra et ne voyait aucun inconvéniants à tuer quelques Flamenniens ou Terrosiens.

Fiarkef , Ayiori et moi allons partir ensemble en guerre contre Flamen , toi tu fera se que tu veux.Une fois la guerre finie , nous nous retrouverons ici même afin de continuer le voyage entrepris.

Fiarkef fit un signe de la téte afin de montré son contentement.C'est ainsi que Ayiori , Fiarkef et Givra se séparères.

[Contenu sponsorisé]